
Guerre de Cent Ans 1337–1453
Description
Introduction au livre
L'histoire de la guerre de Cent Ans, présentée pour la première fois en Corée
Game of Thrones au XXIe siècle
« Il n’existe pas de récit plus facile, plus amusant ou plus précis de la guerre de Cent Ans. »
La guerre de Cent Ans, qui débuta par un différend sur le droit de succéder au trône, a finalement donné naissance aux germes d'une nation moderne.
Une épopée centenaire, mélange de noblesse chevaleresque et de champs de bataille sanglants, renaît au XXIe siècle.
Édouard III, qui revendiquait le droit au trône de France et déclencha la guerre de Cent Ans,
Charles Quint, physiquement faible, a su mener la guerre avec sagesse grâce à son intelligence et sa perspicacité exceptionnelles.
Henri V, qui était sur le point de conquérir la France, mais qui finit par s'agenouiller avant de mourir.
Jeanne d'Arc, la véritable star de la guerre de Cent Ans.
Les figures les plus hautes en couleur de l'histoire médiévale européenne reprennent vie au XXIe siècle, racontant avec force les récits tumultueux de la lutte pour l'hégémonie dans l'Europe médiévale.
Game of Thrones au XXIe siècle
« Il n’existe pas de récit plus facile, plus amusant ou plus précis de la guerre de Cent Ans. »
La guerre de Cent Ans, qui débuta par un différend sur le droit de succéder au trône, a finalement donné naissance aux germes d'une nation moderne.
Une épopée centenaire, mélange de noblesse chevaleresque et de champs de bataille sanglants, renaît au XXIe siècle.
Édouard III, qui revendiquait le droit au trône de France et déclencha la guerre de Cent Ans,
Charles Quint, physiquement faible, a su mener la guerre avec sagesse grâce à son intelligence et sa perspicacité exceptionnelles.
Henri V, qui était sur le point de conquérir la France, mais qui finit par s'agenouiller avant de mourir.
Jeanne d'Arc, la véritable star de la guerre de Cent Ans.
Les figures les plus hautes en couleur de l'histoire médiévale européenne reprennent vie au XXIe siècle, racontant avec force les récits tumultueux de la lutte pour l'hégémonie dans l'Europe médiévale.
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Aperçu
indice
Chapitre 1 : Le prélude à la guerre, 1328-1340
Chapitre 2 : Bataille de Crécy, 1340-1350
Chapitre 3 : La bataille de Poitiers et le Prince Noir, 1350-1360
Chapitre 4 Charles le Sage, 1360–1380
Chapitre 5 : La paix perdue, 1380-1399
Chapitre 6 : L'opportunité de l'Angleterre, 1399-1413
Chapitre 7 : Henri V et la bataille d'Azincourt, 1413-1422
Chapitre 8 : Le duc de Bedford, régent de France, 1422–1429
Chapitre 9 Les sorcières d'Orléans, 1429-1435
Chapitre 10 : Secrets 1435–1450
Chapitre 11 : La bataille des ténèbres, 1450-1453
Épilogue
Remerciements
Une brève explication des unités monétaires
Chronologie de la guerre de Cent Ans
Références sélectionnées
Recherche
Chapitre 2 : Bataille de Crécy, 1340-1350
Chapitre 3 : La bataille de Poitiers et le Prince Noir, 1350-1360
Chapitre 4 Charles le Sage, 1360–1380
Chapitre 5 : La paix perdue, 1380-1399
Chapitre 6 : L'opportunité de l'Angleterre, 1399-1413
Chapitre 7 : Henri V et la bataille d'Azincourt, 1413-1422
Chapitre 8 : Le duc de Bedford, régent de France, 1422–1429
Chapitre 9 Les sorcières d'Orléans, 1429-1435
Chapitre 10 : Secrets 1435–1450
Chapitre 11 : La bataille des ténèbres, 1450-1453
Épilogue
Remerciements
Une brève explication des unités monétaires
Chronologie de la guerre de Cent Ans
Références sélectionnées
Recherche
Dans le livre
Les pays d'Europe occidentale pillent systématiquement d'autres pays d'Europe occidentale depuis plus d'un siècle.
Un historien de renom a écrit que les Anglais considéraient la guerre de Cent Ans comme « une entreprise risquée mais, en cas de succès, extrêmement lucrative, dont profitaient tous ceux qui rejoignaient les armées mercenaires d'Édouard III et d'Henri V ».
Il ajoute qu'aux alentours de 1450, « parmi ceux qui ont le plus profité de la guerre figuraient les grandes familles terriennes », tandis que « même parmi les pauvres aventuriers de naissance modeste et sans fortune héritée, beaucoup ont fait fortune ».
En effet, des générations d'Anglais de tous horizons étaient parties en France en quête de grandes richesses.
Tout comme leurs descendants sont allés plus tard en Inde ou en Afrique.
--- p.12
Les Lutiers étaient encore visibles en de nombreux endroits même après le traité de Brétigny.
« Les Anglais, les Gascons et les Allemands refusèrent de se retirer de leurs forts, prétextant avoir besoin de manger », et exigèrent un droit de protection, puis, après avoir épuisé la région, ils s'installèrent dans de nouveaux châteaux et en prirent le contrôle.
Ils ne faisaient que mettre en pratique les inventions anglaises que sont le shubous et la patisse.
Les Free Corps devinrent plus dangereux à mesure qu'ils formaient des unités plus importantes — les Grandes Compagnies — qui étaient divisées en itinéraires (unités) selon l'origine ethnique.
En 1361, une Grande Compagnie descendit le Rhône jusqu'à Avignon, prenant de fait le pape en otage et exigeant une rançon, tandis qu'un autre groupe particulièrement vicieux, les Tard-Vénus (signifiant « les retardataires »), terrorisait Lyon.
--- p.143~144
En 1396, Richard avait imposé un mariage entre lui et Isabelle, la fille de neuf ans de Charles VI, pour une dot de 170 000 livres.
Lors d'un mariage près de Calais, le Camp du Drap d'Or d'une autre époque, il fut tellement ému par sa rencontre avec Charles qu'il commit la terrible erreur de promettre de persuader l'Église d'Angleterre de se soumettre à Avignon et d'œuvrer à la destitution du pape Urbain à Rome.
Les historiens ont sans aucun doute sous-estimé le choc et l'horreur que cette promesse a provoqués parmi les sujets de Richard.
Certains ecclésiastiques anglais ont déclaré : « Notre roi est devenu français. »
« Il est déterminé à nous couvrir de honte et à nous ruiner, mais cela n’arrivera jamais ! » murmura-t-il.
Les Londoniens ordinaires se plaignaient que Richard ait « un cœur français ».
exprimé.
--- p.189~190
Chaque Parisien qui se souvenait du règne de la terreur des Armagnacs craignait le massacre qui suivrait immanquablement le retour du Dauphin, et cette crainte se répandit dans toutes les villes de la France anglo-bourguignonne.
Avant même la conquête lancastrienne, la bourgeoisie parisienne préférait être prisonnière des Anglais plutôt que du Dauphin et des « Armagnacs ».
Plus tard, la bourgeoisie parisienne a décrit la campagne de l'Armagnac comme ayant commis des crimes pires que ceux que « n'importe quel homme ou diable aurait pu commettre ».
Cet observateur rationnel et respectable, vraisemblablement membre du conseil d'administration de la cathédrale Notre-Dame, utilise des expressions telles que « pires que les Sarrasins » et « démons déchaînés ».
Un historien de renom a écrit que les Anglais considéraient la guerre de Cent Ans comme « une entreprise risquée mais, en cas de succès, extrêmement lucrative, dont profitaient tous ceux qui rejoignaient les armées mercenaires d'Édouard III et d'Henri V ».
Il ajoute qu'aux alentours de 1450, « parmi ceux qui ont le plus profité de la guerre figuraient les grandes familles terriennes », tandis que « même parmi les pauvres aventuriers de naissance modeste et sans fortune héritée, beaucoup ont fait fortune ».
En effet, des générations d'Anglais de tous horizons étaient parties en France en quête de grandes richesses.
Tout comme leurs descendants sont allés plus tard en Inde ou en Afrique.
--- p.12
Les Lutiers étaient encore visibles en de nombreux endroits même après le traité de Brétigny.
« Les Anglais, les Gascons et les Allemands refusèrent de se retirer de leurs forts, prétextant avoir besoin de manger », et exigèrent un droit de protection, puis, après avoir épuisé la région, ils s'installèrent dans de nouveaux châteaux et en prirent le contrôle.
Ils ne faisaient que mettre en pratique les inventions anglaises que sont le shubous et la patisse.
Les Free Corps devinrent plus dangereux à mesure qu'ils formaient des unités plus importantes — les Grandes Compagnies — qui étaient divisées en itinéraires (unités) selon l'origine ethnique.
En 1361, une Grande Compagnie descendit le Rhône jusqu'à Avignon, prenant de fait le pape en otage et exigeant une rançon, tandis qu'un autre groupe particulièrement vicieux, les Tard-Vénus (signifiant « les retardataires »), terrorisait Lyon.
--- p.143~144
En 1396, Richard avait imposé un mariage entre lui et Isabelle, la fille de neuf ans de Charles VI, pour une dot de 170 000 livres.
Lors d'un mariage près de Calais, le Camp du Drap d'Or d'une autre époque, il fut tellement ému par sa rencontre avec Charles qu'il commit la terrible erreur de promettre de persuader l'Église d'Angleterre de se soumettre à Avignon et d'œuvrer à la destitution du pape Urbain à Rome.
Les historiens ont sans aucun doute sous-estimé le choc et l'horreur que cette promesse a provoqués parmi les sujets de Richard.
Certains ecclésiastiques anglais ont déclaré : « Notre roi est devenu français. »
« Il est déterminé à nous couvrir de honte et à nous ruiner, mais cela n’arrivera jamais ! » murmura-t-il.
Les Londoniens ordinaires se plaignaient que Richard ait « un cœur français ».
exprimé.
--- p.189~190
Chaque Parisien qui se souvenait du règne de la terreur des Armagnacs craignait le massacre qui suivrait immanquablement le retour du Dauphin, et cette crainte se répandit dans toutes les villes de la France anglo-bourguignonne.
Avant même la conquête lancastrienne, la bourgeoisie parisienne préférait être prisonnière des Anglais plutôt que du Dauphin et des « Armagnacs ».
Plus tard, la bourgeoisie parisienne a décrit la campagne de l'Armagnac comme ayant commis des crimes pires que ceux que « n'importe quel homme ou diable aurait pu commettre ».
Cet observateur rationnel et respectable, vraisemblablement membre du conseil d'administration de la cathédrale Notre-Dame, utilise des expressions telles que « pires que les Sarrasins » et « démons déchaînés ».
--- p.273
Avis de l'éditeur
L'expression « guerre de Cent Ans », qui ne s'est largement répandue qu'à la fin du XIXe siècle, désigne une série de guerres qui ont duré plus de 100 ans.
Cette série de guerres, qui commença en 1337 lorsque Philippe VI de France « confisqua » le duché de Guyenne, alors détenu par les Anglais, à Édouard III, prétendant au trône de France, prit fin en 1453 lorsque l'Angleterre perdit finalement Bordeaux en Guyenne.
La série de guerres comprend la bataille de l'Écluse (1340), la bataille de Crécy (1346), la bataille de Poitiers (1356), la bataille d'Azincourt (1415), l'ascension de Jeanne d'Arc (1429) et la bataille de Castillon (1453).
Cette série de guerres, qui commença en 1337 lorsque Philippe VI de France « confisqua » le duché de Guyenne, alors détenu par les Anglais, à Édouard III, prétendant au trône de France, prit fin en 1453 lorsque l'Angleterre perdit finalement Bordeaux en Guyenne.
La série de guerres comprend la bataille de l'Écluse (1340), la bataille de Crécy (1346), la bataille de Poitiers (1356), la bataille d'Azincourt (1415), l'ascension de Jeanne d'Arc (1429) et la bataille de Castillon (1453).
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 10 mars 2018
Nombre de pages, poids, dimensions : 416 pages | 576 g | 147 × 215 × 22 mm
- ISBN13 : 9788994142692
- ISBN10 : 899414269X
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Langue coréenne
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