
Dessin animé classique 2
Description
Introduction au livre
『Classical Toon 2 - Economy』 commence avec la 『République』 de Platon et, faisant suite au premier volume qui interrogeait l'essence de la politique, explore « l'économie », un autre axe qui soutient la vie humaine.
« La Richesse des nations » d'Adam Smith, « Le Capital » de Karl Marx, « Progrès et Pauvreté » d'Henry George, « Théorie de la classe de loisir » de Thorstein Veblen et « Le Livre du savoir nordique » de Park Jega – en nous appuyant sur les idées et les arguments contenus dans ces cinq classiques, sélectionnés après mûre réflexion et discussion par les auteurs, nous réinterprétons l'économie actuelle.
Ce livre ne se contente pas de résumer le contenu des classiques.
À travers quatre axes – l’histoire, le résumé, la bande dessinée classique et l’analyse de livres –, nous examinons le contexte, la discussion et l’historique de l’écrit et expliquons le raisonnement qui sous-tend leurs arguments.
Et leur sagesse montre que l'économie n'est pas simplement une question d'argent, mais un problème humain qui doit être envisagé sous l'angle de la nature humaine et de la justice sociale, et qu'il s'agit d'un problème persistant qui n'a pas encore été résolu.
En particulier, dans « Le Carré de la Sagesse », des penseurs tels que Smith, Keynes et Ricardo abordent diverses questions économiques comme « Le marché est-il véritablement omnipotent ? » et « Le libre-échange enrichit-il tout le monde ? »
Les lecteurs n'ont pas besoin de se contenter d'observer leurs discussions et de mémoriser la « théorie économique ».
Nous écoutons des penseurs discuter de diverses questions telles que « D'où vient la richesse ? », « Comment la valeur du travail est-elle créée ? » et « Dans quel équilibre le marché et l'État doivent-ils coexister ? », et nous réfléchissons ensemble à ces questions.
Cette pratique permet aux lecteurs de participer à la discussion en tant que débatteurs, d'affiner leurs idées et de les aider à interpréter le concept d'« économie » avec leurs propres mots, leur permettant ainsi de devenir des citoyens capables de réfléchir de manière indépendante aux relations entre les marchés, les êtres humains et l'économie.
« La Richesse des nations » d'Adam Smith, « Le Capital » de Karl Marx, « Progrès et Pauvreté » d'Henry George, « Théorie de la classe de loisir » de Thorstein Veblen et « Le Livre du savoir nordique » de Park Jega – en nous appuyant sur les idées et les arguments contenus dans ces cinq classiques, sélectionnés après mûre réflexion et discussion par les auteurs, nous réinterprétons l'économie actuelle.
Ce livre ne se contente pas de résumer le contenu des classiques.
À travers quatre axes – l’histoire, le résumé, la bande dessinée classique et l’analyse de livres –, nous examinons le contexte, la discussion et l’historique de l’écrit et expliquons le raisonnement qui sous-tend leurs arguments.
Et leur sagesse montre que l'économie n'est pas simplement une question d'argent, mais un problème humain qui doit être envisagé sous l'angle de la nature humaine et de la justice sociale, et qu'il s'agit d'un problème persistant qui n'a pas encore été résolu.
En particulier, dans « Le Carré de la Sagesse », des penseurs tels que Smith, Keynes et Ricardo abordent diverses questions économiques comme « Le marché est-il véritablement omnipotent ? » et « Le libre-échange enrichit-il tout le monde ? »
Les lecteurs n'ont pas besoin de se contenter d'observer leurs discussions et de mémoriser la « théorie économique ».
Nous écoutons des penseurs discuter de diverses questions telles que « D'où vient la richesse ? », « Comment la valeur du travail est-elle créée ? » et « Dans quel équilibre le marché et l'État doivent-ils coexister ? », et nous réfléchissons ensemble à ces questions.
Cette pratique permet aux lecteurs de participer à la discussion en tant que débatteurs, d'affiner leurs idées et de les aider à interpréter le concept d'« économie » avec leurs propres mots, leur permettant ainsi de devenir des citoyens capables de réfléchir de manière indépendante aux relations entre les marchés, les êtres humains et l'économie.
- Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
Aperçu
indice
Avant-propos_Pourquoi les dessins animés classiques ?│06
Adam Smith, La Richesse des nations│11
Le « Capital » de Karl Marx│57
Henry George, Progrès et Pauvreté│113
« La théorie de la classe de loisir » de Thorstein Veblen│163
"Bukakui" de Park Jae-ga│207
Recommandation_Dessin animé classique, à lire absolument !│250
Adam Smith, La Richesse des nations│11
Le « Capital » de Karl Marx│57
Henry George, Progrès et Pauvreté│113
« La théorie de la classe de loisir » de Thorstein Veblen│163
"Bukakui" de Park Jae-ga│207
Recommandation_Dessin animé classique, à lire absolument !│250
Image détaillée

Dans le livre
Agora : Nous allons travailler tous les matins, nous faisons de notre mieux pendant une durée déterminée et nous recevons un salaire en retour.
Ce processus est si familier qu'il paraît aussi naturel que de respirer de l'air.
Mais en même temps, cette question se pose :
« Pourquoi ma vie ne s'améliore-t-elle jamais, malgré tous mes efforts ? » « Pourquoi mon salaire disparaît-il si vite après avoir payé ma carte de crédit et mon loyer ? » À ces questions universelles succèdent des interrogations plus fondamentales.
Mon salaire reflète-t-il réellement la valeur de mon travail ? Qu’est-ce que la valeur, au juste, et qui la détermine et comment ?
Marx : La valeur du travail provient directement de la sueur et du temps des travailleurs.
Mais le capitaliste ne restitue pas toute cette sueur sous forme de salaire.
Supposons qu'un travailleur travaille 8 heures par jour.
Nourrir sa famille ne nécessite que la valeur de quatre heures de travail.
Mais où va la valeur créée par les travailleurs pendant les quatre heures restantes ? Elle va directement dans les poches des capitalistes.
Voici le secret de la plus-value, ou du profit.
Ce n'est pas une illusion que les travailleurs aient toujours l'impression que leurs salaires sont serrés, mais une réalité.
Tout d'abord, les salaires ne représentent pas la valeur totale du travail, mais seulement la moitié, voire moins.
SMITH : Un instant, monsieur Marx.
Il n'y a pas lieu d'être aussi pessimiste.
Bien sûr, je suis d'accord pour dire que le travail est la source de toute valeur.
Mais si la libre concurrence est correctement mise en œuvre, les salaires s'équilibreront naturellement.
Lorsque la main-d'œuvre est rare, les salaires augmentent, et lorsqu'il y a beaucoup de personnes qui veulent un emploi, les salaires baissent.
Les gens auront peut-être toujours le sentiment d'être sous-payés, mais à long terme, la main invisible du marché rétablit l'équilibre.
Le cœur du problème ne réside-t-il pas moins dans les monopoles, les privilèges et les systèmes injustes qui faussent les flux du marché, plutôt que dans la cupidité des capitalistes individuels ? Je crois que c’est là le point essentiel.
Schumpeter : Vos deux commentaires sont intéressants.
Mais je ne pense pas que les salaires puissent s'expliquer simplement par la question de savoir s'il s'agit d'exploitation ou d'équilibre.
Les salaires dépendent avant tout de l'innovation et de la productivité.
Repensez à l'époque où la machine à vapeur a été introduite.
De nombreux travailleurs craignaient de perdre leur emploi, mais au fil du temps, la productivité a augmenté de manière significative, créant de nouvelles industries et de nouveaux emplois.
De ce fait, les niveaux de salaires se sont progressivement améliorés.
Les salaires ne sont pas fixes, mais plutôt comme des vagues qui montent et descendent constamment en fonction de la situation.
Le capitalisme engendre certes des crises et du mécontentement, mais il a aussi le pouvoir d'améliorer le niveau de vie.
--- Extrait du texte « Le Capital de Karl Marx : discussion autour du livre - Le capitalisme est-il vraiment voué à l'échec ? »
Agora : L'humanité crée de la richesse à une échelle sans précédent dans le passé.
Les sciences et les technologies ont progressé à un rythme effréné, et la productivité a connu une croissance explosive.
Mais d'une manière ou d'une autre, la pauvreté n'a pas disparu, et des problèmes tels que la pauvreté urbaine, le chômage des jeunes et les inégalités en matière de logement s'aggravent même.
Comment expliquer cette contradiction ?
George : C'est la question que j'ai explorée toute ma vie.
En conclusion, les fruits du progrès sont monopolisés par les propriétaires fonciers.
À mesure que la technologie progresse et que la société s'enrichit, la valeur des terres, c'est-à-dire les prix et les loyers fonciers, monte en flèche.
Au final, ce sont les travailleurs qui doivent supporter le poids des loyers, qui augmentent encore plus vite que les salaires.
La vie ne peut que s'améliorer.
Le cœur de la contradiction entre pauvreté et progrès réside dans la structure qui fait que tous les bénéfices du progrès sont accaparés par les propriétaires fonciers sans emploi.
Regardez les prix des maisons à Séoul ou à New York.
Vous aurez beau travailler dur, il ne vous restera rien après avoir payé le loyer ou les intérêts de votre prêt.
C'est un cercle vicieux de pauvreté.
Douleur : Je suis entièrement d'accord avec le point de vue de M. George.
J'aimerais ajouter ici la perspective de la justice fiscale.
Ce qu'un individu crée par son travail et ses efforts lui appartient, mais les valeurs créées par la société dans son ensemble, comme la terre, doivent être reconquises par la société.
Je pense donc que la taxe foncière et les droits de succession ne sont que des impôts.
Les fonds ainsi collectés sont distribués à tous les citoyens.
Il devrait être distribué à tous sous forme de revenu de base.
Le revenu de base n'est pas simplement un système de distribution d'argent.
Cela signifie que chacun a droit à un niveau minimal de droits sur les ressources communes.
Moins d'enfants seront contraints d'abandonner leurs études, moins de jeunes devront renoncer à leurs rêves à cause de la pauvreté, et chacun pourra vivre une vie décente.
Sur le plan économique, le revenu de base accroît la consommation, dynamise la société dans son ensemble et renforce la cohésion sociale en réduisant les inégalités.
Spencer : Vous avez tous les deux une vision très mécaniste de la société.
La société est comme un organisme qui se développe par la compétition.
Il est assez naturel que des inégalités apparaissent à mesure que la société progresse.
Tout comme les êtres vivants dans la nature se livrent une concurrence féroce pour survivre, la société fonctionne de la même manière : par la compétition, les groupes et les individus les plus forts progressent, tandis que les moins capables sont laissés pour compte.
C'est la loi du plus fort.
Certes, cela peut paraître contraignant, mais à long terme, il est également vrai que cette concurrence a renforcé la société dans son ensemble.
L'inégalité qui surgit dans le processus de progrès est comparable aux douleurs de croissance que traverse une société pour se renforcer.
Toute tentative de corriger cela par la force, au moyen d'impôts ou d'une redistribution artificielle, portera non seulement atteinte à la liberté individuelle et aux droits de propriété, mais étouffera également la dynamique concurrentielle qui stimule le développement social.
La solution à la pauvreté ne réside pas dans des réformes institutionnelles obligatoires comme un impôt unique ou un revenu de base, mais plutôt dans le développement des capacités individuelles par l'éducation, la croissance morale et l'adaptation à un environnement changeant.
George : Les propos de M. Spencer sont excessivement optimistes.
L'écart entre ceux qui possèdent des terres et ceux qui n'en possèdent pas se creuse avec le temps.
Les inégalités ne disparaîtront jamais naturellement sans une intervention institutionnelle.
Douleur : C'est exact.
Je respecte la liberté et la concurrence, mais la concurrence sans filet de sécurité minimal frôle la violence.
Dire à une personne affamée de rivaliser librement ne sert à rien.
Comme je l'ai dit à maintes reprises, le revenu de base n'est pas une faveur, c'est un droit.
Chaque membre de la société a droit à sa part des ressources communes.
Il s'agit de garantir que chaque participant possède les qualifications minimales requises pour concourir.
Voilà la véritable égalité des chances.
Ce processus est si familier qu'il paraît aussi naturel que de respirer de l'air.
Mais en même temps, cette question se pose :
« Pourquoi ma vie ne s'améliore-t-elle jamais, malgré tous mes efforts ? » « Pourquoi mon salaire disparaît-il si vite après avoir payé ma carte de crédit et mon loyer ? » À ces questions universelles succèdent des interrogations plus fondamentales.
Mon salaire reflète-t-il réellement la valeur de mon travail ? Qu’est-ce que la valeur, au juste, et qui la détermine et comment ?
Marx : La valeur du travail provient directement de la sueur et du temps des travailleurs.
Mais le capitaliste ne restitue pas toute cette sueur sous forme de salaire.
Supposons qu'un travailleur travaille 8 heures par jour.
Nourrir sa famille ne nécessite que la valeur de quatre heures de travail.
Mais où va la valeur créée par les travailleurs pendant les quatre heures restantes ? Elle va directement dans les poches des capitalistes.
Voici le secret de la plus-value, ou du profit.
Ce n'est pas une illusion que les travailleurs aient toujours l'impression que leurs salaires sont serrés, mais une réalité.
Tout d'abord, les salaires ne représentent pas la valeur totale du travail, mais seulement la moitié, voire moins.
SMITH : Un instant, monsieur Marx.
Il n'y a pas lieu d'être aussi pessimiste.
Bien sûr, je suis d'accord pour dire que le travail est la source de toute valeur.
Mais si la libre concurrence est correctement mise en œuvre, les salaires s'équilibreront naturellement.
Lorsque la main-d'œuvre est rare, les salaires augmentent, et lorsqu'il y a beaucoup de personnes qui veulent un emploi, les salaires baissent.
Les gens auront peut-être toujours le sentiment d'être sous-payés, mais à long terme, la main invisible du marché rétablit l'équilibre.
Le cœur du problème ne réside-t-il pas moins dans les monopoles, les privilèges et les systèmes injustes qui faussent les flux du marché, plutôt que dans la cupidité des capitalistes individuels ? Je crois que c’est là le point essentiel.
Schumpeter : Vos deux commentaires sont intéressants.
Mais je ne pense pas que les salaires puissent s'expliquer simplement par la question de savoir s'il s'agit d'exploitation ou d'équilibre.
Les salaires dépendent avant tout de l'innovation et de la productivité.
Repensez à l'époque où la machine à vapeur a été introduite.
De nombreux travailleurs craignaient de perdre leur emploi, mais au fil du temps, la productivité a augmenté de manière significative, créant de nouvelles industries et de nouveaux emplois.
De ce fait, les niveaux de salaires se sont progressivement améliorés.
Les salaires ne sont pas fixes, mais plutôt comme des vagues qui montent et descendent constamment en fonction de la situation.
Le capitalisme engendre certes des crises et du mécontentement, mais il a aussi le pouvoir d'améliorer le niveau de vie.
--- Extrait du texte « Le Capital de Karl Marx : discussion autour du livre - Le capitalisme est-il vraiment voué à l'échec ? »
Agora : L'humanité crée de la richesse à une échelle sans précédent dans le passé.
Les sciences et les technologies ont progressé à un rythme effréné, et la productivité a connu une croissance explosive.
Mais d'une manière ou d'une autre, la pauvreté n'a pas disparu, et des problèmes tels que la pauvreté urbaine, le chômage des jeunes et les inégalités en matière de logement s'aggravent même.
Comment expliquer cette contradiction ?
George : C'est la question que j'ai explorée toute ma vie.
En conclusion, les fruits du progrès sont monopolisés par les propriétaires fonciers.
À mesure que la technologie progresse et que la société s'enrichit, la valeur des terres, c'est-à-dire les prix et les loyers fonciers, monte en flèche.
Au final, ce sont les travailleurs qui doivent supporter le poids des loyers, qui augmentent encore plus vite que les salaires.
La vie ne peut que s'améliorer.
Le cœur de la contradiction entre pauvreté et progrès réside dans la structure qui fait que tous les bénéfices du progrès sont accaparés par les propriétaires fonciers sans emploi.
Regardez les prix des maisons à Séoul ou à New York.
Vous aurez beau travailler dur, il ne vous restera rien après avoir payé le loyer ou les intérêts de votre prêt.
C'est un cercle vicieux de pauvreté.
Douleur : Je suis entièrement d'accord avec le point de vue de M. George.
J'aimerais ajouter ici la perspective de la justice fiscale.
Ce qu'un individu crée par son travail et ses efforts lui appartient, mais les valeurs créées par la société dans son ensemble, comme la terre, doivent être reconquises par la société.
Je pense donc que la taxe foncière et les droits de succession ne sont que des impôts.
Les fonds ainsi collectés sont distribués à tous les citoyens.
Il devrait être distribué à tous sous forme de revenu de base.
Le revenu de base n'est pas simplement un système de distribution d'argent.
Cela signifie que chacun a droit à un niveau minimal de droits sur les ressources communes.
Moins d'enfants seront contraints d'abandonner leurs études, moins de jeunes devront renoncer à leurs rêves à cause de la pauvreté, et chacun pourra vivre une vie décente.
Sur le plan économique, le revenu de base accroît la consommation, dynamise la société dans son ensemble et renforce la cohésion sociale en réduisant les inégalités.
Spencer : Vous avez tous les deux une vision très mécaniste de la société.
La société est comme un organisme qui se développe par la compétition.
Il est assez naturel que des inégalités apparaissent à mesure que la société progresse.
Tout comme les êtres vivants dans la nature se livrent une concurrence féroce pour survivre, la société fonctionne de la même manière : par la compétition, les groupes et les individus les plus forts progressent, tandis que les moins capables sont laissés pour compte.
C'est la loi du plus fort.
Certes, cela peut paraître contraignant, mais à long terme, il est également vrai que cette concurrence a renforcé la société dans son ensemble.
L'inégalité qui surgit dans le processus de progrès est comparable aux douleurs de croissance que traverse une société pour se renforcer.
Toute tentative de corriger cela par la force, au moyen d'impôts ou d'une redistribution artificielle, portera non seulement atteinte à la liberté individuelle et aux droits de propriété, mais étouffera également la dynamique concurrentielle qui stimule le développement social.
La solution à la pauvreté ne réside pas dans des réformes institutionnelles obligatoires comme un impôt unique ou un revenu de base, mais plutôt dans le développement des capacités individuelles par l'éducation, la croissance morale et l'adaptation à un environnement changeant.
George : Les propos de M. Spencer sont excessivement optimistes.
L'écart entre ceux qui possèdent des terres et ceux qui n'en possèdent pas se creuse avec le temps.
Les inégalités ne disparaîtront jamais naturellement sans une intervention institutionnelle.
Douleur : C'est exact.
Je respecte la liberté et la concurrence, mais la concurrence sans filet de sécurité minimal frôle la violence.
Dire à une personne affamée de rivaliser librement ne sert à rien.
Comme je l'ai dit à maintes reprises, le revenu de base n'est pas une faveur, c'est un droit.
Chaque membre de la société a droit à sa part des ressources communes.
Il s'agit de garantir que chaque participant possède les qualifications minimales requises pour concourir.
Voilà la véritable égalité des chances.
--- Extrait du texte « Le Progrès et la Pauvreté d'Henry George », discussion autour du livre : À qui appartient cette terre ?
Avis de l'éditeur
Un cours d'économie qui enseigne aux gens les bases de l'argent.
Relire le visage humain dans le langage du marché
Nous vivons dans une structure économique où nous produisons, consommons, coopérons et sommes en concurrence chaque jour.
Cependant, dans nos vies, le mot « économie » nous apparaît encore comme un concept étranger et difficile à comprendre.
『Classic Toon 2 - Economy』 rompt cette familiarité déroutante en présentant les paroles des penseurs d'une manière facilement compilable.
Cela nous aide à comprendre que l'économie est en fin de compte une discipline qui étudie « comment les gens peuvent bien vivre ensemble » en expliquant les concepts d'argent, de marchés, de travail et de richesse comme des problèmes de choix et de valeurs humaines plutôt que comme des formules économiques difficiles.
L'économie ne se résume pas à des chiffres, elle concerne la société humaine.
Adam Smith a découvert le principe de la « main invisible » qui fait passer les intérêts individuels au profit de l'intérêt général, et Marx a critiqué l'aliénation du travail et les contradictions du capital.
Henry George privilégiait l'inégalité foncière, Veblen la consommation ostentatoire et Park Je-ga la vie du peuple plutôt que la richesse de la nation.
De la « main invisible » à la « structure des inégalités » analysée par cinq penseurs, l'économie démontre en fin de compte qu'elle n'est pas différente de l'histoire humaine.
Pour que vous puissiez penser naturellement,
Cela donne à réfléchir, pas seulement à lire
Leurs réflexions, qui transcendent l'Orient et l'Occident, le passé et le présent, aboutissent à une « philosophie de l'économie » qui interroge la liberté et la concurrence, la justice et la coexistence.
Ce livre explique leurs idées à travers des dessins humoristiques, des dialogues et des commentaires, aidant ainsi les jeunes à comprendre et à juger par eux-mêmes les principes fondamentaux de l'économie.
Découvrez la vie et l'époque de l'auteur dans l'ouvrage historique et apprenez les concepts clés dans le résumé.
Les dessins animés classiques ouvrent la porte à la compréhension, et les discussions autour des livres invitent les lecteurs à un espace de réflexion.
Dans « Book Talk : Wisdom Square », vous découvrirez des conversations virtuelles entre penseurs.
Ici, Smith, Keynes et Ricardo s'engagent dans un débat intemporel sur les rôles des marchés et de l'État, ainsi que sur le libre-échange et le protectionnisme.
Par le biais de la discussion, les lecteurs apprennent l'économie comme un « langage de la pensée » plutôt que comme une « étude des réponses correctes », et développent la capacité de poser des questions et de trouver eux-mêmes des réponses.
Apprendre l'économie, c'est développer une vision du monde.
Aider les jeunes à comprendre le monde grâce à leurs capacités de réflexion.
L'économie ne se résume pas aux flux monétaires, mais englobe la totalité des relations humaines.
Malgré l’évolution des industries et des technologies, le sens du travail et l’éthique de la coexistence restent des défis pour nous.
Les questions posées au penseur dans ce livre, telles que « Où s’arrête la croissance ? » et « À quoi ressemble une société juste ? », ne sont pas simplement des questions posées au penseur dans le livre.
Ce livre pose des questions fondamentales au lecteur, interpellant les philosophes et les aidant à dépasser la simple « intellectualisation » de l'économie.
Cela aide les lecteurs à réfléchir par eux-mêmes à l'économie et à se rendre compte qu'étudier l'économie revient à comprendre le monde.
Elle encourage la réflexion sur les questions, favorise de nouvelles connaissances et de nouvelles capacités de réflexion, et nous enseigne que le pouvoir de la pensée peut engendrer le changement.
Les étudiants qui réfléchissent changent le monde.
Les manuels d'économie que les enseignants lisent en premier et qu'ils recommandent le plus aux étudiants
Les enseignants ont salué l'ouvrage comme « un manuel qui permet de redécouvrir la complexité de l'économie à travers des histoires humaines, et non de simples formules », et les élèves ont répondu : « Plus on le lit, plus notre vision du monde évolue. » « Classic Toon 2 - Economics » peut servir de support pour des ateliers de discussion en classe, d'outil d'échange entre parents et enfants à la maison, et de programme pour éveiller la conscience civique au sein de la société.
『Classic Toon』 s'inscrit sur une nouvelle voie d'étude : non pas lire le monde à travers l'économie et accumuler des connaissances, mais comprendre le monde et y participer.
Dès que vous refermerez ce livre, les lecteurs seront obligés de repenser la manière de « vivre ensemble » au-delà de la simple question économique.
Cette série, qui enseigne à nouveau l'humanité à travers le monde, est un outil précieux pour l'éducation à la citoyenneté démocratique des jeunes.
Relire le visage humain dans le langage du marché
Nous vivons dans une structure économique où nous produisons, consommons, coopérons et sommes en concurrence chaque jour.
Cependant, dans nos vies, le mot « économie » nous apparaît encore comme un concept étranger et difficile à comprendre.
『Classic Toon 2 - Economy』 rompt cette familiarité déroutante en présentant les paroles des penseurs d'une manière facilement compilable.
Cela nous aide à comprendre que l'économie est en fin de compte une discipline qui étudie « comment les gens peuvent bien vivre ensemble » en expliquant les concepts d'argent, de marchés, de travail et de richesse comme des problèmes de choix et de valeurs humaines plutôt que comme des formules économiques difficiles.
L'économie ne se résume pas à des chiffres, elle concerne la société humaine.
Adam Smith a découvert le principe de la « main invisible » qui fait passer les intérêts individuels au profit de l'intérêt général, et Marx a critiqué l'aliénation du travail et les contradictions du capital.
Henry George privilégiait l'inégalité foncière, Veblen la consommation ostentatoire et Park Je-ga la vie du peuple plutôt que la richesse de la nation.
De la « main invisible » à la « structure des inégalités » analysée par cinq penseurs, l'économie démontre en fin de compte qu'elle n'est pas différente de l'histoire humaine.
Pour que vous puissiez penser naturellement,
Cela donne à réfléchir, pas seulement à lire
Leurs réflexions, qui transcendent l'Orient et l'Occident, le passé et le présent, aboutissent à une « philosophie de l'économie » qui interroge la liberté et la concurrence, la justice et la coexistence.
Ce livre explique leurs idées à travers des dessins humoristiques, des dialogues et des commentaires, aidant ainsi les jeunes à comprendre et à juger par eux-mêmes les principes fondamentaux de l'économie.
Découvrez la vie et l'époque de l'auteur dans l'ouvrage historique et apprenez les concepts clés dans le résumé.
Les dessins animés classiques ouvrent la porte à la compréhension, et les discussions autour des livres invitent les lecteurs à un espace de réflexion.
Dans « Book Talk : Wisdom Square », vous découvrirez des conversations virtuelles entre penseurs.
Ici, Smith, Keynes et Ricardo s'engagent dans un débat intemporel sur les rôles des marchés et de l'État, ainsi que sur le libre-échange et le protectionnisme.
Par le biais de la discussion, les lecteurs apprennent l'économie comme un « langage de la pensée » plutôt que comme une « étude des réponses correctes », et développent la capacité de poser des questions et de trouver eux-mêmes des réponses.
Apprendre l'économie, c'est développer une vision du monde.
Aider les jeunes à comprendre le monde grâce à leurs capacités de réflexion.
L'économie ne se résume pas aux flux monétaires, mais englobe la totalité des relations humaines.
Malgré l’évolution des industries et des technologies, le sens du travail et l’éthique de la coexistence restent des défis pour nous.
Les questions posées au penseur dans ce livre, telles que « Où s’arrête la croissance ? » et « À quoi ressemble une société juste ? », ne sont pas simplement des questions posées au penseur dans le livre.
Ce livre pose des questions fondamentales au lecteur, interpellant les philosophes et les aidant à dépasser la simple « intellectualisation » de l'économie.
Cela aide les lecteurs à réfléchir par eux-mêmes à l'économie et à se rendre compte qu'étudier l'économie revient à comprendre le monde.
Elle encourage la réflexion sur les questions, favorise de nouvelles connaissances et de nouvelles capacités de réflexion, et nous enseigne que le pouvoir de la pensée peut engendrer le changement.
Les étudiants qui réfléchissent changent le monde.
Les manuels d'économie que les enseignants lisent en premier et qu'ils recommandent le plus aux étudiants
Les enseignants ont salué l'ouvrage comme « un manuel qui permet de redécouvrir la complexité de l'économie à travers des histoires humaines, et non de simples formules », et les élèves ont répondu : « Plus on le lit, plus notre vision du monde évolue. » « Classic Toon 2 - Economics » peut servir de support pour des ateliers de discussion en classe, d'outil d'échange entre parents et enfants à la maison, et de programme pour éveiller la conscience civique au sein de la société.
『Classic Toon』 s'inscrit sur une nouvelle voie d'étude : non pas lire le monde à travers l'économie et accumuler des connaissances, mais comprendre le monde et y participer.
Dès que vous refermerez ce livre, les lecteurs seront obligés de repenser la manière de « vivre ensemble » au-delà de la simple question économique.
Cette série, qui enseigne à nouveau l'humanité à travers le monde, est un outil précieux pour l'éducation à la citoyenneté démocratique des jeunes.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 7 novembre 2025
- Nombre de pages, poids, dimensions : 256 pages | 140 × 210 × 20 mm
- ISBN13 : 9791199525900
- ISBN10 : 1199525901
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