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Un voyage au lac céleste
Un voyage au lac céleste
Description
Introduction au livre
Une édition révisée de [A Journey to Sky Lake], un best-seller qui s'est vendu à 500 000 exemplaires grâce au bouche-à-oreille pendant 18 ans.
L'Inde, pays en proie à de nombreux problèmes, a donné naissance à d'innombrables bouddhas et a attiré une grande diversité de personnes, des adeptes de Tripitaka aux hippies, grâce à un magnétisme spirituel qui invite au voyage ultime.
Où voyagerez-vous lorsque vous serez saisi par les questions fondamentales de la vie ?

Un recueil d'anecdotes insolites, originales et humoristiques d'un poète qui a voyagé en Inde pour découvrir le sens de la vie et qui il était.
Un voyageur solitaire aux cheveux longs rencontre des maîtres inattendus et des résonances émouvantes dans les grottes de l'Himalaya, le fleuve Gange et les vastes plaines…
Le monde que nous voyons à travers les yeux et le cœur d'un poète nous amène à réfléchir sur nous-mêmes et nous rappelle ce qu'il y a de plus précieux dans la vie.
Même après avoir refermé le livre, il laisse une impression durable qui résonne encore plusieurs années après.
Elle ne se contente pas de nous montrer l'Inde, elle nous amène aussi à réfléchir sur nos propres vies.
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indice
Un poème pour les voyageurs
Édition révisée pour être libre et heureux où que vous soyez

Le bonheur des pauvres
Un voyage au lac céleste
480 wons de bénédictions
La disparition d'une personne civilisée
Trois mantras
Belle voleuse
D'où nous venons, ce que nous sommes et où nous allons
Dix noix de coco
À la salle de concert
Tout le monde vit sous un ciel rond
Le Saint et le Papillon
pipi
Le bus bleu de l'âme
Restaurant Ganges
Le vieil homme qui joue de la flûte
Le fou et le sage
trois oranges
vie
Vous pouvez aller en Inde sans chaussures.
Perdu à 2h du matin.
Voyager avec un chien
Papier toilette, trains et bonheur
En route vers la maison de Tagore
Le train part
M. Singh
Qu'avez-vous appris aujourd'hui ?
Allons chez moi
Dans ma vie antérieure, j'ai vécu en Inde.
estomac vide
Namaskar
Bonjour l'Inde

Citation indienne n°1 : Sans larmes dans les yeux, il n’y a pas d’arc-en-ciel dans l’âme.
Citation indienne n°2 : Plus on renonce, plus on gagne.
Citations indiennes 3 / Méditation sans problème

Dans le livre
Quand j'ai demandé le montant, Charu a de nouveau agité la main et s'est vanté.

«Donnez-moi autant d’argent que vous voulez.»
«Je n'ai aucun problème.»
Lorsque je lui ai demandé, d'un air sérieux, si je pouvais lui donner seulement 1 roupie (30 wons), Charu a crié :

"Aucun problème!"
Charu ajouta alors avec assurance :
Si cela me rend heureux de vous donner ne serait-ce qu'une roupie, alors faites-le.
Comme j'étais déjà son amie, ce qui importait pour lui, ce n'était pas l'argent, mais mon bonheur.
Et je n'ai pas seulement demandé un bonheur passager, mais suffisamment d'argent pour me rendre heureux moi-même, celui qui a donné l'argent, pendant longtemps.

Charu l'intelligente, Charu la méchante, Charu la laide… … .
Même après avoir quitté Chennai, l'impression que Charu a laissée persister longtemps.
Charu, qui menait une vie dénuée de tout, et pourtant il parcourait le monde en criant : « Pas de problème ! » et en soufflant dans sa trompette en caoutchouc ! Pour moi, qui possédais tant mais qui ne parvenais pas à me défaire de mon obsession pour les possessions, il fut un professeur inoubliable et merveilleux.

--- Extrait de « Le bonheur des pauvres », page 30

J'étais allongé sur un lit en bois qui menaçait de se briser, regardant le ciel à travers un grand trou dans le plafond.
Des étoiles traversaient le trou comme des météores.
L'univers entier se déversait au-dessus du village de Kuri, du banian et de la maison du vieil homme qui avait volé cinq roupies.

Une à une, les étoiles filantes tombaient, traçant des lignes diagonales au-dessus des maisons de terre de gens chaleureux qui ne possédaient rien mais n'ont jamais été pauvres.
J'ai commencé à penser que nous, qui vivons sur Terre, étions peut-être aussi des étoiles qui avaient entrepris un long voyage depuis ce lac céleste.
J'adorais cette petite pièce où je pouvais contempler les étoiles jusqu'à ce que je m'endorme.

--- Extrait de « Un voyage au lac céleste », page 43

« Je suis venu vous transmettre trois mantras. »
Si vous gardez ces trois mantras en tête, vous n'aurez besoin de personne d'autre comme professeur.
Vous finirez par comprendre que votre meilleur professeur, c'est vous-même.
Le yogi a tendu la main par la fenêtre de la voiture, l'a posée sur ma tête et a récité trois mantras.

« Le premier mantra est le suivant : »
Soyez honnête avec vous-même.
Faites des compromis avec tout le monde dans le monde, mais jamais avec vous-même.
Alors personne n'aura de pouvoir sur vous.

Le deuxième mantra est le suivant :
Que les choses soient heureuses ou tristes, souvenez-vous qu'elles aussi passeront bientôt.
N'oubliez pas que rien ne dure éternellement.
Alors, quoi qu'il arrive, vous ne perdrez pas votre tranquillité d'esprit.

Le troisième mantra est le suivant :
Si quelqu'un vient vous demander de l'aide, ne lui dites pas que Dieu l'aidera.
« Vous vous avancez et vous aidez comme si Dieu n’existait pas. »
--- Extrait de « Trois mantras à la page 61 »

Avis de l'éditeur
La vie n'est pas un problème à résoudre, mais un mystère à parcourir.

Lorsque nous voyageons dans un endroit inconnu,
Ne pas voir un nouveau monde
Ouvrir de nouveaux yeux sur le monde.

Un livre qui n'a pas besoin d'explications
Un succès constant pendant 18 ans, avec 500 000 exemplaires vendus grâce au bouche-à-oreille.

L'Inde, pays en proie à de nombreux problèmes, a donné naissance à d'innombrables bouddhas et a attiré une grande diversité de personnes, des adeptes de Tripitaka aux hippies, grâce à un magnétisme spirituel qui invite au voyage ultime.
Quand on est saisi par les questions fondamentales de la vie, où nous mènera notre voyage ? Découvrez les anecdotes insolites, fantaisistes et humoristiques d'un poète qui a voyagé en Inde pour découvrir le sens de la vie et la question « Qui suis-je ? »
Un voyageur solitaire aux cheveux longs rencontre des maîtres inattendus et des résonances émouvantes dans les grottes de l'Himalaya, le fleuve Gange et les vastes plaines…
Le monde que nous voyons à travers les yeux et le cœur du poète nous amène à réfléchir sur nous-mêmes et nous rappelle ce qu'il y a de plus précieux dans la vie.
Même après avoir refermé le livre, il laisse une impression durable qui résonne encore plusieurs années plus tard.
Elle ne se contente pas de nous montrer l'Inde, elle nous amène aussi à réfléchir sur nos propres vies.


La vie n'est pas un problème à résoudre, mais un mystère à parcourir.

Il y a un mur entre le monde et moi.
Nous devons surmonter cette épreuve.
Voilà le cadeau du voyage.
Dans la préface de cette édition révisée, publiée 18 ans après la première édition, l'auteur cite Marcel Proust : « Nous entreprenons un voyage non pour voir de nouveaux mondes, mais pour avoir de nouveaux yeux pour voir le monde. »
L'auteur déclare ensuite :
« En tant que poète, j’essaie aussi de transmettre la beauté du monde que je vois. »
À propos des rencontres qui m'ont touché et ont contribué à l'épanouissement de mon âme.
À propos d'une expérience qui m'a ouvert les yeux sur une nouvelle façon de voir le monde.
Voilà la direction que prend mon écriture.
Il ne s'agit pas de renforcer les préjugés par le voyage, mais de les briser.
C'est un critère important pour les personnes et pour les voyages.
Si ce livre est apprécié depuis si longtemps, c'est parce qu'il ne s'agit pas seulement d'un récit de voyage intéressant, mais aussi du témoignage d'une lutte contre les préjugés et les stéréotypes, d'une découverte du monde et de rencontres.
La sensibilité et l'ouverture d'esprit du poète se ressentent partout.

Le récit de voyage qui a déclenché le boom du tourisme indien
Le récit d'un poète voyageant à travers l'Inde, empli d'humour et d'enseignements, écrit chaque année.

Comme tout autre pays, la société indienne est en proie à de nombreux problèmes. Ce livre rassemble une série d'essais brillants, véritables joyaux, qui dépeignent avec humour et finesse la face humaine de cette société, invisible à ceux qui se contentent de l'observer.
Il ne s'agit pas d'un voyage superficiel, mais d'un voyage qui pénètre la vie humaine et la bonté fondamentale.
Les livres sur l'Inde ont parfois tendance à exagérer la dureté du voyage, mais celui-ci ne se contente pas d'énumérer les difficultés ; il relate des rencontres qui brisent les idées préconçues et les idées reçues, et des expériences qui permettent de franchir des seuils spirituels.
Le récit de voyage humoristique et émouvant du poète Ryu Si-hwa sur l'Inde, qui nous fait réfléchir aux choses précieuses que nous avons perdues, a été traduit au Japon, en France, en Chine et à Taïwan, et est en cours de traduction aux États-Unis, en Italie et en Espagne.

Maintenant que le jour s'est levé, il est temps de commencer notre voyage.
Le temps se perd dans les pensées du passé
Comme un oiseau qui regarde dans l'abîme de l'éternité
Je dois partir
Je ne reviendrai plus jamais
Je vais simplement quitter ce monde.
J'ai un jour souhaité une vie comme une flamme et une mort comme le vent.
Ouvrez la porte de l'aube
Heureux ceux qui entreprennent un voyage.
Une étoile qui ne s'est pas encore endormie
Brillant sur ton visage pâle
Vous passez sous les arbres endormis
Comme un jeune serpent qui s'éveille, je dois errer seul dans l'aube.
Il est temps de mettre fin au rêve de la vie
Cesse de te confiner dans l'instant présent.
Cesse de t'accrocher à des illusions qui se brisent comme des fleurs de papier.
Maintenant que le jour s'est levé, je dois enlever l'oreiller anti-insomnie de ma table de chevet.
Ô matin, laisse derrière toi le monde qui dort dans les mensonges
Un matin où je suis parti seul vers le pays de l'éternité où flottent les drapeaux
Celui qui ne possède rien
Heureux sont ceux qui entreprennent un voyage pour aimer suffisamment
Ton âme est encore transparente
En aimant, je n'aurai pas peur d'en souffrir.
La vie que vous avez vécue
C'est une vie que vous n'avez pas vécue
Pour atteindre votre porte, vous devez maintenant…
Vous devrez frapper à d'innombrables portes qui ne s'ouvriront pas.
Se rencontrer soi-même
Vous devez demander votre chemin à chaque étape importante.
La route indique une autre route
L'arbre du monde sera votre maison d'hôtes.
Les étoiles vous regarderont à travers la couverture perforée
Vous dormez dans un pays étranger
Rêvez dans votre langue maternelle

-Un poème pour les voyageurs

Un voyageur montait à bord d'un train en Inde lorsque le contrôleur lui a demandé de présenter son billet.
Le voyageur étranger fouilla les poches de son pantalon et son sac à dos, mais il ne trouva pas son billet.
Alors qu'il paniquait de plus en plus, le contrôleur lui a donné quelques conseils.
« Les gens mettent généralement leurs billets dans les poches de leur chemise, alors pourquoi ne pas vérifier là ? »
Le voyageur dit alors :
« Cet endroit ne conviendra pas. »
« Si vous vérifiez sur place et qu’il n’y a aucun signe, alors votre dernier espoir est perdu. »
Lorsque je suis parti pour l'Inde il y a 25 ans, de nombreuses personnes, assoiffées de vérité sur la vie, affluaient en Inde, venues aussi bien d'Orient que d'Occident.
Ils se tournaient vers les centres de méditation et les gourous pour trouver des réponses aux questions fondamentales que les religions et les philosophies conventionnelles ne pouvaient leur apporter.
Je suis moi aussi arrivé à l'aéroport de Mumbai à 1h du matin pour rencontrer mon gourou, Rajneesh (rebaptisé plus tard « Osho »).
Le centre de méditation de Poona, à cinq heures de train de Mumbai, était empli de l'enthousiasme des chercheurs venus du monde entier.
Nous écoutions chaque jour les conférences du professeur, apprenions la méditation et échangions des informations sur d'autres maîtres spirituels.
Un jour, un ami allemand m'a parlé d'un excellent professeur près de Mumbai, alors j'y suis allé seul.
Avec de nombreuses questions sérieuses en tête.
Mais lorsque je l'ai rencontré, j'ai découvert que, bien qu'il fût un professeur gentil et compatissant, il parlait à peine anglais, et j'étais débutant en hindi.
Il n'y avait personne pour traduire pour moi.
Finalement, je n'ai même pas pu sortir la question de ma poche et j'ai fini par m'assoupir en écoutant sa conversation avec ses disciples indiens.
Au lieu de retourner à Puna, je suis resté quelques jours au village, préférant errer sans but dans la campagne tranquille où paissaient les buffles, libre du rythme soutenu du centre de méditation, plutôt qu'avec le vieux maître.
Avec des enfants aux yeux de paon pour fervents disciples.
J'ai donc fait une promenade le matin, assisté au darshan (une rencontre personnelle avec le maître) l'après-midi, et je me suis tout simplement assoupi.
Quelques jours passèrent, et il était temps de retourner au centre de méditation. Je fis mon sac à dos et allai voir le professeur une dernière fois.
Alors que je disais au revoir et que je me retournais, il m'a interpellé.
Il prit quelques bonbons à la menthe sur la table devant lui et me les tendit en parlant anglais.
"Soyez heureux!"
Pour moi, qui recherchais des vérités profondes pour résoudre les problèmes fondamentaux de la vie, ces mots n'étaient que de gentils conseils, et j'ai quitté cet endroit en pensant qu'il ne s'agissait que des sages paroles d'un vieil homme.
J'ai fait un signe d'adieu enthousiaste aux enfants qui étaient plus bouleversés que moi.
Après cela, j'ai voyagé en Inde chaque année et j'ai rencontré de nombreux gourous, sadhus, moines et pandits (érudits).
Et avec le temps, j'ai réalisé que leurs paroles et leurs enseignements, toutes les réponses métaphysiques découvertes par l'humanité, tournent autour de ce seul mot.
« Sois heureux où que tu sois ! »
Peu importe où je voyage, ce que je poursuis ou avec qui je suis, la question qui compte est : « Suis-je heureux ? »
Et ce bonheur ne devait pas être temporaire, mais un bonheur qui illumine chaque recoin de mon cœur.
Les Indiens appellent ce bonheur « béatitude » (anand).
On appelle cela « une bénédiction de Dieu ».
Et ce bonheur provient de la liberté d'esprit.
À chaque voyage, je me pose la question suivante :
« Suis-je heureux ? Suis-je vraiment libre ? Le secret du bonheur est-il enfoui au plus profond de mon cœur ? »
C’est la question que je me pose à l’occasion de la publication de l’édition révisée de mon premier récit de voyage en Inde.
Il est inquiétant de prendre le train sans billet.
De plus, la plupart des trajets en train en Inde sont longs et durent plusieurs dizaines d'heures, et les contrôleurs de billets ont l'œil vif.
Sans ce signe de «bonheur», le voyage serait gâché.

(syncope)

Le poète portugais Fernando Pessoa a dit :
« Le champ représenté devrait être plus vert que le vert réel. »
Lorsqu'on décrit un pays qu'on a visité, il faut que la description soit plus belle encore que le paysage lui-même. En tant que poète, je m'efforce aussi de transmettre la beauté du monde que j'ai vu.
À propos des rencontres qui m'ont touché et ont contribué à l'épanouissement de mon âme.
À propos d'une expérience qui m'a ouvert les yeux sur une nouvelle façon de voir le monde.
Voilà la direction que prend mon écriture.

L'Inde que vous découvrirez sera peut-être différente de cette Inde-ci.
Le parcours de chacun est différent.
Par conséquent, chaque voyageur a sa propre Inde.
Tout comme chaque personne a son propre monde.
Et je pense que chacun de ces univers est constamment fascinant et stimulant.
Il est vrai que lorsqu'on va en Inde, notre vision de la vie et de la mort change.
Alors, « Qu’avez-vous appris, et comment votre vision de la vie a-t-elle changé ? » Voilà la question que nous pose le voyage.
Les personnes qui ont voyagé en Inde ont de nombreux conseils à donner aux visiteurs qui s'y rendent pour la première fois.
Une longue liste de « choses à surveiller » est dressée.
Méfiez-vous de l'eau, méfiez-vous du lassi à la mangue dans les auberges et les boutiques de lassi, méfiez-vous des hommes indiens et méfiez-vous des conducteurs de pousse-pousse devant la gare.
C'est un pays dangereux où la criminalité et les vols sont monnaie courante.
Moi aussi, je conseille souvent : « Faites attention. »
Surtout, regarder le monde à travers le prisme de ses propres idées et préjugés.
Comme l'a dit l'humaniste Koh Mi-sook : « Le vrai voyage consiste à vivre des rencontres hétérogènes, des transformations physiques et à franchir un seuil. »
Quels conseils donneriez-vous à une âme qui s'apprête à naître dans ce monde ? Quelles histoires et expériences partageriez-vous à son sujet ? Bien sûr, vous passeriez la nuit à discuter des dangers dont les âmes novices devraient se méfier sur la planète Terre.
Peut-être cela vous dira-t-il de ne pas naître dans ce monde douloureux et dangereux.
Et bien sûr, n'est-il pas évident que le monde regorge de belles choses et de belles personnes qui nous attendent partout ? En réalité, le monde nous révèle des choses différentes selon la façon dont nous le percevons.
Ce voyage sur cette terre est le plus grand don de Dieu.
Combien de belles personnes ai-je rencontrées durant ce voyage ? À quel point ce voyage était-il beau ? Et combien d’efforts ai-je déployés pour être une belle personne pour les autres ? Voilà ce que je pourrai dire à la fin de ce voyage.
« Un voyage au lac céleste » est mon histoire.
Si nous nous croisons dans les rues de l'Inde, nous partagerons peut-être une tasse de chai.
— Extrait de la préface de l'édition révisée rédigée par l'auteur
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 17 septembre 2015
Nombre de pages, poids, dimensions : 268 pages | 364 g | 131 × 189 × 20 mm
- ISBN13 : 9788970639468
- ISBN10 : 8970639462

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