
Le fleuve Yalu coule
Description
Introduction au livre
« Le fleuve Yalu coule » est un roman autobiographique de l'auteur Imireuk, qui capture la nature paisible et les habitants doux de cette région dans un langage sobre.
En 2016, pour marquer le 70e anniversaire de la publication du livre, M. Park Gyun, président de la « Fondation commémorative Dr Imireuk » et chercheur de longue date sur la vie et l'œuvre de l'auteur, ayant même écrit une biographie, a personnellement traduit le livre, ce qui a accru son importance.
Lorsque les jours passent sans qu'on puisse les contrôler et que la vie devient difficile, les gens se remémorent des moments oubliés, enfouis au fond de leur cœur.
Je parle de personnes précieuses, de moments passés à contempler une nature magnifique et d'époques où j'étais vraiment heureuse, même si je ne peux plus y revenir.
Voilà ce que « Le fleuve Yalu coule » raconte aux jeunes lecteurs.
Qu’est-ce qui vient à l’esprit d’une personne qui a enduré les aléas de la vie, et quels changements internes et externes transforment la vie humaine ?
Et à travers ce processus, le roman aborde le message qu'Imireuk a perçu, notamment ce qui demeure dans son cœur.
Ni le protagoniste ni l'auteur de ce livre ne sont brisés par l'immense solitude et les épreuves, mais tracent au contraire leur propre chemin dans un nouveau lieu.
Vivant dans un lieu où règnent une langue, une culture et une façon de penser différentes, sans aucun parent de sang, il est constamment en proie au désir et à la solitude, mais à travers ces expériences, il complète les fondements orientaux qui sont à la base de son existence et qui donnent un sens à sa vie.
Tout en observant et en utilisant l'inconnu, il n'a jamais cessé de se poser des questions et d'explorer qui il était et d'où il venait.
Ce livre recèle des clés pour trouver la force et la direction qui permettront aux jeunes lecteurs de traverser la vie en silence.
En 2016, pour marquer le 70e anniversaire de la publication du livre, M. Park Gyun, président de la « Fondation commémorative Dr Imireuk » et chercheur de longue date sur la vie et l'œuvre de l'auteur, ayant même écrit une biographie, a personnellement traduit le livre, ce qui a accru son importance.
Lorsque les jours passent sans qu'on puisse les contrôler et que la vie devient difficile, les gens se remémorent des moments oubliés, enfouis au fond de leur cœur.
Je parle de personnes précieuses, de moments passés à contempler une nature magnifique et d'époques où j'étais vraiment heureuse, même si je ne peux plus y revenir.
Voilà ce que « Le fleuve Yalu coule » raconte aux jeunes lecteurs.
Qu’est-ce qui vient à l’esprit d’une personne qui a enduré les aléas de la vie, et quels changements internes et externes transforment la vie humaine ?
Et à travers ce processus, le roman aborde le message qu'Imireuk a perçu, notamment ce qui demeure dans son cœur.
Ni le protagoniste ni l'auteur de ce livre ne sont brisés par l'immense solitude et les épreuves, mais tracent au contraire leur propre chemin dans un nouveau lieu.
Vivant dans un lieu où règnent une langue, une culture et une façon de penser différentes, sans aucun parent de sang, il est constamment en proie au désir et à la solitude, mais à travers ces expériences, il complète les fondements orientaux qui sont à la base de son existence et qui donnent un sens à sa vie.
Tout en observant et en utilisant l'inconnu, il n'a jamais cessé de se poser des questions et d'explorer qui il était et d'où il venait.
Ce livre recèle des clés pour trouver la force et la direction qui permettront aux jeunes lecteurs de traverser la vie en silence.
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Aperçu
indice
Note du traducteur
noma
poison
La première punition que j'ai reçue
À la porte sud
Chilseong
La mère de Daewon
père
école moderne
horloge
vacances
À Okgyecheon
Sangbokgi
Dans le village de Songnim
nouvelle année
sécheresse
test
Séoul
apprentissage ancien et nouveau
adieu
Le fleuve Yalu coule
attendez
Dans l'océan
littoral
À destination
Commentaire sur l'œuvre
La vie du Dr Imireuk
Chronologie du Dr Imireuk
noma
poison
La première punition que j'ai reçue
À la porte sud
Chilseong
La mère de Daewon
père
école moderne
horloge
vacances
À Okgyecheon
Sangbokgi
Dans le village de Songnim
nouvelle année
sécheresse
test
Séoul
apprentissage ancien et nouveau
adieu
Le fleuve Yalu coule
attendez
Dans l'océan
littoral
À destination
Commentaire sur l'œuvre
La vie du Dr Imireuk
Chronologie du Dr Imireuk
Dans le livre
Nous n'avions pas d'autre choix que d'être toujours liés.
Je me souviens encore que Suam et moi portions le même haut rose à franges marron foncé et un pantalon gris, et nous portions les mêmes chaussures en cuir noir.
Suam n'avait qu'environ six mois de plus que moi, donc si nous n'avions pas été si différentes physiquement, les gens nous auraient prises pour des jumelles.
(Omission) Nous étions deux partenaires inséparables, riant et pleurant toujours ensemble.
-Suam Middle
Mon tableau préféré représentait un jeune berger.
Il jouait de la flûte tout en chevauchant un bœuf.
Il semblait qu'il retournait à sa cabane, cachée juste au-delà des collines lointaines, en passant devant les grands saules.
La vue d'un bœuf marchant tranquillement sur un chemin ensoleillé à un rythme paisible me ravit, et il me sembla entendre le son d'une flûte.
J'ai ressenti une paix infinie en contemplant cette image.
-La première punition que j'ai reçue
Nous sommes allés à la porte voûtée et avons vérifié si la porte sud était verrouillée et si le vendeur de bonbons avait réinstallé son étal.
Sur un grand plateau à caramel mou, de délicieux carrés de caramel mou, des bâtonnets de sucre d'orge et des morceaux de bonbons étaient présentés en fonction de leur taille et de leurs épices.
Une petite lampe se trouvait à côté, et une paire de ciseaux, servant à découper des morceaux de bonbons, était posée sur un plateau à bonbons.
Le vendeur de bonbons fredonnait souvent un air triste, parlait de toutes les épices qu'il avait mélangées à ses sucreries, et parfois tapotait le rythme avec une paire de petits ciseaux.
Nous sommes rentrés chez nous à pied par la ruelle sombre, le cœur rempli de fierté.
Je n'avais même pas peur des petits gobelins.
Déjà, une faible lumière filtrait des portes de chaque maison.
Nous continuions à fredonner cette douce mélodie de la musique du soir.
-Depuis la porte sud
En quittant la ville, j'ai gravi la colline pour revoir une dernière fois le fleuve frontalier.
Sur la plage de sable fin, entre les collines, une rivière bleue coulait paisiblement au coucher du soleil.
La rivière était très étroite à cet endroit.
Comme sa largeur était inférieure à 500 mètres, il était possible de distinguer, dans une certaine mesure, les visages des personnes se trouvant de l'autre côté du fleuve.
Ils déployaient leurs filets.
Des femmes et des jeunes filles étaient assises devant leurs maisons, en train d'écosser des haricots pour préparer le dîner.
Les garçons jouaient et se taquinaient.
Il y a longtemps, le fleuve frontalier qui séparait notre patrie des plaines infinies de Mandchourie coulait sans cesse.
Dans les villes chinoises, tout était immense et lugubre, mais dans notre pays d'origine, tout était mignon et lumineux.
Des chaumières recouvertes d'une fine couche de paille étaient disséminées çà et là, appuyées contre le flanc de la colline.
La fumée du soir s'élevait déjà de la cheminée.
Au loin, sous le ciel clair d'automne, les montagnes et les collines s'alignaient à perte de vue.
La lumière du soleil illuminait la montagne.
Puis le soleil couchant l'illumina de nouveau, et un crépuscule bleuté enveloppa peu à peu la montagne.
Il semblait que la vallée du mont Suyangsan et la ville étaient visibles très loin au sud.
Enfant, je pouvais presque entendre la majestueuse musique du soir que j'entendais chaque soir depuis la pagode de pierre à trois étages, résonnant de ce même son majestueux quelque part au sud.
Le fleuve Yalu coulait sans cesse, en crue.
-Le fleuve Yalu coule
Un soir, un Coréen avec qui je dînais parfois dans le même restaurant m'a dit qu'il y avait plusieurs autres étudiants coréens présents, outre moi.
Il a déclaré qu'ils ne pouvaient pas non plus se rendre en Europe car ils n'avaient pas de passeport.
J'ai appris que quatre autres étudiants nord-coréens étaient assis dans la même pièce désolée que moi, attendant de bonnes nouvelles.
Ils étaient déjà à Shanghai depuis l'été, dans l'intention d'aller étudier en France.
Après avoir attendu leurs passeports pendant près de six mois, ils étaient tellement découragés qu'ils avaient perdu tout espoir de pouvoir un jour voyager.
Ils ne pouvaient pourtant rien faire d'autre que rester là et attendre.
-En attendant
Sur le pont, outre des étudiants universitaires d'Asie de l'Est, se trouvaient également des Indiens qui avaient embarqué à Singapour.
Cependant, comme ils n'étaient pas étudiants, ils n'ont pas logé dans les chalets universitaires comme nous.
Je n'avais pourtant pas l'impression d'être en première ou en deuxième classe.
Ils sont restés sur le pont tout ce temps.
J'y ai dormi et mangé.
Il y avait deux vieillards aux cheveux blancs, une vieille femme et une jeune femme.
Ils s'étaient installés au milieu du pont, meublés de petits bagages et de couvertures comme d'un logement.
-Dans l'océan
Un jour, je rentrais de la poste.
Je me suis arrêté devant une maison inconnue.
Car des courges à fruits rouges étaient en fleurs dans le jardin ensoleillé de cette maison.
Quel bonheur de revoir les calebasses que j'avais vues dans notre jardin, celles que j'avais tant aimées et avec lesquelles j'avais tant joué enfant ! C'était comme si un morceau de ma terre natale se déroulait sous mes yeux, plus vrai que nature.
-À destination
Je me souviens encore que Suam et moi portions le même haut rose à franges marron foncé et un pantalon gris, et nous portions les mêmes chaussures en cuir noir.
Suam n'avait qu'environ six mois de plus que moi, donc si nous n'avions pas été si différentes physiquement, les gens nous auraient prises pour des jumelles.
(Omission) Nous étions deux partenaires inséparables, riant et pleurant toujours ensemble.
-Suam Middle
Mon tableau préféré représentait un jeune berger.
Il jouait de la flûte tout en chevauchant un bœuf.
Il semblait qu'il retournait à sa cabane, cachée juste au-delà des collines lointaines, en passant devant les grands saules.
La vue d'un bœuf marchant tranquillement sur un chemin ensoleillé à un rythme paisible me ravit, et il me sembla entendre le son d'une flûte.
J'ai ressenti une paix infinie en contemplant cette image.
-La première punition que j'ai reçue
Nous sommes allés à la porte voûtée et avons vérifié si la porte sud était verrouillée et si le vendeur de bonbons avait réinstallé son étal.
Sur un grand plateau à caramel mou, de délicieux carrés de caramel mou, des bâtonnets de sucre d'orge et des morceaux de bonbons étaient présentés en fonction de leur taille et de leurs épices.
Une petite lampe se trouvait à côté, et une paire de ciseaux, servant à découper des morceaux de bonbons, était posée sur un plateau à bonbons.
Le vendeur de bonbons fredonnait souvent un air triste, parlait de toutes les épices qu'il avait mélangées à ses sucreries, et parfois tapotait le rythme avec une paire de petits ciseaux.
Nous sommes rentrés chez nous à pied par la ruelle sombre, le cœur rempli de fierté.
Je n'avais même pas peur des petits gobelins.
Déjà, une faible lumière filtrait des portes de chaque maison.
Nous continuions à fredonner cette douce mélodie de la musique du soir.
-Depuis la porte sud
En quittant la ville, j'ai gravi la colline pour revoir une dernière fois le fleuve frontalier.
Sur la plage de sable fin, entre les collines, une rivière bleue coulait paisiblement au coucher du soleil.
La rivière était très étroite à cet endroit.
Comme sa largeur était inférieure à 500 mètres, il était possible de distinguer, dans une certaine mesure, les visages des personnes se trouvant de l'autre côté du fleuve.
Ils déployaient leurs filets.
Des femmes et des jeunes filles étaient assises devant leurs maisons, en train d'écosser des haricots pour préparer le dîner.
Les garçons jouaient et se taquinaient.
Il y a longtemps, le fleuve frontalier qui séparait notre patrie des plaines infinies de Mandchourie coulait sans cesse.
Dans les villes chinoises, tout était immense et lugubre, mais dans notre pays d'origine, tout était mignon et lumineux.
Des chaumières recouvertes d'une fine couche de paille étaient disséminées çà et là, appuyées contre le flanc de la colline.
La fumée du soir s'élevait déjà de la cheminée.
Au loin, sous le ciel clair d'automne, les montagnes et les collines s'alignaient à perte de vue.
La lumière du soleil illuminait la montagne.
Puis le soleil couchant l'illumina de nouveau, et un crépuscule bleuté enveloppa peu à peu la montagne.
Il semblait que la vallée du mont Suyangsan et la ville étaient visibles très loin au sud.
Enfant, je pouvais presque entendre la majestueuse musique du soir que j'entendais chaque soir depuis la pagode de pierre à trois étages, résonnant de ce même son majestueux quelque part au sud.
Le fleuve Yalu coulait sans cesse, en crue.
-Le fleuve Yalu coule
Un soir, un Coréen avec qui je dînais parfois dans le même restaurant m'a dit qu'il y avait plusieurs autres étudiants coréens présents, outre moi.
Il a déclaré qu'ils ne pouvaient pas non plus se rendre en Europe car ils n'avaient pas de passeport.
J'ai appris que quatre autres étudiants nord-coréens étaient assis dans la même pièce désolée que moi, attendant de bonnes nouvelles.
Ils étaient déjà à Shanghai depuis l'été, dans l'intention d'aller étudier en France.
Après avoir attendu leurs passeports pendant près de six mois, ils étaient tellement découragés qu'ils avaient perdu tout espoir de pouvoir un jour voyager.
Ils ne pouvaient pourtant rien faire d'autre que rester là et attendre.
-En attendant
Sur le pont, outre des étudiants universitaires d'Asie de l'Est, se trouvaient également des Indiens qui avaient embarqué à Singapour.
Cependant, comme ils n'étaient pas étudiants, ils n'ont pas logé dans les chalets universitaires comme nous.
Je n'avais pourtant pas l'impression d'être en première ou en deuxième classe.
Ils sont restés sur le pont tout ce temps.
J'y ai dormi et mangé.
Il y avait deux vieillards aux cheveux blancs, une vieille femme et une jeune femme.
Ils s'étaient installés au milieu du pont, meublés de petits bagages et de couvertures comme d'un logement.
-Dans l'océan
Un jour, je rentrais de la poste.
Je me suis arrêté devant une maison inconnue.
Car des courges à fruits rouges étaient en fleurs dans le jardin ensoleillé de cette maison.
Quel bonheur de revoir les calebasses que j'avais vues dans notre jardin, celles que j'avais tant aimées et avec lesquelles j'avais tant joué enfant ! C'était comme si un morceau de ma terre natale se déroulait sous mes yeux, plus vrai que nature.
-À destination
--- Extrait du texte
Avis de l'éditeur
Dépasser le tournant d'une époque, la solitude humaine et les épreuves historiques
Un roman autobiographique de l'humaniste Imireuk, qui a achevé sa propre fondation et sa vie !
Des classiques qui ont toujours été appréciés à travers le temps et les cultures,
« Le fleuve Yalu coule » revient dans une traduction intégrale pour célébrer son 70e anniversaire !
Dépeignant avec délicatesse la beauté de la nature et les émotions de la Corée.
Un livre qui a été inclus dans les manuels scolaires et qui a également été réédité en Allemagne !
L’année 2016 marque le 70e anniversaire de la publication de « The Yalu River Flows ».
Cette œuvre capture la nature paisible et la douceur des habitants de cette région dans un langage sobre.
Ainsi, dès sa parution en Allemagne, l'ouvrage a reçu plus de 100 critiques, les lecteurs exprimant leur gratitude pour avoir offert un « magnifique moment de détente » et le louant pour avoir « captivé les enfants comme les adultes » et « éveillé leurs âmes ».
De plus, beaucoup de gens étaient fascinés par la culture spirituelle coréenne, qui fusionnait diverses religions et philosophies, et ressentaient un sentiment de paix, de sincérité et de confiance entre les personnes.
C’est probablement pourquoi « Le fleuve Yalu coule » a été apprécié non seulement lors de sa publication, mais l’est encore aujourd’hui, et figure dans les manuels scolaires de plusieurs Länder allemands.
En outre, en Corée, cet ouvrage revêt une grande importance non seulement pour sa valeur littéraire, mais aussi en tant que ressource précieuse pour l'histoire coréenne moderne et contemporaine, couvrant la période allant des Lumières à la période coloniale japonaise et au processus d'exil national.
Cette traduction sera d'autant plus profonde qu'elle a été réalisée par M. Park Gyun, président de la « Fondation commémorative Dr Imireuk », qui a étudié la vie et l'œuvre de l'auteur pendant longtemps et a même écrit une biographie.
« La pureté qui réside en chacun », sans distinction de nationalité ni d’époque.
Un chef-d'œuvre qui respire « la chaleur d'une époque à laquelle on a toujours envie de revenir » et « une vision positive ».
Le désir de paix n'est-il pas le même, indépendamment du sexe, de l'âge ou du statut social ?
Lorsque les jours passent sans qu'on puisse les contrôler et que la vie devient difficile, les gens se remémorent des moments oubliés, enfouis au fond de leur cœur.
Je parle de personnes précieuses, de moments passés à contempler une nature magnifique et d'époques où j'étais vraiment heureuse, même si je ne peux plus y revenir.
Voilà ce que « Le fleuve Yalu coule » raconte aux jeunes lecteurs.
Qu’est-ce qui vient à l’esprit d’une personne qui a enduré les aléas de la vie, et quels changements internes et externes transforment la vie humaine ?
Et à travers ce processus, le roman aborde le message qu'Imireuk a perçu, notamment ce qui demeure dans son cœur.
Même si nous perdons le soutien de la vie et que nous nous retrouvons dans un pays étrange en proie au bouleversement,
Ne perdez pas confiance en vous et ne désespérez pas.
Entrez au cœur de la vie !
La jeunesse d'aujourd'hui, plus que toute autre époque du passé, est confrontée au défi de s'adapter constamment au changement et d'entrer dans un monde nouveau.
Aurez-vous peur et serez-vous frustré, ou marcherez-vous seul ?
Nietzsche a dit :
Ce qui ne me tue pas me rend plus fort.
« Ne souhaitez pas que votre destin soit facile, mais souhaitez qu'il soit difficile. »
Ni le protagoniste ni l'auteur ne se laissent décourager par l'immense solitude et les épreuves, et ils tracent leur propre chemin dans des lieux nouveaux.
Vivant dans un lieu où règnent une langue, une culture et une façon de penser différentes, sans aucun parent de sang, il est constamment en proie au désir et à la solitude, mais à travers ces expériences, il complète les fondements orientaux qui sont à la base de son existence et qui donnent un sens à sa vie.
Tout en observant et en utilisant l'inconnu, il n'a jamais cessé de se poser des questions et d'explorer qui il était et d'où il venait.
Ce livre recèle des clés pour trouver la force et la direction qui permettront aux jeunes lecteurs de traverser la vie en silence.
Pendant ce temps, les personnes que Maitreya rencontre au cours de sa traversée du fleuve Yalu, et qui endurent une longue attente et un long voyage, luttent elles aussi pour changer leur vie.
Et pourtant, même dans les circonstances les plus difficiles, ils ne perdent jamais leur sourire. Leur réalité, leur douleur et leur espoir, même ténu, trouveront un écho dans le cœur des Européens qui ont souffert de la Seconde Guerre mondiale et du nazisme, ainsi que dans celui de tous ceux qui ont traversé les épreuves de l'histoire moderne et contemporaine.
Les jeunes d'aujourd'hui, qui deviendront adultes, pourront eux aussi trouver un peu de réconfort dans cet ouvrage, car ils vivent au quotidien à notre époque et sont confrontés à leurs propres difficultés.
Un roman autobiographique de l'humaniste Imireuk, qui a achevé sa propre fondation et sa vie !
Des classiques qui ont toujours été appréciés à travers le temps et les cultures,
« Le fleuve Yalu coule » revient dans une traduction intégrale pour célébrer son 70e anniversaire !
Dépeignant avec délicatesse la beauté de la nature et les émotions de la Corée.
Un livre qui a été inclus dans les manuels scolaires et qui a également été réédité en Allemagne !
L’année 2016 marque le 70e anniversaire de la publication de « The Yalu River Flows ».
Cette œuvre capture la nature paisible et la douceur des habitants de cette région dans un langage sobre.
Ainsi, dès sa parution en Allemagne, l'ouvrage a reçu plus de 100 critiques, les lecteurs exprimant leur gratitude pour avoir offert un « magnifique moment de détente » et le louant pour avoir « captivé les enfants comme les adultes » et « éveillé leurs âmes ».
De plus, beaucoup de gens étaient fascinés par la culture spirituelle coréenne, qui fusionnait diverses religions et philosophies, et ressentaient un sentiment de paix, de sincérité et de confiance entre les personnes.
C’est probablement pourquoi « Le fleuve Yalu coule » a été apprécié non seulement lors de sa publication, mais l’est encore aujourd’hui, et figure dans les manuels scolaires de plusieurs Länder allemands.
En outre, en Corée, cet ouvrage revêt une grande importance non seulement pour sa valeur littéraire, mais aussi en tant que ressource précieuse pour l'histoire coréenne moderne et contemporaine, couvrant la période allant des Lumières à la période coloniale japonaise et au processus d'exil national.
Cette traduction sera d'autant plus profonde qu'elle a été réalisée par M. Park Gyun, président de la « Fondation commémorative Dr Imireuk », qui a étudié la vie et l'œuvre de l'auteur pendant longtemps et a même écrit une biographie.
« La pureté qui réside en chacun », sans distinction de nationalité ni d’époque.
Un chef-d'œuvre qui respire « la chaleur d'une époque à laquelle on a toujours envie de revenir » et « une vision positive ».
Le désir de paix n'est-il pas le même, indépendamment du sexe, de l'âge ou du statut social ?
Lorsque les jours passent sans qu'on puisse les contrôler et que la vie devient difficile, les gens se remémorent des moments oubliés, enfouis au fond de leur cœur.
Je parle de personnes précieuses, de moments passés à contempler une nature magnifique et d'époques où j'étais vraiment heureuse, même si je ne peux plus y revenir.
Voilà ce que « Le fleuve Yalu coule » raconte aux jeunes lecteurs.
Qu’est-ce qui vient à l’esprit d’une personne qui a enduré les aléas de la vie, et quels changements internes et externes transforment la vie humaine ?
Et à travers ce processus, le roman aborde le message qu'Imireuk a perçu, notamment ce qui demeure dans son cœur.
Même si nous perdons le soutien de la vie et que nous nous retrouvons dans un pays étrange en proie au bouleversement,
Ne perdez pas confiance en vous et ne désespérez pas.
Entrez au cœur de la vie !
La jeunesse d'aujourd'hui, plus que toute autre époque du passé, est confrontée au défi de s'adapter constamment au changement et d'entrer dans un monde nouveau.
Aurez-vous peur et serez-vous frustré, ou marcherez-vous seul ?
Nietzsche a dit :
Ce qui ne me tue pas me rend plus fort.
« Ne souhaitez pas que votre destin soit facile, mais souhaitez qu'il soit difficile. »
Ni le protagoniste ni l'auteur ne se laissent décourager par l'immense solitude et les épreuves, et ils tracent leur propre chemin dans des lieux nouveaux.
Vivant dans un lieu où règnent une langue, une culture et une façon de penser différentes, sans aucun parent de sang, il est constamment en proie au désir et à la solitude, mais à travers ces expériences, il complète les fondements orientaux qui sont à la base de son existence et qui donnent un sens à sa vie.
Tout en observant et en utilisant l'inconnu, il n'a jamais cessé de se poser des questions et d'explorer qui il était et d'où il venait.
Ce livre recèle des clés pour trouver la force et la direction qui permettront aux jeunes lecteurs de traverser la vie en silence.
Pendant ce temps, les personnes que Maitreya rencontre au cours de sa traversée du fleuve Yalu, et qui endurent une longue attente et un long voyage, luttent elles aussi pour changer leur vie.
Et pourtant, même dans les circonstances les plus difficiles, ils ne perdent jamais leur sourire. Leur réalité, leur douleur et leur espoir, même ténu, trouveront un écho dans le cœur des Européens qui ont souffert de la Seconde Guerre mondiale et du nazisme, ainsi que dans celui de tous ceux qui ont traversé les épreuves de l'histoire moderne et contemporaine.
Les jeunes d'aujourd'hui, qui deviendront adultes, pourront eux aussi trouver un peu de réconfort dans cet ouvrage, car ils vivent au quotidien à notre époque et sont confrontés à leurs propres difficultés.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 26 mai 2016
Nombre de pages, poids, dimensions : 264 pages | 464 g | 153 × 224 × 16 mm
- ISBN13 : 9788952234100
- ISBN10 : 8952234103
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