
La mort est le plus grand des cadeaux
Description
Introduction au livre
Un best-seller constant depuis plus de 20 ans, depuis la publication de la version coréenne en 1998.
Le chef-d'œuvre d'Henri Nouwen
Henri Nouwen dans sa vieillesse
Questions et méditations essentielles face à la mort
Henri Nouwen a connu la mort d'êtres chers dans sa vieillesse et a profondément réfléchi à la vie et à la mort.
Et puis il a commencé à poser des questions.
Comment la mort, comme la vie, peut-elle devenir nôtre ? Ses réflexions sur la mort se poursuivirent, et il acheva ce livre dans une pièce de solitude, un refuge temporaire.
Il a écrit cette méditation pour découvrir par lui-même ce que signifie se familiariser avec sa propre mort, et pour aider les autres à se familiariser avec la leur.
Quand on regarde le titre original de ce livre, « NOTRE PLUS GRAND CADEAU », et le titre de la version coréenne, « La mort, le plus grand cadeau », « mort » et « cadeau » semblent former une combinaison étrange.
La mort peut-elle vraiment être un don ? D’où vient notre peur intérieure de la mort ? Son interprétation authentique de la mort, découverte grâce à une profonde communion avec Dieu, s’adresse sincèrement à nous qui sommes égarés par la vérité, dissipant cette peur.
Et elle révèle à nos yeux le plus grand don caché dans la mort.
Le chef-d'œuvre d'Henri Nouwen
Henri Nouwen dans sa vieillesse
Questions et méditations essentielles face à la mort
Henri Nouwen a connu la mort d'êtres chers dans sa vieillesse et a profondément réfléchi à la vie et à la mort.
Et puis il a commencé à poser des questions.
Comment la mort, comme la vie, peut-elle devenir nôtre ? Ses réflexions sur la mort se poursuivirent, et il acheva ce livre dans une pièce de solitude, un refuge temporaire.
Il a écrit cette méditation pour découvrir par lui-même ce que signifie se familiariser avec sa propre mort, et pour aider les autres à se familiariser avec la leur.
Quand on regarde le titre original de ce livre, « NOTRE PLUS GRAND CADEAU », et le titre de la version coréenne, « La mort, le plus grand cadeau », « mort » et « cadeau » semblent former une combinaison étrange.
La mort peut-elle vraiment être un don ? D’où vient notre peur intérieure de la mort ? Son interprétation authentique de la mort, découverte grâce à une profonde communion avec Dieu, s’adresse sincèrement à nous qui sommes égarés par la vérité, dissipant cette peur.
Et elle révèle à nos yeux le plus grand don caché dans la mort.
indice
Remerciements
Avant d'entrer dans le vif du sujet : se familiariser avec la mort
Entrer_ Grâce cachée dans l'impuissance
Partie 1 : Bien faire face à la mort
- Près de mon cœur
Nous sommes les petits enfants de Dieu
Nous sommes frères et sœurs
Nous sommes les parents de la génération à venir
- Choisir de bien affronter la mort
Deuxième partie : Prendre soin d’une personne en fin de vie
- Au cœur de l'existence humaine
Vous êtes les petits enfants de Dieu
Vous êtes frères et sœurs
Vous êtes les parents de la prochaine génération.
- Le choix de prendre soin de soi
Conclusion_ La grâce de la résurrection
Épilogue_ La mort est à la fois une perte et un don.
Avant d'entrer dans le vif du sujet : se familiariser avec la mort
Entrer_ Grâce cachée dans l'impuissance
Partie 1 : Bien faire face à la mort
- Près de mon cœur
Nous sommes les petits enfants de Dieu
Nous sommes frères et sœurs
Nous sommes les parents de la génération à venir
- Choisir de bien affronter la mort
Deuxième partie : Prendre soin d’une personne en fin de vie
- Au cœur de l'existence humaine
Vous êtes les petits enfants de Dieu
Vous êtes frères et sœurs
Vous êtes les parents de la prochaine génération.
- Le choix de prendre soin de soi
Conclusion_ La grâce de la résurrection
Épilogue_ La mort est à la fois une perte et un don.
Dans le livre
Être vieux signifie que la mort est proche.
Auparavant, je calculais souvent si je pourrais vivre autant d'années que j'en avais vécues.
À vingt ans, j'étais persuadé que je vivrais au moins encore vingt ans.
Même à trente ans, je croyais que tout irait bien jusqu'à soixante ans.
Mais lorsque j'ai eu quarante ans, j'ai commencé à douter que je vivrais jusqu'à quatre-vingts ans.
Et quand j'ai eu cinquante ans, j'ai réalisé que très peu de gens vivent jusqu'à cent ans.
Maintenant que j'ai soixante ans, je sais pertinemment que je suis très loin d'avoir atteint la moitié de ma vie, et que je suis plus proche de la mort que je ne l'étais à ma naissance.
--- p.31-32
Par conséquent, la véritable question que nous pouvons nous poser face à la mort n'est pas : « Que puis-je encore accomplir ? » ou « Quelle influence puis-je encore exercer ? »
La vraie question, celle qui compte vraiment, c'est : « Comment puis-je vivre de manière à continuer à porter du fruit après avoir quitté ma famille et mes amis ? »
Cette question déplace notre attention du faire vers l'être.
L'action engendre le succès, mais l'être porte ses fruits.
Le grand paradoxe de la vie est celui-ci.
Nous nous préoccupons de ce que nous devrions faire et de ce que nous pouvons faire, mais les gens se souviennent de nous pour ce que nous étions.
Si le Saint-Esprit, qui donne l’amour, la joie, la paix, la douceur, le pardon, le courage, la patience, l’espérance et la foi, guide nos vies, le fruit de l’Esprit ne mourra jamais mais continuera de croître de génération en génération.
--- p.62-63
À quelle fréquence voyons-nous un mort sur son lit de mort ? À quelle fréquence voyons-nous les défunts ? À quelle fréquence recouvrons-nous le cercueil de terre après sa mise en terre ? Debout, assis, à genoux ou dans toute autre position, à quelle fréquence visitons-nous les tombes de nos conjoints, parents, frères et sœurs, oncles, tantes et amis ? Gardons-nous le contact avec les morts, ou traitons-nous ceux qui nous ont précédés comme s’ils n’avaient jamais existé ?
--- p.97
Il faut faire preuve d'une foi immense pour croire que nos vies évolueront vers l'épanouissement au sein de cette dépendance.
Tout ce que nous voyons et ressentons, tout ce que la société présente à travers ses valeurs et ses conventions, pointe continuellement dans la direction opposée.
On dit que le succès est important, mais que la fécondité ne l'est pas, et que la fécondité ne provient jamais de la passivité.
Mais la souffrance est la voie de Dieu qui nous est révélée à travers la croix de Jésus.
Nous voulons éviter ce chemin à tout prix, mais c'est le chemin du salut.
C’est pourquoi prendre soin des mourants est si important.
Ces soins visent à les aider à traverser cette difficile « transition ».
Il s'agit de les aider à passer de l'action à la souffrance, du succès à l'accomplissement, de « combien puis-je accomplir ? » à « comment puis-je faire de ma vie un cadeau pour les autres ? »
Prendre soin des mourants, c'est les aider à constater que la puissance de Dieu grandit à mesure qu'ils s'affaiblissent.
Auparavant, je calculais souvent si je pourrais vivre autant d'années que j'en avais vécues.
À vingt ans, j'étais persuadé que je vivrais au moins encore vingt ans.
Même à trente ans, je croyais que tout irait bien jusqu'à soixante ans.
Mais lorsque j'ai eu quarante ans, j'ai commencé à douter que je vivrais jusqu'à quatre-vingts ans.
Et quand j'ai eu cinquante ans, j'ai réalisé que très peu de gens vivent jusqu'à cent ans.
Maintenant que j'ai soixante ans, je sais pertinemment que je suis très loin d'avoir atteint la moitié de ma vie, et que je suis plus proche de la mort que je ne l'étais à ma naissance.
--- p.31-32
Par conséquent, la véritable question que nous pouvons nous poser face à la mort n'est pas : « Que puis-je encore accomplir ? » ou « Quelle influence puis-je encore exercer ? »
La vraie question, celle qui compte vraiment, c'est : « Comment puis-je vivre de manière à continuer à porter du fruit après avoir quitté ma famille et mes amis ? »
Cette question déplace notre attention du faire vers l'être.
L'action engendre le succès, mais l'être porte ses fruits.
Le grand paradoxe de la vie est celui-ci.
Nous nous préoccupons de ce que nous devrions faire et de ce que nous pouvons faire, mais les gens se souviennent de nous pour ce que nous étions.
Si le Saint-Esprit, qui donne l’amour, la joie, la paix, la douceur, le pardon, le courage, la patience, l’espérance et la foi, guide nos vies, le fruit de l’Esprit ne mourra jamais mais continuera de croître de génération en génération.
--- p.62-63
À quelle fréquence voyons-nous un mort sur son lit de mort ? À quelle fréquence voyons-nous les défunts ? À quelle fréquence recouvrons-nous le cercueil de terre après sa mise en terre ? Debout, assis, à genoux ou dans toute autre position, à quelle fréquence visitons-nous les tombes de nos conjoints, parents, frères et sœurs, oncles, tantes et amis ? Gardons-nous le contact avec les morts, ou traitons-nous ceux qui nous ont précédés comme s’ils n’avaient jamais existé ?
--- p.97
Il faut faire preuve d'une foi immense pour croire que nos vies évolueront vers l'épanouissement au sein de cette dépendance.
Tout ce que nous voyons et ressentons, tout ce que la société présente à travers ses valeurs et ses conventions, pointe continuellement dans la direction opposée.
On dit que le succès est important, mais que la fécondité ne l'est pas, et que la fécondité ne provient jamais de la passivité.
Mais la souffrance est la voie de Dieu qui nous est révélée à travers la croix de Jésus.
Nous voulons éviter ce chemin à tout prix, mais c'est le chemin du salut.
C’est pourquoi prendre soin des mourants est si important.
Ces soins visent à les aider à traverser cette difficile « transition ».
Il s'agit de les aider à passer de l'action à la souffrance, du succès à l'accomplissement, de « combien puis-je accomplir ? » à « comment puis-je faire de ma vie un cadeau pour les autres ? »
Prendre soin des mourants, c'est les aider à constater que la puissance de Dieu grandit à mesure qu'ils s'affaiblissent.
--- p.121-122
Avis de l'éditeur
Deux missions sur la mort
Bien faire face à la mort, prendre soin des mourants
L'auteur propose trois croyances essentielles pour appréhender la mort.
C’est croire que nous sommes enfants de Dieu, frères et sœurs de tous les peuples, et parents des générations futures.
Ce faisant, la mort peut être perçue comme un passage vers une nouvelle vie plutôt que comme quelque chose à rejeter.
Et nous, fidèles des trois religions, devons être auprès des mourants, les aidant à se débarrasser de leur peur et à regarder au-delà des frontières de la mort.
Ce livre remplit une double mission : bien accueillir la mort et prendre soin des mourants, et nous conduit à un stade où nous pouvons comprendre spirituellement la mort de manière correcte.
Il transmet également un message de grand courage à ceux qui font face à la mort et à ceux qui prennent soin d'eux.
Bien faire face à la mort, prendre soin des mourants
L'auteur propose trois croyances essentielles pour appréhender la mort.
C’est croire que nous sommes enfants de Dieu, frères et sœurs de tous les peuples, et parents des générations futures.
Ce faisant, la mort peut être perçue comme un passage vers une nouvelle vie plutôt que comme quelque chose à rejeter.
Et nous, fidèles des trois religions, devons être auprès des mourants, les aidant à se débarrasser de leur peur et à regarder au-delà des frontières de la mort.
Ce livre remplit une double mission : bien accueillir la mort et prendre soin des mourants, et nous conduit à un stade où nous pouvons comprendre spirituellement la mort de manière correcte.
Il transmet également un message de grand courage à ceux qui font face à la mort et à ceux qui prennent soin d'eux.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 27 novembre 2019
Nombre de pages, poids, dimensions : 152 pages | 198 g | 128 × 188 × 20 mm
- ISBN13 : 9788936513955
- ISBN10 : 8936513958
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Langue coréenne
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