
Je veux y aller, Bin
Description
Introduction au livre
Un guide de voyage compétent qui explore la culture et l'histoire de Vienne.
Il s'agit d'un guide de voyage documenté qui explore en profondeur les lieux incontournables de Vienne, en Autriche.
Du palais de la Hofburg, résidence des empereurs Habsbourg et de leurs familles, au château de Schönbrunn, résidence d'été impériale, en passant par le Belvédère, célèbre pour abriter « Le Baiser » de Gustav Klimt, la cathédrale Saint-Étienne, cœur de Vienne, et le Kunsthistorisches Museum, musée représentatif de l'Autriche, le livre explique méticuleusement chaque petite sculpture le long du parcours, sans en omettre une seule.
En examinant les personnages principaux des statues disséminées dans les sites touristiques les plus célèbres et la signification des petites sculptures ornant les bâtiments, vous découvrirez naturellement l'histoire et la culture de Vienne, ainsi que la mythologie et la Bible à travers les récits contenus dans les œuvres d'art du musée.
Il s'agit d'un guide de voyage documenté qui explore en profondeur les lieux incontournables de Vienne, en Autriche.
Du palais de la Hofburg, résidence des empereurs Habsbourg et de leurs familles, au château de Schönbrunn, résidence d'été impériale, en passant par le Belvédère, célèbre pour abriter « Le Baiser » de Gustav Klimt, la cathédrale Saint-Étienne, cœur de Vienne, et le Kunsthistorisches Museum, musée représentatif de l'Autriche, le livre explique méticuleusement chaque petite sculpture le long du parcours, sans en omettre une seule.
En examinant les personnages principaux des statues disséminées dans les sites touristiques les plus célèbres et la signification des petites sculptures ornant les bâtiments, vous découvrirez naturellement l'histoire et la culture de Vienne, ainsi que la mythologie et la Bible à travers les récits contenus dans les œuvres d'art du musée.
- Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
Aperçu
indice
[Lire d'abord des récits historiques 1] Une brève histoire de l'Autriche
[Histoire de lecture 2] L'ascension et la chute de l'empire des Habsbourg
[Histoire de lecture 3] Les mauvaises relations entre l'empire des Habsbourg et les Turcs ottomans
Chapitre 1.
Hofburg
1.
Le palais impérial de la Hofburg
2.
Heldenplatz
3.
Nouveau Burg
- Kaiserforum et Ringstrasse
[Coup de pouce aux connaissances] Otto Wagner, le maître de l'architecture Art nouveau
- Sculptures de figures frontales
- Le musée d'Éphèse, où les reliques antiques prennent vie
4.
Alteburg
- Statue de François Ier sur la Burgplatz
- Le plus ancien palais suisse, situé dans la Hofburg
- La salle du trésor impérial, où sont exposés les trésors de l'empire des Habsbourg
[Approfondissement des connaissances] Le Saint-Empire romain germanique : une nation ou une confédération ?
[Consultation approfondie] L'empire des Habsbourg, un grand empire bâti grâce à des mariages politiques
- Chapelle royale
5.
Michael Dong
- L'entrée de l'Altenburg, la porte Saint-Michel
- L'église Saint-Michel
[Boost de connaissances] Sissi, la chérie de l'Autriche : qui est-elle ?
6.
Place Joseph
7.
Bibliothèque du Palais Royal
8.
Église augustinienne
9.
Burggarten
Chapitre 2.
Château de Schönbrunn
1.
Le château de Schönbrunn, résidence d'été impériale
2.
Salles du château de Schönbrunn
3.
Personnages historiques que vous rencontrerez au château de Schönbrunn
- La vie mouvementée de François-Joseph Ier
- Les enfants de Marie-Thérèse
- Le château de Schönbrunn et Napoléon
- Charles Ier, le dernier empereur de l'empire
4.
Le jardin de Schönbrunn
- Statues dans le jardin
- Gloriette
- Fontaine de Neptune
- Les ruines de Rome
- Statue d'Égérie
Chapitre 3.
Palais du Belvédère
1.
Belvédère, résidence d'été du prince Eugène
[Boost de connaissances] Le prince Eugène de Savoie, héros autrichien
[Point de connaissances] L'assassinat du prince héritier qui a déclenché la Première Guerre mondiale
2.
Les espaces et les œuvres d'art du Belvédère
- La salle de marbre
Napoléon de Saint-Bernard
- Les trois plus grands peintres autrichiens
-Ha Belvédère
Partie 2.
Cathédrale de Vienne
Chapitre 1.
Cathédrale Saint-Étienne
1.
La cathédrale Saint-Étienne, cœur de Vienne
[Approfondissement des connaissances] Caractéristiques de l'architecture gothique
2.
L'extérieur de la cathédrale Saint-Étienne
- Tour et sculptures extérieures sur la face ouest
- Tour et sculptures extérieures sur la face sud
- Sculptures extérieures du côté est
- Tour et sculptures extérieures sur la face nord
3.
Intérieur de la cathédrale Saint-Étienne
- Autel et chapelles sur la nef de droite (sud)
- L'autel central et les autels qui le précèdent
- Autel et chapelles sur la nef gauche (nord)
Chapitre 2.
D'autres cathédrales
1.
Charles Church
- Colonnes et statues d'anges sur la façade
- Autel central
- Plafond à fresque
2.
Cathédrale des Capucins
3.
Église votive
[Boost de connaissances] Qui est Maximilien Ier ?
Partie 3.
Musées et galeries d'art à Vienne
Chapitre 1.
Musée d'histoire de l'art
1.
La place Marie-Thérèse et le monument Marie-Thérèse
[Connaissances supplémentaires] L'ascension et le règne de Marie-Thérèse
2.
Extérieur du Musée d'Histoire de l'Art
- Sculptures devant le musée d'histoire de l'art
- Sculptures à l'arrière du musée d'histoire de l'art
3.
Hall central du Musée d'histoire de l'art
4.
collection du musée d'histoire de l'art
Chapitre 2.
Autres musées et galeries d'art
1.
Musée d'histoire naturelle de Vienne
- Sculptures devant le Musée d'histoire naturelle
- Sculptures à l'arrière du Musée d'histoire naturelle
- Principales collections du Muséum d'histoire naturelle
2.
Jechesion
3.
Hundertwasserhaus et Kunsthaus Vienne
Partie 4.
Autres lieux
Chapitre 1.
Bâtiment de l'Assemblée nationale
1.
Le Reichstag, l'un des monuments emblématiques du Ringstrasse
2.
L'extérieur du bâtiment de l'Assemblée nationale, qui ressemble à un temple grec
3.
Salles de conférence et salles à l'intérieur du bâtiment de l'Assemblée nationale
Chapitre 2.
Cimetière central vide
1.
Les célèbres personnalités de Vienne dorment
2.
La tombe du musicien le plus populaire du cimetière central
3.
Église commémorative Karl Lueger
Chapitre 3.
Un bon endroit à voir ensemble
1.
hôtel de ville vide
2.
Burgtheater
3.
Opéra national
4.
Rue Graben et mémorial de la peste
[Pour en savoir plus] Gustav Mahler, le musicien qui aimait Vienne
5.
Montre Anker
6.
Parc municipal
[Histoire de lecture 2] L'ascension et la chute de l'empire des Habsbourg
[Histoire de lecture 3] Les mauvaises relations entre l'empire des Habsbourg et les Turcs ottomans
Chapitre 1.
Hofburg
1.
Le palais impérial de la Hofburg
2.
Heldenplatz
3.
Nouveau Burg
- Kaiserforum et Ringstrasse
[Coup de pouce aux connaissances] Otto Wagner, le maître de l'architecture Art nouveau
- Sculptures de figures frontales
- Le musée d'Éphèse, où les reliques antiques prennent vie
4.
Alteburg
- Statue de François Ier sur la Burgplatz
- Le plus ancien palais suisse, situé dans la Hofburg
- La salle du trésor impérial, où sont exposés les trésors de l'empire des Habsbourg
[Approfondissement des connaissances] Le Saint-Empire romain germanique : une nation ou une confédération ?
[Consultation approfondie] L'empire des Habsbourg, un grand empire bâti grâce à des mariages politiques
- Chapelle royale
5.
Michael Dong
- L'entrée de l'Altenburg, la porte Saint-Michel
- L'église Saint-Michel
[Boost de connaissances] Sissi, la chérie de l'Autriche : qui est-elle ?
6.
Place Joseph
7.
Bibliothèque du Palais Royal
8.
Église augustinienne
9.
Burggarten
Chapitre 2.
Château de Schönbrunn
1.
Le château de Schönbrunn, résidence d'été impériale
2.
Salles du château de Schönbrunn
3.
Personnages historiques que vous rencontrerez au château de Schönbrunn
- La vie mouvementée de François-Joseph Ier
- Les enfants de Marie-Thérèse
- Le château de Schönbrunn et Napoléon
- Charles Ier, le dernier empereur de l'empire
4.
Le jardin de Schönbrunn
- Statues dans le jardin
- Gloriette
- Fontaine de Neptune
- Les ruines de Rome
- Statue d'Égérie
Chapitre 3.
Palais du Belvédère
1.
Belvédère, résidence d'été du prince Eugène
[Boost de connaissances] Le prince Eugène de Savoie, héros autrichien
[Point de connaissances] L'assassinat du prince héritier qui a déclenché la Première Guerre mondiale
2.
Les espaces et les œuvres d'art du Belvédère
- La salle de marbre
Napoléon de Saint-Bernard
- Les trois plus grands peintres autrichiens
-Ha Belvédère
Partie 2.
Cathédrale de Vienne
Chapitre 1.
Cathédrale Saint-Étienne
1.
La cathédrale Saint-Étienne, cœur de Vienne
[Approfondissement des connaissances] Caractéristiques de l'architecture gothique
2.
L'extérieur de la cathédrale Saint-Étienne
- Tour et sculptures extérieures sur la face ouest
- Tour et sculptures extérieures sur la face sud
- Sculptures extérieures du côté est
- Tour et sculptures extérieures sur la face nord
3.
Intérieur de la cathédrale Saint-Étienne
- Autel et chapelles sur la nef de droite (sud)
- L'autel central et les autels qui le précèdent
- Autel et chapelles sur la nef gauche (nord)
Chapitre 2.
D'autres cathédrales
1.
Charles Church
- Colonnes et statues d'anges sur la façade
- Autel central
- Plafond à fresque
2.
Cathédrale des Capucins
3.
Église votive
[Boost de connaissances] Qui est Maximilien Ier ?
Partie 3.
Musées et galeries d'art à Vienne
Chapitre 1.
Musée d'histoire de l'art
1.
La place Marie-Thérèse et le monument Marie-Thérèse
[Connaissances supplémentaires] L'ascension et le règne de Marie-Thérèse
2.
Extérieur du Musée d'Histoire de l'Art
- Sculptures devant le musée d'histoire de l'art
- Sculptures à l'arrière du musée d'histoire de l'art
3.
Hall central du Musée d'histoire de l'art
4.
collection du musée d'histoire de l'art
Chapitre 2.
Autres musées et galeries d'art
1.
Musée d'histoire naturelle de Vienne
- Sculptures devant le Musée d'histoire naturelle
- Sculptures à l'arrière du Musée d'histoire naturelle
- Principales collections du Muséum d'histoire naturelle
2.
Jechesion
3.
Hundertwasserhaus et Kunsthaus Vienne
Partie 4.
Autres lieux
Chapitre 1.
Bâtiment de l'Assemblée nationale
1.
Le Reichstag, l'un des monuments emblématiques du Ringstrasse
2.
L'extérieur du bâtiment de l'Assemblée nationale, qui ressemble à un temple grec
3.
Salles de conférence et salles à l'intérieur du bâtiment de l'Assemblée nationale
Chapitre 2.
Cimetière central vide
1.
Les célèbres personnalités de Vienne dorment
2.
La tombe du musicien le plus populaire du cimetière central
3.
Église commémorative Karl Lueger
Chapitre 3.
Un bon endroit à voir ensemble
1.
hôtel de ville vide
2.
Burgtheater
3.
Opéra national
4.
Rue Graben et mémorial de la peste
[Pour en savoir plus] Gustav Mahler, le musicien qui aimait Vienne
5.
Montre Anker
6.
Parc municipal
Image détaillée

Dans le livre
Si Rodolphe Ier a posé les fondements de la prospérité de la maison de Habsbourg, son descendant de sixième génération, Maximilien Ier, a encore consolidé ces fondements.
Non seulement il s'assura la stabilité financière en épousant la riche héritière Marie de Bourgogne, mais il arrangea également des mariages politiques pour ses enfants, ouvrant la voie au développement de la famille Habsbourg en un grand empire.
Il maria son fils Felipe Ier à la princesse espagnole Juana, qui eut la chance d'hériter de l'Espagne et de ses colonies de ses parents, les souverains de la dynastie castillane-aragonaise (Isabelle Ire de Castille et Ferdinand II d'Aragon).
Juana a transmis son héritage à son fils Carlos, faisant ainsi du petit-fils de Maximilien Ier l'héritier légitime de l'Espagne.
Ainsi, la famille des Habsbourg s'est développée en un empire qui régnait non seulement sur l'Autriche, mais aussi sur l'Espagne.
---Extrait de « L'essor et la chute de l'empire des Habsbourg »
Gustav Klimt était un peintre autrichien de renom et une figure clé du mouvement de la Sécession.
Il a démontré son talent non seulement par la peinture, mais aussi par les tableaux qu'il a réalisés sur les murs et les plafonds du Kunsthistorisches Museum, du Burgtheater et du Secession Hall.
Fils d'un orfèvre, Klimt entra à l'École des arts et métiers de Vienne pour étudier la peinture.
Le fait que ses peintures comportent souvent de l'or et des motifs rappelant l'artisanat du métal n'est probablement pas sans lien avec le fait qu'il a grandi en observant le travail de son père.
Après avoir terminé ses études, Klimt fut reconnu pour son travail sur les peintures murales et les plafonds des bâtiments publics autour du Ring, et reçut l'Ordre d'or du Mérite des mains de l'empereur François-Joseph Ier.
À ce moment-là, il semblait qu'un chemin tout tracé s'était ouvert à lui.
Cependant, la peinture du plafond de la Grande Salle de l'Université de Vienne, commandée en 1894, devint le catalyseur de sa rupture avec le monde artistique viennois conservateur et de la fondation de la Sécession.
Il représentait des allégories de la philosophie, de la médecine et du droit dans un style qui lui était propre, mais son caractère excessivement érotique devint un problème.
L'exposition de tableaux vulgaires et pornographiques dans les lieux sacrés du savoir a suscité un tollé général.
Après avoir finalement accepté l'opinion publique et retouché le tableau pour l'atténuer, Klimt n'a plus jamais entrepris de travaux publics.
Ils fondèrent la Sécession, proclamant que « chaque époque a son art, et l'art a la liberté », et s'attachèrent à développer librement leur propre univers artistique.
---Extrait de « Les trois grands peintres autrichiens »
Avant d'explorer les autels de la nef des Apôtres, jetons un coup d'œil à la statue intitulée « Vierge au manteau protecteur ».
Elle est située au sommet du deuxième pilier de chaque côté de la nef centrale, et les deux sculptures sont similaires mais légèrement différentes.
Lorsqu'on regarde l'autel central, la sculpture des vêtements de Marie sur le pilier de gauche est plus ornée.
L'appellation « Vierge Marie au vêtement de protection » vient du fait que l'on peut apercevoir, à l'intérieur du vêtement de la Vierge Marie tenant l'enfant Jésus, des silhouettes humaines comme protégées par ce vêtement.
La donatrice de cette statue serait Dorothea, épouse de Konrad Vorlauf, ancien maire de Vienne.
Elle a dédié cette statue à la cathédrale Saint-Étienne en mémoire de son mari, exécuté pour des raisons politiques.
Celui qui est agenouillé, chapeau bas, dans une pose dévote à droite de la Vierge Marie, est Konrad Vorrauf ; les deux derrière lui sont des saints patrons, et les trois derrière eux seraient des anges.
Tandis que nous contemplons Konrad Vorrauf, protégé par ses saints patrons et ses anges, nous entendons la voix de Dorothée proclamer l'innocence de son mari.
Celle qui prie avec ferveur en tenant un chapelet à gauche de la Vierge Marie est Dorothée, les deux derrière elle sont ses filles, et les trois derrière elles seraient des anges.
Aux pieds de la Vierge Marie, on aperçoit les armoiries de la famille Poarauf, représentant un cheval la patte levée.
Konrad Vorrauf a peut-être été vaincu politiquement, mais la foi inébranlable et la sagesse de sa femme ont sauvé son honneur.
---Extrait de « Cathédrale Saint-Étienne - La Vierge Marie dans la robe de protection »
Le Christ souffrant d'un mal de dents, vu de l'extérieur (côté est), était une réplique ; ceci est l'original.
Initialement intitulée « Jésus sur la croix », il s'agit d'une sculpture représentant le haut du corps de Jésus portant une couronne d'épines (bien que la forme des épines ne soit pas visible) et présentant des plaies au flanc et au dos des mains.
Il existe une histoire selon laquelle on lui aurait donné le nom quelque peu ridicule de « Christ du mal de dents » au lieu de son nom d'origine.
À l'origine, il s'agissait d'une statue placée dans un cimetière.
Cependant, lorsqu'ils trouvèrent l'endroit et virent Jésus avec une expression de douleur extrême due à ses souffrances sur la croix, quelques jeunes gens malicieux plaisantèrent : « On dirait que Jésus a mal aux dents ! »
Mais, par une étrange coïncidence, cette nuit-là, les jeunes gens furent soudainement pris de violents maux de dents. Croyant être punis, ils se rendirent devant une statue du Christ et prièrent pour obtenir le pardon de leurs souffrances atroces.
On raconte qu'après que cet incident fut connu, il reçut le surnom de « Christ des maux de dents ».
---Extrait de « Cathédrale Saint-Étienne - Le Christ souffrant d'un mal de dents »
Née en 1717, Marie-Thérèse était la fille aînée de Charles VI.
Si Charles VI était incapable de donner naissance à un fils, le trône lui reviendrait conformément au décret pragmatique.
Avant sa mort, Charles VI aurait exhorté à plusieurs reprises les pays voisins à respecter la Pragmatique Sanction en prévision de l'accession au trône de Marie-Thérèse.
Cependant, à la mort de Charles VI, les pays voisins déclenchèrent une guerre, déclarant ne pas pouvoir reconnaître sa succession au trône.
La « Guerre de Succession d'Autriche (1740-1748) » éclata.
La Prusse occupa notamment la Silésie, le plus important des territoires des Habsbourg.
La perte de ce lieu fut un crève-cœur pour Maria Theresa.
Marie-Thérèse, qui devait récupérer la Silésie quoi qu'il arrive, commença une guerre contre la Prusse en 1756 (la guerre de Sept Ans), mais échoua finalement, et la Silésie resta un territoire prussien.
Bien qu'elle soit montée sur le trône après un parcours semé d'embûches, elle a réformé l'Empire des Habsbourg, alors en plein chaos, et l'a gouverné avec stabilité grâce à sa passion et sa détermination pour les affaires d'État.
Pour assurer les finances, le système fiscal a été réformé, le système militaire a été réorganisé pour former une armée modernisée et l'enseignement primaire a été rendu obligatoire.
Son règne est qualifié de « dernier renouveau des Habsbourg » car il a apporté stabilité politique, prospérité culturelle et modernisation à la monarchie.
---Extrait de « L’Ascension et le règne de Marie-Thérèse »
Qui était donc Marguerite Thérèse, et pourquoi Velázquez a-t-il peint son portrait année après année ?
Marguerite était la fille du roi Philippe IV d'Espagne, de la dynastie des Habsbourg.
À cette époque, la dynastie des Habsbourg était divisée entre l'Espagne et l'Autriche, et les mariages incestueux entre membres de la famille royale continuaient de préserver la pureté de la lignée.
Marguerite fut également fiancée à Léopold Ier, qui deviendrait plus tard empereur du Saint-Empire romain germanique, alors qu'elle était jeune.
Elle n'avait que deux ans lorsqu'elle se fiança à son oncle, Léopold.
On raconte que la dynastie espagnole des Habsbourg peignait chaque année un portrait de Marguerite et l'envoyait à la dynastie autrichienne des Habsbourg, ses beaux-parents.
Il semblait vouloir lui dire : « Votre belle-fille grandit si bien et est si jolie. »
Cependant, comme Velázquez était le peintre préféré de Philippe IV, c'est lui qui a peint le portrait de la princesse.
Marguerite devint impératrice du Saint-Empire romain germanique lorsqu'elle épousa Léopold à l'âge de 15 ans.
Bien que le mariage de l'empereur et du Bouddha ait été considéré comme heureux, Margarita mourut à l'âge de 22 ans (1651-1673).
Étant donné que plusieurs de ses frères et sœurs sont morts avant de survivre à la petite enfance, elle aurait pu vivre longtemps, mais c'est dommage qu'elle soit morte si jeune.
En contemplant le portrait de la charmante princesse, je prends soudain conscience de la fugacité de la vie.
---Extrait de « Le Musée d'histoire de l'art - Princesse Marguerite-Thérèse »
Franz Schubert, surnommé le « roi du Lieder », était un musicien né, ayant travaillé et étant mort à Vienne.
Il mourut en 1828 à l'âge de 31 ans et fut enterré juste à côté de Beethoven au cimetière de Währing, car il souhaitait être enterré à côté de Beethoven, qu'il avait toujours admiré.
On raconte qu'il aimait tellement Beethoven qu'il s'est porté volontaire pour porter le cercueil lorsque Beethoven est décédé il y a un an.
Le souhait de Schubert d'être auprès de Beethoven même après sa mort fut exaucé au cimetière central après son passage par le cimetière de Währing ; il dut donc être satisfait.
La pierre tombale de Schubert, érigée au cimetière de Währing, porte une inscription rédigée par Franz Grillparzer, un poète célèbre de l'époque. Je souhaite la présenter car la phrase est magnifique.
« L'art de la musique a enfoui ici une richesse inestimable, et un espoir bien plus beau encore. »
On ne saurait rendre un plus bel hommage à Schubert, disparu si jeune.
Non seulement il s'assura la stabilité financière en épousant la riche héritière Marie de Bourgogne, mais il arrangea également des mariages politiques pour ses enfants, ouvrant la voie au développement de la famille Habsbourg en un grand empire.
Il maria son fils Felipe Ier à la princesse espagnole Juana, qui eut la chance d'hériter de l'Espagne et de ses colonies de ses parents, les souverains de la dynastie castillane-aragonaise (Isabelle Ire de Castille et Ferdinand II d'Aragon).
Juana a transmis son héritage à son fils Carlos, faisant ainsi du petit-fils de Maximilien Ier l'héritier légitime de l'Espagne.
Ainsi, la famille des Habsbourg s'est développée en un empire qui régnait non seulement sur l'Autriche, mais aussi sur l'Espagne.
---Extrait de « L'essor et la chute de l'empire des Habsbourg »
Gustav Klimt était un peintre autrichien de renom et une figure clé du mouvement de la Sécession.
Il a démontré son talent non seulement par la peinture, mais aussi par les tableaux qu'il a réalisés sur les murs et les plafonds du Kunsthistorisches Museum, du Burgtheater et du Secession Hall.
Fils d'un orfèvre, Klimt entra à l'École des arts et métiers de Vienne pour étudier la peinture.
Le fait que ses peintures comportent souvent de l'or et des motifs rappelant l'artisanat du métal n'est probablement pas sans lien avec le fait qu'il a grandi en observant le travail de son père.
Après avoir terminé ses études, Klimt fut reconnu pour son travail sur les peintures murales et les plafonds des bâtiments publics autour du Ring, et reçut l'Ordre d'or du Mérite des mains de l'empereur François-Joseph Ier.
À ce moment-là, il semblait qu'un chemin tout tracé s'était ouvert à lui.
Cependant, la peinture du plafond de la Grande Salle de l'Université de Vienne, commandée en 1894, devint le catalyseur de sa rupture avec le monde artistique viennois conservateur et de la fondation de la Sécession.
Il représentait des allégories de la philosophie, de la médecine et du droit dans un style qui lui était propre, mais son caractère excessivement érotique devint un problème.
L'exposition de tableaux vulgaires et pornographiques dans les lieux sacrés du savoir a suscité un tollé général.
Après avoir finalement accepté l'opinion publique et retouché le tableau pour l'atténuer, Klimt n'a plus jamais entrepris de travaux publics.
Ils fondèrent la Sécession, proclamant que « chaque époque a son art, et l'art a la liberté », et s'attachèrent à développer librement leur propre univers artistique.
---Extrait de « Les trois grands peintres autrichiens »
Avant d'explorer les autels de la nef des Apôtres, jetons un coup d'œil à la statue intitulée « Vierge au manteau protecteur ».
Elle est située au sommet du deuxième pilier de chaque côté de la nef centrale, et les deux sculptures sont similaires mais légèrement différentes.
Lorsqu'on regarde l'autel central, la sculpture des vêtements de Marie sur le pilier de gauche est plus ornée.
L'appellation « Vierge Marie au vêtement de protection » vient du fait que l'on peut apercevoir, à l'intérieur du vêtement de la Vierge Marie tenant l'enfant Jésus, des silhouettes humaines comme protégées par ce vêtement.
La donatrice de cette statue serait Dorothea, épouse de Konrad Vorlauf, ancien maire de Vienne.
Elle a dédié cette statue à la cathédrale Saint-Étienne en mémoire de son mari, exécuté pour des raisons politiques.
Celui qui est agenouillé, chapeau bas, dans une pose dévote à droite de la Vierge Marie, est Konrad Vorrauf ; les deux derrière lui sont des saints patrons, et les trois derrière eux seraient des anges.
Tandis que nous contemplons Konrad Vorrauf, protégé par ses saints patrons et ses anges, nous entendons la voix de Dorothée proclamer l'innocence de son mari.
Celle qui prie avec ferveur en tenant un chapelet à gauche de la Vierge Marie est Dorothée, les deux derrière elle sont ses filles, et les trois derrière elles seraient des anges.
Aux pieds de la Vierge Marie, on aperçoit les armoiries de la famille Poarauf, représentant un cheval la patte levée.
Konrad Vorrauf a peut-être été vaincu politiquement, mais la foi inébranlable et la sagesse de sa femme ont sauvé son honneur.
---Extrait de « Cathédrale Saint-Étienne - La Vierge Marie dans la robe de protection »
Le Christ souffrant d'un mal de dents, vu de l'extérieur (côté est), était une réplique ; ceci est l'original.
Initialement intitulée « Jésus sur la croix », il s'agit d'une sculpture représentant le haut du corps de Jésus portant une couronne d'épines (bien que la forme des épines ne soit pas visible) et présentant des plaies au flanc et au dos des mains.
Il existe une histoire selon laquelle on lui aurait donné le nom quelque peu ridicule de « Christ du mal de dents » au lieu de son nom d'origine.
À l'origine, il s'agissait d'une statue placée dans un cimetière.
Cependant, lorsqu'ils trouvèrent l'endroit et virent Jésus avec une expression de douleur extrême due à ses souffrances sur la croix, quelques jeunes gens malicieux plaisantèrent : « On dirait que Jésus a mal aux dents ! »
Mais, par une étrange coïncidence, cette nuit-là, les jeunes gens furent soudainement pris de violents maux de dents. Croyant être punis, ils se rendirent devant une statue du Christ et prièrent pour obtenir le pardon de leurs souffrances atroces.
On raconte qu'après que cet incident fut connu, il reçut le surnom de « Christ des maux de dents ».
---Extrait de « Cathédrale Saint-Étienne - Le Christ souffrant d'un mal de dents »
Née en 1717, Marie-Thérèse était la fille aînée de Charles VI.
Si Charles VI était incapable de donner naissance à un fils, le trône lui reviendrait conformément au décret pragmatique.
Avant sa mort, Charles VI aurait exhorté à plusieurs reprises les pays voisins à respecter la Pragmatique Sanction en prévision de l'accession au trône de Marie-Thérèse.
Cependant, à la mort de Charles VI, les pays voisins déclenchèrent une guerre, déclarant ne pas pouvoir reconnaître sa succession au trône.
La « Guerre de Succession d'Autriche (1740-1748) » éclata.
La Prusse occupa notamment la Silésie, le plus important des territoires des Habsbourg.
La perte de ce lieu fut un crève-cœur pour Maria Theresa.
Marie-Thérèse, qui devait récupérer la Silésie quoi qu'il arrive, commença une guerre contre la Prusse en 1756 (la guerre de Sept Ans), mais échoua finalement, et la Silésie resta un territoire prussien.
Bien qu'elle soit montée sur le trône après un parcours semé d'embûches, elle a réformé l'Empire des Habsbourg, alors en plein chaos, et l'a gouverné avec stabilité grâce à sa passion et sa détermination pour les affaires d'État.
Pour assurer les finances, le système fiscal a été réformé, le système militaire a été réorganisé pour former une armée modernisée et l'enseignement primaire a été rendu obligatoire.
Son règne est qualifié de « dernier renouveau des Habsbourg » car il a apporté stabilité politique, prospérité culturelle et modernisation à la monarchie.
---Extrait de « L’Ascension et le règne de Marie-Thérèse »
Qui était donc Marguerite Thérèse, et pourquoi Velázquez a-t-il peint son portrait année après année ?
Marguerite était la fille du roi Philippe IV d'Espagne, de la dynastie des Habsbourg.
À cette époque, la dynastie des Habsbourg était divisée entre l'Espagne et l'Autriche, et les mariages incestueux entre membres de la famille royale continuaient de préserver la pureté de la lignée.
Marguerite fut également fiancée à Léopold Ier, qui deviendrait plus tard empereur du Saint-Empire romain germanique, alors qu'elle était jeune.
Elle n'avait que deux ans lorsqu'elle se fiança à son oncle, Léopold.
On raconte que la dynastie espagnole des Habsbourg peignait chaque année un portrait de Marguerite et l'envoyait à la dynastie autrichienne des Habsbourg, ses beaux-parents.
Il semblait vouloir lui dire : « Votre belle-fille grandit si bien et est si jolie. »
Cependant, comme Velázquez était le peintre préféré de Philippe IV, c'est lui qui a peint le portrait de la princesse.
Marguerite devint impératrice du Saint-Empire romain germanique lorsqu'elle épousa Léopold à l'âge de 15 ans.
Bien que le mariage de l'empereur et du Bouddha ait été considéré comme heureux, Margarita mourut à l'âge de 22 ans (1651-1673).
Étant donné que plusieurs de ses frères et sœurs sont morts avant de survivre à la petite enfance, elle aurait pu vivre longtemps, mais c'est dommage qu'elle soit morte si jeune.
En contemplant le portrait de la charmante princesse, je prends soudain conscience de la fugacité de la vie.
---Extrait de « Le Musée d'histoire de l'art - Princesse Marguerite-Thérèse »
Franz Schubert, surnommé le « roi du Lieder », était un musicien né, ayant travaillé et étant mort à Vienne.
Il mourut en 1828 à l'âge de 31 ans et fut enterré juste à côté de Beethoven au cimetière de Währing, car il souhaitait être enterré à côté de Beethoven, qu'il avait toujours admiré.
On raconte qu'il aimait tellement Beethoven qu'il s'est porté volontaire pour porter le cercueil lorsque Beethoven est décédé il y a un an.
Le souhait de Schubert d'être auprès de Beethoven même après sa mort fut exaucé au cimetière central après son passage par le cimetière de Währing ; il dut donc être satisfait.
La pierre tombale de Schubert, érigée au cimetière de Währing, porte une inscription rédigée par Franz Grillparzer, un poète célèbre de l'époque. Je souhaite la présenter car la phrase est magnifique.
« L'art de la musique a enfoui ici une richesse inestimable, et un espoir bien plus beau encore. »
On ne saurait rendre un plus bel hommage à Schubert, disparu si jeune.
---Parmi les « tombes de musiciens qui attirent le plus l’attention au cimetière central »
Avis de l'éditeur
Un guide unique et compétent qui explore méticuleusement les lieux incontournables de Vienne !
La série [Unique Knowledge Travel] est conçue pour aider les voyageurs à éprouver la joie de la connaissance en acquérant de nouvelles connaissances grâce au voyage et en les intégrant à leurs connaissances existantes en fournissant des explications détaillées sur les attractions incontournables des villes du monde entier le long d'un itinéraire.
Tout le monde y est passé, et tout le monde pense savoir, mais la profondeur des connaissances varie selon le point de vue.
Couvrant un large éventail de sujets, dont la mythologie, l'histoire, l'art et la Bible, qui servent de connaissances de base pour un voyage en Europe, le livre est écrit dans un style naturel et fluide, comme s'il était raconté par un conteur spirituel, captivant le cœur du lecteur sans être ennuyeux ni difficile.
Dans la série de voyages de découverte unique « J’ai envie d’y aller » [J’ai envie d’y aller, Vienne], nous commençons par la Hofburg, une attraction majeure de Vienne, en Autriche, et visitons des cathédrales et des musées historiques situés dans toute la ville.
Le palais de la Hofburg est la résidence impériale des empereurs Habsbourg et de leurs familles. Outre ses murs, il abrite des musées, des bibliothèques, des galeries d'art, des églises, des jardins, des théâtres, des manèges, des places et un jardin botanique. La richesse de ses attraits est telle que la simple connaissance du palais de la Hofburg suffit à appréhender l'histoire et la culture autrichiennes.
La visite du Hofburg commence à Heldenplatz, accessible en passant par Burgtor, l'entrée du Hofburg.
Heldenplatz signifie « Place des Héros », et en commençant par découvrir qui sont les « héros » qui y sont honorés, on peut naturellement apprendre l'histoire de Vienne en examinant attentivement les statues équestres et les statues qui occupent chaque place de la Hofburg, ainsi que les visages et les figures des statues qui ornent les façades des bâtiments.
Il raconte également l'histoire des collections du musée de la Hofburg et des personnages historiques qui y sont associés.
Le château de Schönbrunn, résidence d'été impériale, est également un incontournable lors d'un voyage à Vienne.
Vous pourrez y découvrir des chambres où ont séjourné des personnages historiques, notamment Marie-Thérèse, qui a mené l'empire à son dernier âge d'or grâce à son pouvoir absolu, François-Joseph Ier et l'impératrice Élisabeth, qui ont fait de leur mieux pour maintenir l'empire au milieu de situations politiques en constante évolution, Charles Ier, le dernier empereur de l'empire, et Napoléon, qui a remporté la bataille contre l'Autriche et a occupé ce pays.
Écoutez des récits de l'histoire de l'Empire autrichien tout en suivant les traces de personnages historiques qui reposent ici.
Au tournant du siècle, Vienne était un centre européen pour divers domaines artistiques.
Vienne a connu un âge d'or culturel, attirant des artistes talentueux non seulement en musique, mais aussi en peinture, en architecture, en décoration intérieure et en arts du spectacle.
Vienne attire aujourd'hui d'innombrables voyageurs en mettant en valeur ces réalisations artistiques de la fin du XIXe siècle.
Le Belvédère est un lieu exceptionnel où l'on peut admirer des œuvres de Gustav Klimt, Egon Schiele et Oskar Kokoschka.
La cathédrale Saint-Étienne, située au cœur de Vienne, est comme le cœur de la ville.
Comme de nombreuses cathédrales européennes, les murs extérieurs de la cathédrale Saint-Étienne sont ornés de sculptures variées. Vous pouvez commencer par en étudier la signification, puis, une fois à l'intérieur, écouter les récits qui entourent les chapelles et les autels de chaque nef, ainsi que les saints qui y sont représentés.
Nous découvrirons également les nombreuses cathédrales de Vienne, notamment la Karlskirche, construite pour commémorer la fin de la peste, la cathédrale des Capucins, qui abrite la crypte impériale, et l'église votive, dédiée à l'empereur par son frère Maximilien.
Le Kunsthistorisches Museum, que l'on peut considérer comme le musée représentatif de l'Autriche, est situé en face du Musée d'histoire naturelle, autour de la place Maria Theresa, où se dresse une statue de l'impératrice Marie-Thérèse.
Elle est assise avec une expression digne mais bienveillante, et le parchemin qu'elle tient dans sa main gauche est le « Décret Impérial National » qui a légitimé son accession au trône.
À commencer par son histoire, la collection de peintures du Musée des Beaux-Arts rivalise avec celles du Louvre et du Prado ; enrichissez vos connaissances en mythologie, histoire, art et Bible grâce aux nombreuses œuvres d'art qu'il abrite.
Voici quelques lieux où vous pourrez découvrir la richesse de la culture et des arts autrichiens : le Musée d'histoire naturelle, né de la collection de roches et de pierres précieuses de François Ier, empereur du Saint-Empire romain germanique, grand amateur de sciences naturelles ; le Musée de la Sécession, qui expose les œuvres des peintres de ce mouvement ayant enrichi la scène culturelle et artistique viennoise par leur audace et leur liberté face aux coutumes et traditions ; et l'architecture remarquable d'Hundertwasser, surnommé le Gaudí autrichien. Nous vous proposons également des sites incontournables à visiter ensemble : le Parlement, inspiré d'un temple grec ; le cimetière central de Vienne, où reposent des personnalités viennoises ; l'Hôtel de Ville ; le Burgtheater ; et l'Opéra d'État.
Vienne ressemble davantage à une ville de messieurs polis qui se taisent pour ne pas perdre la face qu'à une ville de dames à la voix douce.
Mais ce monsieur était de noble naissance, possédait une connaissance approfondie des arts et une personnalité douce et aimable.
Vienne, un endroit où l'on peut entendre le cliquetis des sabots des chevaux et voir les tramways circuler lentement sur leurs voies.
Pour les voyageurs qui prévoient de se rendre à Vienne, en Autriche, [I Want to Go, Vienne] sera un guide de voyage convivial et détaillé.
La série [Unique Knowledge Travel] est conçue pour aider les voyageurs à éprouver la joie de la connaissance en acquérant de nouvelles connaissances grâce au voyage et en les intégrant à leurs connaissances existantes en fournissant des explications détaillées sur les attractions incontournables des villes du monde entier le long d'un itinéraire.
Tout le monde y est passé, et tout le monde pense savoir, mais la profondeur des connaissances varie selon le point de vue.
Couvrant un large éventail de sujets, dont la mythologie, l'histoire, l'art et la Bible, qui servent de connaissances de base pour un voyage en Europe, le livre est écrit dans un style naturel et fluide, comme s'il était raconté par un conteur spirituel, captivant le cœur du lecteur sans être ennuyeux ni difficile.
Dans la série de voyages de découverte unique « J’ai envie d’y aller » [J’ai envie d’y aller, Vienne], nous commençons par la Hofburg, une attraction majeure de Vienne, en Autriche, et visitons des cathédrales et des musées historiques situés dans toute la ville.
Le palais de la Hofburg est la résidence impériale des empereurs Habsbourg et de leurs familles. Outre ses murs, il abrite des musées, des bibliothèques, des galeries d'art, des églises, des jardins, des théâtres, des manèges, des places et un jardin botanique. La richesse de ses attraits est telle que la simple connaissance du palais de la Hofburg suffit à appréhender l'histoire et la culture autrichiennes.
La visite du Hofburg commence à Heldenplatz, accessible en passant par Burgtor, l'entrée du Hofburg.
Heldenplatz signifie « Place des Héros », et en commençant par découvrir qui sont les « héros » qui y sont honorés, on peut naturellement apprendre l'histoire de Vienne en examinant attentivement les statues équestres et les statues qui occupent chaque place de la Hofburg, ainsi que les visages et les figures des statues qui ornent les façades des bâtiments.
Il raconte également l'histoire des collections du musée de la Hofburg et des personnages historiques qui y sont associés.
Le château de Schönbrunn, résidence d'été impériale, est également un incontournable lors d'un voyage à Vienne.
Vous pourrez y découvrir des chambres où ont séjourné des personnages historiques, notamment Marie-Thérèse, qui a mené l'empire à son dernier âge d'or grâce à son pouvoir absolu, François-Joseph Ier et l'impératrice Élisabeth, qui ont fait de leur mieux pour maintenir l'empire au milieu de situations politiques en constante évolution, Charles Ier, le dernier empereur de l'empire, et Napoléon, qui a remporté la bataille contre l'Autriche et a occupé ce pays.
Écoutez des récits de l'histoire de l'Empire autrichien tout en suivant les traces de personnages historiques qui reposent ici.
Au tournant du siècle, Vienne était un centre européen pour divers domaines artistiques.
Vienne a connu un âge d'or culturel, attirant des artistes talentueux non seulement en musique, mais aussi en peinture, en architecture, en décoration intérieure et en arts du spectacle.
Vienne attire aujourd'hui d'innombrables voyageurs en mettant en valeur ces réalisations artistiques de la fin du XIXe siècle.
Le Belvédère est un lieu exceptionnel où l'on peut admirer des œuvres de Gustav Klimt, Egon Schiele et Oskar Kokoschka.
La cathédrale Saint-Étienne, située au cœur de Vienne, est comme le cœur de la ville.
Comme de nombreuses cathédrales européennes, les murs extérieurs de la cathédrale Saint-Étienne sont ornés de sculptures variées. Vous pouvez commencer par en étudier la signification, puis, une fois à l'intérieur, écouter les récits qui entourent les chapelles et les autels de chaque nef, ainsi que les saints qui y sont représentés.
Nous découvrirons également les nombreuses cathédrales de Vienne, notamment la Karlskirche, construite pour commémorer la fin de la peste, la cathédrale des Capucins, qui abrite la crypte impériale, et l'église votive, dédiée à l'empereur par son frère Maximilien.
Le Kunsthistorisches Museum, que l'on peut considérer comme le musée représentatif de l'Autriche, est situé en face du Musée d'histoire naturelle, autour de la place Maria Theresa, où se dresse une statue de l'impératrice Marie-Thérèse.
Elle est assise avec une expression digne mais bienveillante, et le parchemin qu'elle tient dans sa main gauche est le « Décret Impérial National » qui a légitimé son accession au trône.
À commencer par son histoire, la collection de peintures du Musée des Beaux-Arts rivalise avec celles du Louvre et du Prado ; enrichissez vos connaissances en mythologie, histoire, art et Bible grâce aux nombreuses œuvres d'art qu'il abrite.
Voici quelques lieux où vous pourrez découvrir la richesse de la culture et des arts autrichiens : le Musée d'histoire naturelle, né de la collection de roches et de pierres précieuses de François Ier, empereur du Saint-Empire romain germanique, grand amateur de sciences naturelles ; le Musée de la Sécession, qui expose les œuvres des peintres de ce mouvement ayant enrichi la scène culturelle et artistique viennoise par leur audace et leur liberté face aux coutumes et traditions ; et l'architecture remarquable d'Hundertwasser, surnommé le Gaudí autrichien. Nous vous proposons également des sites incontournables à visiter ensemble : le Parlement, inspiré d'un temple grec ; le cimetière central de Vienne, où reposent des personnalités viennoises ; l'Hôtel de Ville ; le Burgtheater ; et l'Opéra d'État.
Vienne ressemble davantage à une ville de messieurs polis qui se taisent pour ne pas perdre la face qu'à une ville de dames à la voix douce.
Mais ce monsieur était de noble naissance, possédait une connaissance approfondie des arts et une personnalité douce et aimable.
Vienne, un endroit où l'on peut entendre le cliquetis des sabots des chevaux et voir les tramways circuler lentement sur leurs voies.
Pour les voyageurs qui prévoient de se rendre à Vienne, en Autriche, [I Want to Go, Vienne] sera un guide de voyage convivial et détaillé.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 25 avril 2019
Nombre de pages, poids, dimensions : 480 pages | 726 g | 152 × 225 × 30 mm
- ISBN13 : 9791187616627
- ISBN10 : 1187616621
Vous aimerez peut-être aussi
카테고리
Langue coréenne
Langue coréenne