
Une autre voie (Édition de rétablissement)
Description
Introduction au livre
Un produit qui se vend bien depuis 10 ans.
L'édition Recover de « Another Way » est publiée.
Le premier essai photographique de Park No-hae, poète vagabond du mouvement Earth Age, intitulé « Another Way », est de retour dans une édition révisée pour célébrer son 10e anniversaire.
Devenu un best-seller incontournable dès sa parution, ce livre a apporté courage et encouragement à ceux qui cherchaient leur propre voie au cours de la dernière décennie.
Un livre rempli des écrits de Lee Hyo-ri, Hwang Jung-min et Yoon Do-hyun, qui les ont récités comme des « phrases de mon cœur », et que les lecteurs en quête de leur voie appellent « la carte des étoiles ».
Lors de sa publication en 2014, une exposition photo du même nom a été organisée au Centre des arts du spectacle Sejong, présentant les œuvres incluses dans 『Another Way』, qui a connu un énorme succès, attirant plus de 35 000 visiteurs en 27 jours, créant un véritable buzz et une sensation.
Cette couverture, conçue pour être plus « simple, solide et élégante », brille d'un vert clair profond et limpide, et les icônes de différentes personnes figurant sur les photos d'« Another Way » s'unissent pour créer un univers.
Lorsque nous ouvrons ce magnifique livre, la préface du poète Park No-hae nous guide d'abord par des pensées profondes et des encouragements chaleureux.
« Dans les moments de calme, j’écoute la voix au fond de mon cœur. »
Quand les choses ne vont plus bien en l'état, quand il devient évident que ce n'est pas la bonne voie, alors une autre voie s'offre à moi.
« Seuls ceux qui se mettent en quête du chemin verront le chemin venir à eux. »
L'édition Recover de « Another Way » est publiée.
Le premier essai photographique de Park No-hae, poète vagabond du mouvement Earth Age, intitulé « Another Way », est de retour dans une édition révisée pour célébrer son 10e anniversaire.
Devenu un best-seller incontournable dès sa parution, ce livre a apporté courage et encouragement à ceux qui cherchaient leur propre voie au cours de la dernière décennie.
Un livre rempli des écrits de Lee Hyo-ri, Hwang Jung-min et Yoon Do-hyun, qui les ont récités comme des « phrases de mon cœur », et que les lecteurs en quête de leur voie appellent « la carte des étoiles ».
Lors de sa publication en 2014, une exposition photo du même nom a été organisée au Centre des arts du spectacle Sejong, présentant les œuvres incluses dans 『Another Way』, qui a connu un énorme succès, attirant plus de 35 000 visiteurs en 27 jours, créant un véritable buzz et une sensation.
Cette couverture, conçue pour être plus « simple, solide et élégante », brille d'un vert clair profond et limpide, et les icônes de différentes personnes figurant sur les photos d'« Another Way » s'unissent pour créer un univers.
Lorsque nous ouvrons ce magnifique livre, la préface du poète Park No-hae nous guide d'abord par des pensées profondes et des encouragements chaleureux.
« Dans les moments de calme, j’écoute la voix au fond de mon cœur. »
Quand les choses ne vont plus bien en l'état, quand il devient évident que ce n'est pas la bonne voie, alors une autre voie s'offre à moi.
« Seuls ceux qui se mettent en quête du chemin verront le chemin venir à eux. »
- Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
Aperçu
indice
introduction
La route m'est apparue 7
INDONÉSIE
Matinée dans la caldeira 16 · Femmes de Ladang 18 · Assis dans la cour 20 · Un cadeau du volcan 22 · La plus belle architecture du monde 26 · La famille de producteurs de café de Riar Gayo 28 · À chaque cueillette de cerises de café 30 · Baristas du café Aceh 32 · Avec foi en la terre 34 · Si les relations sont fortes 36 · Aren, sucre naturel 38 · Guerrières des plantations de thé alpines 40 · Imas cueillant des feuilles de thé 42 · Une entreprise de quartier 44 · Pêche dans le lac céleste 46 · Les pas du père 50 · Le départ des vaches 52 · Anjo, la méthode de pêche traditionnelle 54 · Étreints par la rivière 56 · Enfants nus 60 · Football de quartier dans la palmeraie 62 · Une aire de jeux ennuyeuse 64 · Le « cadeau de temps » de papa 66 · Des arbres plantés dans les vagues forment une forêt 68 · Un port construit pieds nus 72 · Prière du soir des orphelins d'Aceh 74 · Courir dans la caldeira 76 · Semer des graines dans le souffle de la terre 78
PAKISTAN
La « Route du Ciel » du Haut-Indus 82 · La vie sur la route 84 · Un village où les nuages s'attardent 86 · Un couple gardant des moutons sur le plateau de l'Hindou Kouch 90 · Pont suspendu 92 · Un moulin à eau moulant du blé nouveau 94 · Des moutons sur le chemin du retour 96 · L'heure où le chai bout 98 · La marche de la vie 100 · La « Jirga », le conseil des anciens pachtounes 102 · Jeux aériens 104 · Génération Forever Girls 106 · Enfants de la vie acculés 108 · Les yeux d'un garçon pachtoune 112 · Une fille tenant un bébé Bugri 114 · « Partager trois » pour l'Aïd 116 · Des mains humaines déchirantes 118 · Puiser l'eau de la vie dans un puits communautaire 120 · Riz et armes 122 · Une fois pour papa, une fois pour moi 124 · L'heure du pain dans un champ de blé 126 · Camp de réfugiés afghans A Le rêve d'une fille 130 · Maçonnerie d'enfants gitans 132 · La force des frères pauvres 134 · Porter un agneau sur leur dos 136 · Les pas de la femme Kalash 138 · La maison où je veux vivre 140 · Un salon de coiffure sous un arbre 144 · Un beau lieu d'apprentissage 146 · « Lire en marchant » à travers les champs de blé 148 · Berceuse, berceuse, notre bébé 150 · Nomades du désert du Cholistan 152 · L'arbre couronné d'épines 154
LAOS
La procession de Taq Bat à Luang Prabang 158 · Femmes laotiennes dans le brouillard matinal 160 · Créer une poignée de terre 162 · Le sanctuaire du village, le stockage des « germes » 164 · Le jour où j’ai construit une maison de mes propres mains 166 · Grand-mère filant du coton 168 · Me laver au coucher du soleil 170 · Le feu de cuisine qui me réveille le matin 172 · Il n’y a pas d’« humains en surplus » 176 · La sagesse de vivre ensemble 178 · Une mère de dix-sept ans 180 · Production d’énergie hydroélectrique dans un village de tribu montagnarde 182 · Les radeaux transportent l’amitié 184 · Rituel de guérison par la foi 188 · L’école du soleil dans un village Akha 190 · Toi, ne vends pas tes semences 192
BIRMANIE
Le Lac Chantant 196 · Le Pont d'Upein à l'aube 198 · La Ferme sur l'eau, « Zunmyo » 200 · Des agriculteurs plantent des graines indigènes 202 · Travail fleuri 204 · Baignade au bord de la rivière 208 · Tri des céréales sur la route 212 · La cuisine de la maison flottante 214 · Matinée de cuisson du pain 216 · La joyeuse promenade du canard et de la fillette 218 · La fillette aux boucles d'oreilles de fleurs sauvages 220 · Le repas du chercheur 222 · La charrette à bœufs transportant du bois de chauffage 224 · Le paisible chemin du retour 226 · Ma rivière joyeuse 230 · Mon ami le buffle d'eau 232 · L'odeur du riz qui cuit 234 · La dernière scène de Dalasi 236 · Le Pont Chantant 238
INDE
Je suis sur le point de traverser la rivière 244 · Dire dire jal re manne 246 · Récolte du colza 248 · Fleur du désert, femmes du Rajasthan 250 · Bois de chauffage rond 252 · Retour avec le soleil 254 · Suivre la seule carte au monde 256 · Maison bleu indigo 258 · Dans le bruit de l'eau 262 · La vache est forte 264 · Le Gange vivant 266 · Un baiser de pieds nus 268 · Le cœur du matin en Inde 270 · La table de maman 274 · Le commencement est le chai 276 · Une fille du Rajasthan 278 · Pousse-pousse à Varanasi 280 · Les pas d'une femme avec une jarre d'eau sur la tête 282 · Le puits de la rencontre 286 · Le seuil du temps 288 · La conscience de la seconde graine 290 · L'homme qui a planté mille arbres 292 · Tenant un kanggeuri dans Mes bras 296 · Chagrin flottant sur le lac de la lune 298 · L'amour est feu 300 · Sous la tombe de la jonquille 302 · Le printemps viendra même au cœur courbé 304
TIBET
Le Chant de Tarcho 308 · Floraison et Déclin Sans Rester 310 · Le Dernier Pèlerinage 314 · Prosternation sur la Route 316 · À l'Approche de la Destination 318 · Moines Tibétains 320 · La Grande Migration des Nomades 322 · Une Femme Traire des Yaks 324 · Je Mange du Champa 326 · Paroles de Réconfort pour le Maître 328 · Labourer sur le Plateau 332 · Une Sieste dans la Verte Prairie 334 · Smartphones dans la Prairie 336 · Entre Ciel et Terre 338 · Nourriture et Âme 340 · Le Drapeau de l'Homme 342 · Chaque Jour est Nouveau 344
La route m'est apparue 7
INDONÉSIE
Matinée dans la caldeira 16 · Femmes de Ladang 18 · Assis dans la cour 20 · Un cadeau du volcan 22 · La plus belle architecture du monde 26 · La famille de producteurs de café de Riar Gayo 28 · À chaque cueillette de cerises de café 30 · Baristas du café Aceh 32 · Avec foi en la terre 34 · Si les relations sont fortes 36 · Aren, sucre naturel 38 · Guerrières des plantations de thé alpines 40 · Imas cueillant des feuilles de thé 42 · Une entreprise de quartier 44 · Pêche dans le lac céleste 46 · Les pas du père 50 · Le départ des vaches 52 · Anjo, la méthode de pêche traditionnelle 54 · Étreints par la rivière 56 · Enfants nus 60 · Football de quartier dans la palmeraie 62 · Une aire de jeux ennuyeuse 64 · Le « cadeau de temps » de papa 66 · Des arbres plantés dans les vagues forment une forêt 68 · Un port construit pieds nus 72 · Prière du soir des orphelins d'Aceh 74 · Courir dans la caldeira 76 · Semer des graines dans le souffle de la terre 78
PAKISTAN
La « Route du Ciel » du Haut-Indus 82 · La vie sur la route 84 · Un village où les nuages s'attardent 86 · Un couple gardant des moutons sur le plateau de l'Hindou Kouch 90 · Pont suspendu 92 · Un moulin à eau moulant du blé nouveau 94 · Des moutons sur le chemin du retour 96 · L'heure où le chai bout 98 · La marche de la vie 100 · La « Jirga », le conseil des anciens pachtounes 102 · Jeux aériens 104 · Génération Forever Girls 106 · Enfants de la vie acculés 108 · Les yeux d'un garçon pachtoune 112 · Une fille tenant un bébé Bugri 114 · « Partager trois » pour l'Aïd 116 · Des mains humaines déchirantes 118 · Puiser l'eau de la vie dans un puits communautaire 120 · Riz et armes 122 · Une fois pour papa, une fois pour moi 124 · L'heure du pain dans un champ de blé 126 · Camp de réfugiés afghans A Le rêve d'une fille 130 · Maçonnerie d'enfants gitans 132 · La force des frères pauvres 134 · Porter un agneau sur leur dos 136 · Les pas de la femme Kalash 138 · La maison où je veux vivre 140 · Un salon de coiffure sous un arbre 144 · Un beau lieu d'apprentissage 146 · « Lire en marchant » à travers les champs de blé 148 · Berceuse, berceuse, notre bébé 150 · Nomades du désert du Cholistan 152 · L'arbre couronné d'épines 154
LAOS
La procession de Taq Bat à Luang Prabang 158 · Femmes laotiennes dans le brouillard matinal 160 · Créer une poignée de terre 162 · Le sanctuaire du village, le stockage des « germes » 164 · Le jour où j’ai construit une maison de mes propres mains 166 · Grand-mère filant du coton 168 · Me laver au coucher du soleil 170 · Le feu de cuisine qui me réveille le matin 172 · Il n’y a pas d’« humains en surplus » 176 · La sagesse de vivre ensemble 178 · Une mère de dix-sept ans 180 · Production d’énergie hydroélectrique dans un village de tribu montagnarde 182 · Les radeaux transportent l’amitié 184 · Rituel de guérison par la foi 188 · L’école du soleil dans un village Akha 190 · Toi, ne vends pas tes semences 192
BIRMANIE
Le Lac Chantant 196 · Le Pont d'Upein à l'aube 198 · La Ferme sur l'eau, « Zunmyo » 200 · Des agriculteurs plantent des graines indigènes 202 · Travail fleuri 204 · Baignade au bord de la rivière 208 · Tri des céréales sur la route 212 · La cuisine de la maison flottante 214 · Matinée de cuisson du pain 216 · La joyeuse promenade du canard et de la fillette 218 · La fillette aux boucles d'oreilles de fleurs sauvages 220 · Le repas du chercheur 222 · La charrette à bœufs transportant du bois de chauffage 224 · Le paisible chemin du retour 226 · Ma rivière joyeuse 230 · Mon ami le buffle d'eau 232 · L'odeur du riz qui cuit 234 · La dernière scène de Dalasi 236 · Le Pont Chantant 238
INDE
Je suis sur le point de traverser la rivière 244 · Dire dire jal re manne 246 · Récolte du colza 248 · Fleur du désert, femmes du Rajasthan 250 · Bois de chauffage rond 252 · Retour avec le soleil 254 · Suivre la seule carte au monde 256 · Maison bleu indigo 258 · Dans le bruit de l'eau 262 · La vache est forte 264 · Le Gange vivant 266 · Un baiser de pieds nus 268 · Le cœur du matin en Inde 270 · La table de maman 274 · Le commencement est le chai 276 · Une fille du Rajasthan 278 · Pousse-pousse à Varanasi 280 · Les pas d'une femme avec une jarre d'eau sur la tête 282 · Le puits de la rencontre 286 · Le seuil du temps 288 · La conscience de la seconde graine 290 · L'homme qui a planté mille arbres 292 · Tenant un kanggeuri dans Mes bras 296 · Chagrin flottant sur le lac de la lune 298 · L'amour est feu 300 · Sous la tombe de la jonquille 302 · Le printemps viendra même au cœur courbé 304
TIBET
Le Chant de Tarcho 308 · Floraison et Déclin Sans Rester 310 · Le Dernier Pèlerinage 314 · Prosternation sur la Route 316 · À l'Approche de la Destination 318 · Moines Tibétains 320 · La Grande Migration des Nomades 322 · Une Femme Traire des Yaks 324 · Je Mange du Champa 326 · Paroles de Réconfort pour le Maître 328 · Labourer sur le Plateau 332 · Une Sieste dans la Verte Prairie 334 · Smartphones dans la Prairie 336 · Entre Ciel et Terre 338 · Nourriture et Âme 340 · Le Drapeau de l'Homme 342 · Chaque Jour est Nouveau 344
Image détaillée
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Dans le livre
L'Indonésie, pays qui compte le plus de volcans au monde, est une riche « terre de feu ».
« Nous vivons comme un don du volcan, je dois donc moi aussi devenir un don pour quelqu’un. » Le fermier, dans ce lieu élevé et profond, le dos courbé par son labeur, soutient silencieusement ce monde qui s’effondre, et, son dos servant de tremplin à la lumière, il aide l’humanité à s’élever.
---p.25 Extrait de « Le Don du Volcan »
Le fermier qui sème vit dans l'attente.
L'attente, c'est croire qu'une graine a été semée en terre, que quelque chose a commencé, que quelque chose grandit jour après jour dans l'obscurité de la terre.
Ai-je une attente véritablement sincère ?
Nous n'avons pas d'avenir.
Il ne reste que l'espoir.
---p.35 Extrait de « Avec foi en la Terre »
Des personnes qui ont la capacité d'acheter avec de l'argent, mais qui ont au moins la capacité de le faire elles-mêmes.
La créativité consiste à tirer le meilleur parti des choses les plus simples, et le plus bel art de vivre est de toujours faire du bien à partir du mal.
---p.55 Extrait de « Anjo, la pêche traditionnelle »
Un père agriculteur joue avec son fils après la récolte.
« J’ai fabriqué cette chaise le jour où mon enfant a parlé pour la première fois, j’ai fabriqué ce cheval de bois le jour où mon enfant a fait ses premiers pas, et aujourd’hui je vais sculpter du bambou pour faire une cage à oiseaux. » Ce que le père a offert à son enfant, c’est le « cadeau du temps ».
L'amour me donne mon temps.
---p.67 Extrait de « Le cadeau de temps de papa »
Un petit village niché au cœur de montagnes aux sommets enneigés éblouissants.
Un couple qui cultive des pommes dans une maison en terre qu'ils ont construite eux-mêmes a déclaré : « On ne choisit pas le pays ni les parents dans lesquels on naît. »
En tant qu'être humain, j'accepte volontiers l'« impossible » et je fais de mon mieux dans le « possible » qui s'y trouve. Il allume un feu dans le brasero, m'offre un thé chaud et un sourire, et me donne une grappe de pommes rouges, en me disant de garder un sommet enneigé dans mon cœur.
---p.89 Extrait de « Le village où vivent les nuages »
Le moment le plus agréable de la journée, c'est quand le thé bout.
Les familles se rassemblent autour du brasero incandescent, et les conversations s'animent au rythme du parfum du chai.
À mesure que le réceptacle de l'avidité se rétrécit, la joie de vivre augmente et notre vie devient « suffisamment satisfaisante ».
---p.99 Extrait de « Le moment où le chai bout »
Les grands-mères Gaoshan maîtrisent les savoir-faire traditionnels tels que l'agriculture, le tissage, l'architecture, la cuisine, la guérison et les croyances religieuses, et sont les gardiennes de l'histoire et des récits de cette terre.
Quand une grand-mère meurt dans un village autochtone, c'est comme perdre une bibliothèque de sagesse humaine.
---p.169 Extrait de « Grandma’s Cotton Spinning »
Les dos des habitants d'Inle, rentrant chez eux après une longue journée de travail, rayonnent de joie, et les ondulations à la surface de l'eau s'illuminent de larges sourires.
« Ce que vous faites aujourd’hui est aussi important que ce que vous faites avec votre cœur. »
« Tout disparaîtra comme une vague, mais l’amour demeurera et coulera dans mon cœur. »
---p.229 Extrait de « Un chemin paisible vers la maison »
“Dire dire zale lemane.” Mon cœur, marche lentement, lentement.
S'il vous plaît, ne vous précipitez pas et ne soyez pas paresseux.
Tout se réalisera en temps voulu.
---p.247 Extrait de "Dire Dire Jale Manne"
Premier jour de la levée temporaire de la loi martiale par l'armée indienne.
Le Cachemire grelottait encore, et j'ai rencontré un homme qui s'occupait d'un pommier dans le vent perpétuel, recouvert de neige, qui était aussi froid que l'éclair d'une baïonnette.
Depuis 30 ans, il plante des arbres dans ce terrain vague et désert, et on dit qu'un millier d'entre eux ont survécu.
« La moitié des arbres n’ont pas germé, l’autre moitié s’est desséchée et est morte, et seuls quelques-uns ont miraculeusement poussé. »
J'ai pitié des arbres plantés sur ces pentes arides, et j'ai pitié des enfants qui vivront dans cette terre hostile…
Mais si les arbres prennent racine, des fleurs s'épanouiront et des fruits pousseront sur cette terre gelée, et des jours meilleurs reviendront aussi au Cachemire. Nous n'accomplissons pas de grandes choses, mais de petites choses avec beaucoup d'amour.
Un petit effort constant jusqu'au bout.
C'est le meilleur mode de vie que je connaisse.
---p.295 Extrait de « L’homme qui planta mille arbres »
Dans le chalet le plus haut de la Montagne des Neiges Éternelles, ma mère chante une chanson en préparant le dîner.
«Ma fille, l’amour est comme le feu.»
Un amour ardent qui brûle intensément.
Alors, gardez votre amour pour vous.
Mon fils, on dit que l'amour est comme une rivière.
L'amour comme une rivière qui coule.
Alors, déposez vos larmes en un lieu noble.
« À l’image de la neige blanche de l’Himalaya, ne perdez jamais la lumière et l’amour dans votre cœur. »
---p.301 Extrait de « L’amour est feu »
Une jeune mère de vingt ans, qui était en train de traire une yak, entre dans la tente pour allaiter son enfant.
« Je suis un campeur sur cette terre. »
J'espère fleurir et me faner sans rien laisser derrière moi, comme les fleurs de cette prairie.
À l'endroit que j'ai quitté, de l'herbe nouvelle poussera, un nouveau soleil brillera et des enfants naîtront.
---p.313 Extrait de « Florer et tomber sans rien laisser derrière soi »
L'aube est le mystère de la vie.
Le cycle de l'univers est tel que le soleil se lève et se couche une fois par jour, et que nous ne disposons que d'une seule nouvelle journée de vie.
La vie sur cette terre est éphémère, et nul ne connaît l'avenir.
La vie se vit au jour le jour, alors vivez pleinement chaque jour, ici et maintenant.
« Nous vivons comme un don du volcan, je dois donc moi aussi devenir un don pour quelqu’un. » Le fermier, dans ce lieu élevé et profond, le dos courbé par son labeur, soutient silencieusement ce monde qui s’effondre, et, son dos servant de tremplin à la lumière, il aide l’humanité à s’élever.
---p.25 Extrait de « Le Don du Volcan »
Le fermier qui sème vit dans l'attente.
L'attente, c'est croire qu'une graine a été semée en terre, que quelque chose a commencé, que quelque chose grandit jour après jour dans l'obscurité de la terre.
Ai-je une attente véritablement sincère ?
Nous n'avons pas d'avenir.
Il ne reste que l'espoir.
---p.35 Extrait de « Avec foi en la Terre »
Des personnes qui ont la capacité d'acheter avec de l'argent, mais qui ont au moins la capacité de le faire elles-mêmes.
La créativité consiste à tirer le meilleur parti des choses les plus simples, et le plus bel art de vivre est de toujours faire du bien à partir du mal.
---p.55 Extrait de « Anjo, la pêche traditionnelle »
Un père agriculteur joue avec son fils après la récolte.
« J’ai fabriqué cette chaise le jour où mon enfant a parlé pour la première fois, j’ai fabriqué ce cheval de bois le jour où mon enfant a fait ses premiers pas, et aujourd’hui je vais sculpter du bambou pour faire une cage à oiseaux. » Ce que le père a offert à son enfant, c’est le « cadeau du temps ».
L'amour me donne mon temps.
---p.67 Extrait de « Le cadeau de temps de papa »
Un petit village niché au cœur de montagnes aux sommets enneigés éblouissants.
Un couple qui cultive des pommes dans une maison en terre qu'ils ont construite eux-mêmes a déclaré : « On ne choisit pas le pays ni les parents dans lesquels on naît. »
En tant qu'être humain, j'accepte volontiers l'« impossible » et je fais de mon mieux dans le « possible » qui s'y trouve. Il allume un feu dans le brasero, m'offre un thé chaud et un sourire, et me donne une grappe de pommes rouges, en me disant de garder un sommet enneigé dans mon cœur.
---p.89 Extrait de « Le village où vivent les nuages »
Le moment le plus agréable de la journée, c'est quand le thé bout.
Les familles se rassemblent autour du brasero incandescent, et les conversations s'animent au rythme du parfum du chai.
À mesure que le réceptacle de l'avidité se rétrécit, la joie de vivre augmente et notre vie devient « suffisamment satisfaisante ».
---p.99 Extrait de « Le moment où le chai bout »
Les grands-mères Gaoshan maîtrisent les savoir-faire traditionnels tels que l'agriculture, le tissage, l'architecture, la cuisine, la guérison et les croyances religieuses, et sont les gardiennes de l'histoire et des récits de cette terre.
Quand une grand-mère meurt dans un village autochtone, c'est comme perdre une bibliothèque de sagesse humaine.
---p.169 Extrait de « Grandma’s Cotton Spinning »
Les dos des habitants d'Inle, rentrant chez eux après une longue journée de travail, rayonnent de joie, et les ondulations à la surface de l'eau s'illuminent de larges sourires.
« Ce que vous faites aujourd’hui est aussi important que ce que vous faites avec votre cœur. »
« Tout disparaîtra comme une vague, mais l’amour demeurera et coulera dans mon cœur. »
---p.229 Extrait de « Un chemin paisible vers la maison »
“Dire dire zale lemane.” Mon cœur, marche lentement, lentement.
S'il vous plaît, ne vous précipitez pas et ne soyez pas paresseux.
Tout se réalisera en temps voulu.
---p.247 Extrait de "Dire Dire Jale Manne"
Premier jour de la levée temporaire de la loi martiale par l'armée indienne.
Le Cachemire grelottait encore, et j'ai rencontré un homme qui s'occupait d'un pommier dans le vent perpétuel, recouvert de neige, qui était aussi froid que l'éclair d'une baïonnette.
Depuis 30 ans, il plante des arbres dans ce terrain vague et désert, et on dit qu'un millier d'entre eux ont survécu.
« La moitié des arbres n’ont pas germé, l’autre moitié s’est desséchée et est morte, et seuls quelques-uns ont miraculeusement poussé. »
J'ai pitié des arbres plantés sur ces pentes arides, et j'ai pitié des enfants qui vivront dans cette terre hostile…
Mais si les arbres prennent racine, des fleurs s'épanouiront et des fruits pousseront sur cette terre gelée, et des jours meilleurs reviendront aussi au Cachemire. Nous n'accomplissons pas de grandes choses, mais de petites choses avec beaucoup d'amour.
Un petit effort constant jusqu'au bout.
C'est le meilleur mode de vie que je connaisse.
---p.295 Extrait de « L’homme qui planta mille arbres »
Dans le chalet le plus haut de la Montagne des Neiges Éternelles, ma mère chante une chanson en préparant le dîner.
«Ma fille, l’amour est comme le feu.»
Un amour ardent qui brûle intensément.
Alors, gardez votre amour pour vous.
Mon fils, on dit que l'amour est comme une rivière.
L'amour comme une rivière qui coule.
Alors, déposez vos larmes en un lieu noble.
« À l’image de la neige blanche de l’Himalaya, ne perdez jamais la lumière et l’amour dans votre cœur. »
---p.301 Extrait de « L’amour est feu »
Une jeune mère de vingt ans, qui était en train de traire une yak, entre dans la tente pour allaiter son enfant.
« Je suis un campeur sur cette terre. »
J'espère fleurir et me faner sans rien laisser derrière moi, comme les fleurs de cette prairie.
À l'endroit que j'ai quitté, de l'herbe nouvelle poussera, un nouveau soleil brillera et des enfants naîtront.
---p.313 Extrait de « Florer et tomber sans rien laisser derrière soi »
L'aube est le mystère de la vie.
Le cycle de l'univers est tel que le soleil se lève et se couche une fois par jour, et que nous ne disposons que d'une seule nouvelle journée de vie.
La vie sur cette terre est éphémère, et nul ne connaît l'avenir.
La vie se vit au jour le jour, alors vivez pleinement chaque jour, ici et maintenant.
---p.347 Extrait de « New Every Day »
Avis de l'éditeur
Poète, révolutionnaire, photographe et-
Park No-hae, un homme qui a emprunté un chemin différent
Park No-hae, qui a emprunté une « voie différente » tout en pénétrant de tout son être les contradictions de l'histoire coréenne moderne.
Il a porté sur ses épaules la souffrance de l'époque et a publié son premier recueil de poésie, « L'Aube du Travail », en 1984 sous le pseudonyme de « Park No-hae » (libération des travailleurs persécutés).
Après de longues recherches et une condamnation à mort, il a été condamné à la prison à vie, se jetant aussi loin qu'un être humain puisse aller.
Après avoir été libéré d'une cellule d'isolement d'environ 1 pyeong (environ 3,5 mètres carrés) après 7 ans et 6 mois, il s'est engagé sur un chemin sans chemin, en disant : « Je ne vendrai pas le passé pour vivre dans le présent. »
Le livre 『Another Way』 est le fruit de 20 années de marche à travers les villages et les populations des hautes et basses terres du monde.
« Another Road », écrit avec un vieux appareil photo argentique noir et blanc et un vieux stylo-plume, est le carnet de voyage du poète Park No-hae, écrit au fil de ses promenades, et son dernier témoignage qui disparaît peu à peu.
Il recherche depuis longtemps une voie différente de la vision du monde axée sur la « croissance et le progrès » qui se dirige vers la crise, et il prend des photos et écrit comme pour rassembler les dernières graines d'espoir.
Elle présente une nouvelle vision du monde porteuse d'espoir pour l'ère terrestre à travers la vie de personnes qui préservent « l'archétype d'une vie réussie » et « le fort esprit humain » que nous avons perdus, en dehors des limites d'une civilisation industrielle standardisée et d'une vie dominée par l'argent.
« Trois grandes choses pour l’humanité- »
« Vivre, aimer, mourir »
L'univers contenu dans 『Another Way』 est vaste et profond.
Du Tibet, toit de l'esprit humain, en passant par le Pakistan, la Birmanie, l'Indonésie et le Laos, jusqu'en Inde, terre où les pèlerins font preuve d'humilité.
Le poète Park No-hae a su capturer en silence le dévouement et la noblesse de gens anonymes rencontrés dans des villages qui ne figuraient même pas sur les cartes, et « l'archétype d'une vie réussie » que nous avons perdu à un moment donné.
Chacune des 141 photographies, accompagnée d'un poème du poète Park No-hae, renferme la longue histoire du territoire, la vie quotidienne d'aujourd'hui et des paroles de sagesse, suscitant en nous une profonde réflexion et une grande résonance.
« On ne choisit pas son pays ni ses parents. »
En tant qu’être humain, j’accepte volontairement l’« impossible » et, dans ce cadre, je fais de mon mieux dans le « possible ». (p. 89) « Dire dire jal le manne.
Cœur, marche lentement, lentement.
S'il vous plaît, ne vous précipitez pas et ne soyez pas paresseux.
« Tout se réalisera lorsque le moment du destin viendra. » (p. 247) « Nous ne faisons pas de grandes choses, mais nous faisons de petites choses avec un grand amour.
Un petit effort constant jusqu'au bout.
« C’est le meilleur mode de vie que je connaisse. » (p. 295) « Je suis un campeur sur cette terre pour un certain temps.
« J’espère fleurir et me faner sans rien laisser derrière moi, comme les fleurs de cette prairie. » (p. 313)
Pour ceux qui débutent
Un cadeau d'espoir et de courage : « Une autre voie »
Dès l'instant où je pénètre dans ce monde lointain et inconnu, ce que j'y découvre, c'est véritablement moi-même.
Le thème qui traverse « Another Way » est celui des « trois choses les plus importantes pour les êtres humains : vivre, aimer et mourir », et il nous amène à réfléchir aux questions existentielles et aux désirs fondamentaux de la vie.
En parcourant ce chemin, nous découvre le visage pur que nous avons perdu à un moment donné, mais qui vit toujours en nous, nous donnant espoir et courage pour vivre autrement.
"Je sais.
Ceux qui cherchent sincèrement le chemin ont déjà leur propre carte du ciel qui brille dans leur cœur.
Je crois.
« Il existe assurément une autre voie pour ceux qui souhaitent se retrouver et aspirer à une vie meilleure. » (Park No-hae) « Une autre voie » est un livre qui vous apportera lumière et force lorsque vous vous sentirez perdu et ébranlé sur le chemin sinueux de la vie.
Il est temps maintenant de partir et de tracer mon propre chemin.
Commençons la nouvelle année avec courage.
Un pas sur l'autre chemin, un pas vers moi.
Park No-hae, un homme qui a emprunté un chemin différent
Park No-hae, qui a emprunté une « voie différente » tout en pénétrant de tout son être les contradictions de l'histoire coréenne moderne.
Il a porté sur ses épaules la souffrance de l'époque et a publié son premier recueil de poésie, « L'Aube du Travail », en 1984 sous le pseudonyme de « Park No-hae » (libération des travailleurs persécutés).
Après de longues recherches et une condamnation à mort, il a été condamné à la prison à vie, se jetant aussi loin qu'un être humain puisse aller.
Après avoir été libéré d'une cellule d'isolement d'environ 1 pyeong (environ 3,5 mètres carrés) après 7 ans et 6 mois, il s'est engagé sur un chemin sans chemin, en disant : « Je ne vendrai pas le passé pour vivre dans le présent. »
Le livre 『Another Way』 est le fruit de 20 années de marche à travers les villages et les populations des hautes et basses terres du monde.
« Another Road », écrit avec un vieux appareil photo argentique noir et blanc et un vieux stylo-plume, est le carnet de voyage du poète Park No-hae, écrit au fil de ses promenades, et son dernier témoignage qui disparaît peu à peu.
Il recherche depuis longtemps une voie différente de la vision du monde axée sur la « croissance et le progrès » qui se dirige vers la crise, et il prend des photos et écrit comme pour rassembler les dernières graines d'espoir.
Elle présente une nouvelle vision du monde porteuse d'espoir pour l'ère terrestre à travers la vie de personnes qui préservent « l'archétype d'une vie réussie » et « le fort esprit humain » que nous avons perdus, en dehors des limites d'une civilisation industrielle standardisée et d'une vie dominée par l'argent.
« Trois grandes choses pour l’humanité- »
« Vivre, aimer, mourir »
L'univers contenu dans 『Another Way』 est vaste et profond.
Du Tibet, toit de l'esprit humain, en passant par le Pakistan, la Birmanie, l'Indonésie et le Laos, jusqu'en Inde, terre où les pèlerins font preuve d'humilité.
Le poète Park No-hae a su capturer en silence le dévouement et la noblesse de gens anonymes rencontrés dans des villages qui ne figuraient même pas sur les cartes, et « l'archétype d'une vie réussie » que nous avons perdu à un moment donné.
Chacune des 141 photographies, accompagnée d'un poème du poète Park No-hae, renferme la longue histoire du territoire, la vie quotidienne d'aujourd'hui et des paroles de sagesse, suscitant en nous une profonde réflexion et une grande résonance.
« On ne choisit pas son pays ni ses parents. »
En tant qu’être humain, j’accepte volontairement l’« impossible » et, dans ce cadre, je fais de mon mieux dans le « possible ». (p. 89) « Dire dire jal le manne.
Cœur, marche lentement, lentement.
S'il vous plaît, ne vous précipitez pas et ne soyez pas paresseux.
« Tout se réalisera lorsque le moment du destin viendra. » (p. 247) « Nous ne faisons pas de grandes choses, mais nous faisons de petites choses avec un grand amour.
Un petit effort constant jusqu'au bout.
« C’est le meilleur mode de vie que je connaisse. » (p. 295) « Je suis un campeur sur cette terre pour un certain temps.
« J’espère fleurir et me faner sans rien laisser derrière moi, comme les fleurs de cette prairie. » (p. 313)
Pour ceux qui débutent
Un cadeau d'espoir et de courage : « Une autre voie »
Dès l'instant où je pénètre dans ce monde lointain et inconnu, ce que j'y découvre, c'est véritablement moi-même.
Le thème qui traverse « Another Way » est celui des « trois choses les plus importantes pour les êtres humains : vivre, aimer et mourir », et il nous amène à réfléchir aux questions existentielles et aux désirs fondamentaux de la vie.
En parcourant ce chemin, nous découvre le visage pur que nous avons perdu à un moment donné, mais qui vit toujours en nous, nous donnant espoir et courage pour vivre autrement.
"Je sais.
Ceux qui cherchent sincèrement le chemin ont déjà leur propre carte du ciel qui brille dans leur cœur.
Je crois.
« Il existe assurément une autre voie pour ceux qui souhaitent se retrouver et aspirer à une vie meilleure. » (Park No-hae) « Une autre voie » est un livre qui vous apportera lumière et force lorsque vous vous sentirez perdu et ébranlé sur le chemin sinueux de la vie.
Il est temps maintenant de partir et de tracer mon propre chemin.
Commençons la nouvelle année avec courage.
Un pas sur l'autre chemin, un pas vers moi.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 26 novembre 2024
Nombre de pages, poids, dimensions : 352 pages | 506 g | 123 × 189 × 25 mm
- ISBN13 : 9788991418387
- ISBN10 : 8991418384
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카테고리
Langue coréenne
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