
Les leçons de bonheur de Schopenhauer
Description
Introduction au livre
Le livre philosophique le plus réaliste et paradoxal sur le bonheur
La vérité choquante : la quête du bonheur est en réalité la cause du malheur.
Le paradoxe du bonheur et la véritable sagesse de la vie, révélés par un philosophe il y a 200 ans.
« Si tu ris beaucoup, tu seras heureux. »
« Si tu pleures beaucoup, tu seras malheureux. »
Schopenhauer, dans sa jeunesse, découvrit par hasard ces mots en ouvrant un vieux livre.
C'était une affirmation si évidente et si simple, mais il ne l'a jamais oubliée de toute sa vie.
C'est précisément grâce à cette simplicité et à cette clarté.
Schopenhauer dit :
« Ce qui nous rend le plus directement heureux, c’est une âme saine. »
Une personne joyeuse et gaie a elle-même une âme joyeuse.
« Quand la gaieté frappe à la porte, il faut l’ouvrir en grand. »
« La philosophie du bonheur selon Schopenhauer » est un essai qui présente les réflexions d'Arthur Schopenhauer sur le bonheur humain et le sens de la vie.
Ce livre est une simple traduction coréenne de l'essai de Schopenhauer intitulé « La sagesse de la vie ».
Le titre original, « La sagesse de la vie », signifie « la sagesse de la vie » en coréen et fait référence à la technique consistant à organiser sa vie de manière ordonnée pour atteindre la joie et le succès.
En un mot, on peut l'appeler « la science du bonheur » ou « la théorie du bonheur », et ce livre explique comment vivre heureux grâce à la sagesse et à la perspicacité uniques de Schopenhauer.
Du vivant de Schopenhauer, on lui a collé des étiquettes négatives comme « pessimiste, nihiliste, pessimiste », mais en réalité, c'était un philosophe qui aimait la vie et l'humanité plus que quiconque.
Il soutenait que ce monde est plein de souffrance et de malheur, que le bonheur humain dépend de la réduction possible de ces souffrances et de ce malheur, et qu'un monde rempli de bonheur n'est possible que dans l'imagination, et non dans la réalité.
Ce livre souligne que le vrai bonheur ne se trouve pas dans la réussite matérielle ou les conditions extérieures, mais dans la paix intérieure et l'autosuffisance, et propose une réflexion philosophique sur la valeur et la sagesse de la vie.
Il contient des leçons pratiques applicables à la vie quotidienne, ce qui en fait un livre toujours utile aux lecteurs d'aujourd'hui.
La vérité choquante : la quête du bonheur est en réalité la cause du malheur.
Le paradoxe du bonheur et la véritable sagesse de la vie, révélés par un philosophe il y a 200 ans.
« Si tu ris beaucoup, tu seras heureux. »
« Si tu pleures beaucoup, tu seras malheureux. »
Schopenhauer, dans sa jeunesse, découvrit par hasard ces mots en ouvrant un vieux livre.
C'était une affirmation si évidente et si simple, mais il ne l'a jamais oubliée de toute sa vie.
C'est précisément grâce à cette simplicité et à cette clarté.
Schopenhauer dit :
« Ce qui nous rend le plus directement heureux, c’est une âme saine. »
Une personne joyeuse et gaie a elle-même une âme joyeuse.
« Quand la gaieté frappe à la porte, il faut l’ouvrir en grand. »
« La philosophie du bonheur selon Schopenhauer » est un essai qui présente les réflexions d'Arthur Schopenhauer sur le bonheur humain et le sens de la vie.
Ce livre est une simple traduction coréenne de l'essai de Schopenhauer intitulé « La sagesse de la vie ».
Le titre original, « La sagesse de la vie », signifie « la sagesse de la vie » en coréen et fait référence à la technique consistant à organiser sa vie de manière ordonnée pour atteindre la joie et le succès.
En un mot, on peut l'appeler « la science du bonheur » ou « la théorie du bonheur », et ce livre explique comment vivre heureux grâce à la sagesse et à la perspicacité uniques de Schopenhauer.
Du vivant de Schopenhauer, on lui a collé des étiquettes négatives comme « pessimiste, nihiliste, pessimiste », mais en réalité, c'était un philosophe qui aimait la vie et l'humanité plus que quiconque.
Il soutenait que ce monde est plein de souffrance et de malheur, que le bonheur humain dépend de la réduction possible de ces souffrances et de ce malheur, et qu'un monde rempli de bonheur n'est possible que dans l'imagination, et non dans la réalité.
Ce livre souligne que le vrai bonheur ne se trouve pas dans la réussite matérielle ou les conditions extérieures, mais dans la paix intérieure et l'autosuffisance, et propose une réflexion philosophique sur la valeur et la sagesse de la vie.
Il contient des leçons pratiques applicables à la vie quotidienne, ce qui en fait un livre toujours utile aux lecteurs d'aujourd'hui.
- Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
Aperçu
indice
La philosophie et la pensée de Schopenhauer... 7
Qu’est-ce que « La sagesse de la vie » ? ··· 11
Avant de commencer le cours, êtes-vous heureux maintenant ? Ou vous bercez-vous d’illusions en pensant l’être ? ··· 15
1ère période.
Qu'est-ce que le bonheur ? ··· 19
- Le vrai bonheur vient de la richesse intérieure... 20
- La subjectivité détermine l'objectivité... 26
- Nous sommes prisonniers des limites de la conscience... 29
- Les limites de la nature innée... 35
2e période.
Autrement dit, quel genre de personne vais-je devenir ? ··· 39
La gaieté est la plus grande des bénédictions... 43
La santé détermine 90 % du bonheur... 50
- L'influence du tempérament inné... 51
Les risques de dépression extrême... 56
- La valeur du charme... 58
— Les humains, qui oscillent entre douleur et ennui… 60
La différence entre un imbécile et un génie… 65
- La nature humaine dans les jeux de cartes... 68
Le temps libre est la fleur et le fruit de la vie... 71
- Trouvez le vrai bonheur dans la solitude... 77
- Les trois sources de joie... 82
- La vie des foules et la vie des intellectuels... 87
La vie avec et sans centre intérieur... 90
- La véritable image d'une personne libre... 95
— Les Philistins, caractéristiques des gens vulgaires… 100
3e période : Qu'est-ce qui m'est donné, qu'est-ce qui m'appartient ? ··· 107
La relativité de la propriété et du désir... 110
La vérité qui dérange sur l'argent... 112
La différence entre le talent et le capital... 114
Le paradoxe de la peur de la pauvreté... 117
La véritable valeur de la propriété... 119
4ème période.
Ma position, où suis-je ? ··· 127
- Section 1.
La réputation, l'ombre créée par la vanité de l'esprit... 129
- Section 2.
La fierté, un sentiment de fierté... 150
- Section 3.
Statut, l'étiquette qui m'est collée... 160
- Section 4.
L’honneur, un cœur qu’il faut protéger… 170
- Section 5.
La gloire, ce cœur qu'il faut gagner… 180
Conclusion du cours : Ne gaspillez pas votre vie à essayer de plaire aux autres… 188
Qu’est-ce que « La sagesse de la vie » ? ··· 11
Avant de commencer le cours, êtes-vous heureux maintenant ? Ou vous bercez-vous d’illusions en pensant l’être ? ··· 15
1ère période.
Qu'est-ce que le bonheur ? ··· 19
- Le vrai bonheur vient de la richesse intérieure... 20
- La subjectivité détermine l'objectivité... 26
- Nous sommes prisonniers des limites de la conscience... 29
- Les limites de la nature innée... 35
2e période.
Autrement dit, quel genre de personne vais-je devenir ? ··· 39
La gaieté est la plus grande des bénédictions... 43
La santé détermine 90 % du bonheur... 50
- L'influence du tempérament inné... 51
Les risques de dépression extrême... 56
- La valeur du charme... 58
— Les humains, qui oscillent entre douleur et ennui… 60
La différence entre un imbécile et un génie… 65
- La nature humaine dans les jeux de cartes... 68
Le temps libre est la fleur et le fruit de la vie... 71
- Trouvez le vrai bonheur dans la solitude... 77
- Les trois sources de joie... 82
- La vie des foules et la vie des intellectuels... 87
La vie avec et sans centre intérieur... 90
- La véritable image d'une personne libre... 95
— Les Philistins, caractéristiques des gens vulgaires… 100
3e période : Qu'est-ce qui m'est donné, qu'est-ce qui m'appartient ? ··· 107
La relativité de la propriété et du désir... 110
La vérité qui dérange sur l'argent... 112
La différence entre le talent et le capital... 114
Le paradoxe de la peur de la pauvreté... 117
La véritable valeur de la propriété... 119
4ème période.
Ma position, où suis-je ? ··· 127
- Section 1.
La réputation, l'ombre créée par la vanité de l'esprit... 129
- Section 2.
La fierté, un sentiment de fierté... 150
- Section 3.
Statut, l'étiquette qui m'est collée... 160
- Section 4.
L’honneur, un cœur qu’il faut protéger… 170
- Section 5.
La gloire, ce cœur qu'il faut gagner… 180
Conclusion du cours : Ne gaspillez pas votre vie à essayer de plaire aux autres… 188
Image détaillée

Dans le livre
« Nous sommes prisonniers des limites fixées par notre conscience, et nous ne pouvons pas aller au-delà de ces limites. »
C'est comme si ça ne pouvait même pas pénétrer l'épaisseur de la peau qui recouvre notre corps.
L'aide extérieure nous est donc de peu d'utilité.
--- p.29
« La gaieté est la plus grande des bénédictions. »
Une personne joyeuse et heureuse a toujours une raison.
« Parce que l’âme elle-même est joyeuse. »
--- p.43
« La santé détermine 90 % du bonheur. »
« Quand on est en bonne santé, tout est agréable, mais quand on perd la santé, plus rien n’est agréable. »
--- p.50
« Le monde dans lequel vit une personne est déterminé par la façon dont elle perçoit le monde. »
Par conséquent, le monde de chaque personne est forcément différent.
--- p.26
« Ne gaspillez pas votre vie à essayer d’impressionner les autres. Tout comme un palefrenier entraîne son cheval, vous devez entraîner votre esprit pour atteindre le bonheur. »
--- p.188
« Si tu ris beaucoup, tu seras heureux. »
« Si tu pleures beaucoup, tu seras malheureux. »
--- p.43
« La gaieté a des bienfaits directs et immédiats. »
« Contrairement à un chèque que vous déposez à la banque, c’est comme de l’argent liquide qui vous apporte du bonheur immédiatement, à cet instant précis. »
--- p.45
« Les loisirs sont la fleur et le fruit de la vie. »
--- p.71
«Trouve le vrai bonheur dans la solitude.»
--- p.77
« Les gens ne sont pas influencés par les choses elles-mêmes, mais par la façon dont ils les perçoivent. »
--- p.49
« Ce n’est pas la richesse qui perdure, mais la nature. »
--- p.41
« La vitalité, c'est le mouvement. »
--- p.47
« Plus un mouvement est rapide, plus il est intense. »
--- p.48
« Le bonheur dépend de notre esprit, et notre esprit est également affecté par notre santé. »
--- p.50
« N’oublions pas que rien ne peut passer avant la santé. »
--- p.51
« Les malheurs qui frappent les personnes d’un tempérament mélancolique sont créés par l’imagination de ce qui pourrait arriver, même si cela ne s’est jamais produit. »
--- p.54
« Les gens gaspillent leur temps et recherchent toutes sortes de luxes parce que leur âme est vide. »
--- p.61
« L’abondance intérieure, c’est-à-dire un esprit riche, est une excellente protection contre ce vide. »
--- p.62
« Un homme sage recherche avant tout la liberté face à la douleur et aux troubles, le calme et les loisirs. »
--- p.63
« Plus nous avons de richesses intérieures, moins nous attendons des autres. »
C'est comme si ça ne pouvait même pas pénétrer l'épaisseur de la peau qui recouvre notre corps.
L'aide extérieure nous est donc de peu d'utilité.
--- p.29
« La gaieté est la plus grande des bénédictions. »
Une personne joyeuse et heureuse a toujours une raison.
« Parce que l’âme elle-même est joyeuse. »
--- p.43
« La santé détermine 90 % du bonheur. »
« Quand on est en bonne santé, tout est agréable, mais quand on perd la santé, plus rien n’est agréable. »
--- p.50
« Le monde dans lequel vit une personne est déterminé par la façon dont elle perçoit le monde. »
Par conséquent, le monde de chaque personne est forcément différent.
--- p.26
« Ne gaspillez pas votre vie à essayer d’impressionner les autres. Tout comme un palefrenier entraîne son cheval, vous devez entraîner votre esprit pour atteindre le bonheur. »
--- p.188
« Si tu ris beaucoup, tu seras heureux. »
« Si tu pleures beaucoup, tu seras malheureux. »
--- p.43
« La gaieté a des bienfaits directs et immédiats. »
« Contrairement à un chèque que vous déposez à la banque, c’est comme de l’argent liquide qui vous apporte du bonheur immédiatement, à cet instant précis. »
--- p.45
« Les loisirs sont la fleur et le fruit de la vie. »
--- p.71
«Trouve le vrai bonheur dans la solitude.»
--- p.77
« Les gens ne sont pas influencés par les choses elles-mêmes, mais par la façon dont ils les perçoivent. »
--- p.49
« Ce n’est pas la richesse qui perdure, mais la nature. »
--- p.41
« La vitalité, c'est le mouvement. »
--- p.47
« Plus un mouvement est rapide, plus il est intense. »
--- p.48
« Le bonheur dépend de notre esprit, et notre esprit est également affecté par notre santé. »
--- p.50
« N’oublions pas que rien ne peut passer avant la santé. »
--- p.51
« Les malheurs qui frappent les personnes d’un tempérament mélancolique sont créés par l’imagination de ce qui pourrait arriver, même si cela ne s’est jamais produit. »
--- p.54
« Les gens gaspillent leur temps et recherchent toutes sortes de luxes parce que leur âme est vide. »
--- p.61
« L’abondance intérieure, c’est-à-dire un esprit riche, est une excellente protection contre ce vide. »
--- p.62
« Un homme sage recherche avant tout la liberté face à la douleur et aux troubles, le calme et les loisirs. »
--- p.63
« Plus nous avons de richesses intérieures, moins nous attendons des autres. »
--- p.64
Avis de l'éditeur
Pourquoi plus nous recherchons le bonheur, plus nous devenons malheureux ?
Une réflexion philosophique qui remet en question l'obsession du bonheur chez les hommes modernes.
« Es-tu heureux ? Es-tu joyeux et gai ? »
Peu de gens répondraient spontanément par l'affirmative à cette affirmation.
Dans la vie, des choses difficiles se produisent et la vie n'est pas facile tous les jours.
Nous recherchons le bonheur matériel pour oublier temporairement la douleur de la vie, mais bientôt nos cœurs se vident.
Les gens modernes s'efforcent constamment d'être heureux.
Je lis des livres de développement personnel, je médite et j'essaie de cultiver une pensée positive.
Mais pourquoi sommes-nous encore malheureux ? La « Philosophie du bonheur » de Schopenhauer offre la réponse la plus réaliste à ce dilemme, proposée par un philosophe il y a 200 ans.
Schopenhauer estime que la recherche directe du bonheur est en réalité la cause du malheur.
De même que plus on essaie d'attraper une ombre, plus elle s'éloigne, plus on court après le bonheur, plus il s'enfuit.
Il conseille plutôt de se concentrer sur la réduction de la douleur et du malheur.
La caractéristique la plus frappante de ce livre est son approche réaliste.
Schopenhauer ne dit pas que le bonheur parfait est possible.
Étant donné la nature humaine, la satisfaction totale est impossible, et le mieux que nous puissions faire est de minimiser la souffrance.
Ce point de vue est exactement à l'opposé du message véhiculé par la « psychologie positive » et « l'industrie du bonheur » d'aujourd'hui.
Ses analyses de la culture des médias sociaux et de la consommation ostentatoire, notamment dans la société moderne, sont remarquablement prophétiques.
Bien que ce livre ait été écrit il y a 200 ans, il dépeint avec précision l'image des gens modernes obsédés par le regard des autres.
Son conseil, « Ne gaspillez pas votre vie à essayer de plaire aux autres », résonne encore plus profondément auprès des personnes modernes obsédées par le nombre de « j’aime » et d’« abonnés ».
Ce livre nous aide également à redécouvrir la valeur de la « solitude ».
Pour les personnes modernes qui souffrent de cette compulsion à être constamment connectées, cela nous rappelle combien les moments de solitude sont précieux.
Son message selon lequel une personne véritablement libre est celle qui a construit son propre monde intérieur sans dépendre des autres reste valable aujourd'hui.
Le bonheur dépend-il à 90 % de la santé ?
Schopenhauer divise le bonheur en trois catégories.
Il s'agit des questions suivantes : « Quel genre de personne suis-je ? », « Qu'est-ce que je possède ? » et « Comment les autres m'évaluent-ils ? »
La plus importante de ces questions est la première : « Quel genre de personne suis-je ? »
Ce sont nos qualités intérieures, telles que la santé, le courage, le charme, le tempérament, la moralité et l'intelligence, qui sont la source du vrai bonheur.
Il affirme notamment que « la santé détermine 90 % du bonheur ».
Car lorsque l'on est en bonne santé, tout est agréable, mais lorsque l'on perd la santé, plus rien n'est agréable.
Ses propos selon lesquels la « gaieté » est la « plus grande bénédiction » et la « clé du bonheur » qui mène au bonheur prennent une signification particulière pour les personnes modernes souffrant de dépression et d'anxiété.
La joie est une récompense directe en soi, et contrairement à un chèque que vous déposez à la banque, c'est comme de l'argent liquide qui vous procure du bonheur immédiatement, à cet instant précis.
La véritable liberté se trouve dans la solitude
La société moderne met constamment l'accent sur les relations avec autrui.
Les réseaux sociaux, les médias sociaux et les rassemblements divers remplissent nos vies.
Mais Schopenhauer véhicule le message inverse.
«Trouve le vrai bonheur dans la solitude.»
Il affirme que « le temps libre est la fleur et le fruit de la vie » et soutient que, grâce à ces moments de solitude, on peut se tourner vers son for intérieur et découvrir sa véritable nature.
Une vie guidée par sa propre paix intérieure est bien plus riche qu'une vie passée à essayer d'être acceptée par la foule.
Dans le passage expliquant « la différence entre un imbécile et un génie », il souligne l’importance des capacités intellectuelles.
Pour une personne dotée de capacités mentales exceptionnelles, de nombreux événements peuvent être des expériences passionnantes et aventureuses, mais pour une personne à l'esprit ennuyeux, ils ne sont rien de plus qu'une routine monotone.
Le piège de la vanité et de l'évaluation externe
La dernière partie du livre traite du piège dans lequel tombent la plupart des gens modernes : « le regard des autres ».
Cela montre combien il est futile de s'accrocher à des évaluations externes telles que la réputation, l'estime de soi, le statut, l'honneur et la célébrité.
Schopenhauer critique l’illusion de la réputation par l’expression « ombres créées par la vanité de l’esprit ».
La plupart des choses que nous poursuivons ne sont en réalité que des illusions créées par la vanité de notre esprit.
Son conseil, « Ne gaspillez pas votre vie à essayer de plaire aux autres », est encore plus urgent pour les gens modernes vivant à l'ère des médias sociaux.
Son message, selon lequel le bonheur ne peut être atteint qu'en domptant son esprit, tout comme un palefrenier dompte un cheval, reste d'actualité et puissant même aujourd'hui, dans un monde saturé de livres de développement personnel.
La paix intérieure, et non la réussite matérielle
Ce qui distingue ce livre des autres théories du bonheur, c'est son approche réaliste.
Schopenhauer ne prétend pas que le bonheur parfait puisse être atteint.
Je crois plutôt que le bonheur dépend de notre capacité à réduire la douleur et le malheur.
À travers la notion de « relativité de la richesse et du désir », il explique que l'abondance matérielle ne garantit pas nécessairement le bonheur.
Redéfinir le véritable sens de la richesse à travers le paradoxe de la peur de la pauvreté et la différence entre talent et capital.
Le chapitre intitulé « La vérité qui dérange sur l'argent » propose une analyse lucide du rôle et des limites de l'argent dans la société capitaliste moderne.
L'argent n'est qu'un moyen et ne peut être une fin en soi, et la poursuite de l'argent en elle-même ne mène finalement qu'au vide.
Une sagesse intemporelle s'étendant sur 200 ans
La philosophie du bonheur de Schopenhauer n'est pas simplement un livre de philosophie.
C'est un guide de vie qui propose des solutions concrètes et pratiques aux problèmes du monde réel auxquels nous sommes confrontés aujourd'hui.
Les idées de Schopenhauer ont souvent été utilisées comme matériau dans la littérature et l'opéra, et ont eu une grande influence sur Marcel Proust et André Gide en France et sur Thomas Mann en Allemagne.
Friedrich Nietzsche le qualifiait de « véritable philosophe qui aborde les questions profondes de l'éthique et de l'art », et Carl Jung, le fondateur de la psychologie analytique, disait de lui qu'il était « le premier à parler de la douleur et de la souffrance qui nous entourent de manière si claire et si visible ».
Ce livre offrira la sagesse unique de Schopenhauer sur la vie à ceux qui se demandent comment maintenir la paix intérieure au milieu de la douleur et de l'anxiété.
Il offre de nouvelles perspectives et un certain réconfort, notamment aux lecteurs lassés de la compétition et du stress de la société moderne.
Une réflexion philosophique qui remet en question l'obsession du bonheur chez les hommes modernes.
« Es-tu heureux ? Es-tu joyeux et gai ? »
Peu de gens répondraient spontanément par l'affirmative à cette affirmation.
Dans la vie, des choses difficiles se produisent et la vie n'est pas facile tous les jours.
Nous recherchons le bonheur matériel pour oublier temporairement la douleur de la vie, mais bientôt nos cœurs se vident.
Les gens modernes s'efforcent constamment d'être heureux.
Je lis des livres de développement personnel, je médite et j'essaie de cultiver une pensée positive.
Mais pourquoi sommes-nous encore malheureux ? La « Philosophie du bonheur » de Schopenhauer offre la réponse la plus réaliste à ce dilemme, proposée par un philosophe il y a 200 ans.
Schopenhauer estime que la recherche directe du bonheur est en réalité la cause du malheur.
De même que plus on essaie d'attraper une ombre, plus elle s'éloigne, plus on court après le bonheur, plus il s'enfuit.
Il conseille plutôt de se concentrer sur la réduction de la douleur et du malheur.
La caractéristique la plus frappante de ce livre est son approche réaliste.
Schopenhauer ne dit pas que le bonheur parfait est possible.
Étant donné la nature humaine, la satisfaction totale est impossible, et le mieux que nous puissions faire est de minimiser la souffrance.
Ce point de vue est exactement à l'opposé du message véhiculé par la « psychologie positive » et « l'industrie du bonheur » d'aujourd'hui.
Ses analyses de la culture des médias sociaux et de la consommation ostentatoire, notamment dans la société moderne, sont remarquablement prophétiques.
Bien que ce livre ait été écrit il y a 200 ans, il dépeint avec précision l'image des gens modernes obsédés par le regard des autres.
Son conseil, « Ne gaspillez pas votre vie à essayer de plaire aux autres », résonne encore plus profondément auprès des personnes modernes obsédées par le nombre de « j’aime » et d’« abonnés ».
Ce livre nous aide également à redécouvrir la valeur de la « solitude ».
Pour les personnes modernes qui souffrent de cette compulsion à être constamment connectées, cela nous rappelle combien les moments de solitude sont précieux.
Son message selon lequel une personne véritablement libre est celle qui a construit son propre monde intérieur sans dépendre des autres reste valable aujourd'hui.
Le bonheur dépend-il à 90 % de la santé ?
Schopenhauer divise le bonheur en trois catégories.
Il s'agit des questions suivantes : « Quel genre de personne suis-je ? », « Qu'est-ce que je possède ? » et « Comment les autres m'évaluent-ils ? »
La plus importante de ces questions est la première : « Quel genre de personne suis-je ? »
Ce sont nos qualités intérieures, telles que la santé, le courage, le charme, le tempérament, la moralité et l'intelligence, qui sont la source du vrai bonheur.
Il affirme notamment que « la santé détermine 90 % du bonheur ».
Car lorsque l'on est en bonne santé, tout est agréable, mais lorsque l'on perd la santé, plus rien n'est agréable.
Ses propos selon lesquels la « gaieté » est la « plus grande bénédiction » et la « clé du bonheur » qui mène au bonheur prennent une signification particulière pour les personnes modernes souffrant de dépression et d'anxiété.
La joie est une récompense directe en soi, et contrairement à un chèque que vous déposez à la banque, c'est comme de l'argent liquide qui vous procure du bonheur immédiatement, à cet instant précis.
La véritable liberté se trouve dans la solitude
La société moderne met constamment l'accent sur les relations avec autrui.
Les réseaux sociaux, les médias sociaux et les rassemblements divers remplissent nos vies.
Mais Schopenhauer véhicule le message inverse.
«Trouve le vrai bonheur dans la solitude.»
Il affirme que « le temps libre est la fleur et le fruit de la vie » et soutient que, grâce à ces moments de solitude, on peut se tourner vers son for intérieur et découvrir sa véritable nature.
Une vie guidée par sa propre paix intérieure est bien plus riche qu'une vie passée à essayer d'être acceptée par la foule.
Dans le passage expliquant « la différence entre un imbécile et un génie », il souligne l’importance des capacités intellectuelles.
Pour une personne dotée de capacités mentales exceptionnelles, de nombreux événements peuvent être des expériences passionnantes et aventureuses, mais pour une personne à l'esprit ennuyeux, ils ne sont rien de plus qu'une routine monotone.
Le piège de la vanité et de l'évaluation externe
La dernière partie du livre traite du piège dans lequel tombent la plupart des gens modernes : « le regard des autres ».
Cela montre combien il est futile de s'accrocher à des évaluations externes telles que la réputation, l'estime de soi, le statut, l'honneur et la célébrité.
Schopenhauer critique l’illusion de la réputation par l’expression « ombres créées par la vanité de l’esprit ».
La plupart des choses que nous poursuivons ne sont en réalité que des illusions créées par la vanité de notre esprit.
Son conseil, « Ne gaspillez pas votre vie à essayer de plaire aux autres », est encore plus urgent pour les gens modernes vivant à l'ère des médias sociaux.
Son message, selon lequel le bonheur ne peut être atteint qu'en domptant son esprit, tout comme un palefrenier dompte un cheval, reste d'actualité et puissant même aujourd'hui, dans un monde saturé de livres de développement personnel.
La paix intérieure, et non la réussite matérielle
Ce qui distingue ce livre des autres théories du bonheur, c'est son approche réaliste.
Schopenhauer ne prétend pas que le bonheur parfait puisse être atteint.
Je crois plutôt que le bonheur dépend de notre capacité à réduire la douleur et le malheur.
À travers la notion de « relativité de la richesse et du désir », il explique que l'abondance matérielle ne garantit pas nécessairement le bonheur.
Redéfinir le véritable sens de la richesse à travers le paradoxe de la peur de la pauvreté et la différence entre talent et capital.
Le chapitre intitulé « La vérité qui dérange sur l'argent » propose une analyse lucide du rôle et des limites de l'argent dans la société capitaliste moderne.
L'argent n'est qu'un moyen et ne peut être une fin en soi, et la poursuite de l'argent en elle-même ne mène finalement qu'au vide.
Une sagesse intemporelle s'étendant sur 200 ans
La philosophie du bonheur de Schopenhauer n'est pas simplement un livre de philosophie.
C'est un guide de vie qui propose des solutions concrètes et pratiques aux problèmes du monde réel auxquels nous sommes confrontés aujourd'hui.
Les idées de Schopenhauer ont souvent été utilisées comme matériau dans la littérature et l'opéra, et ont eu une grande influence sur Marcel Proust et André Gide en France et sur Thomas Mann en Allemagne.
Friedrich Nietzsche le qualifiait de « véritable philosophe qui aborde les questions profondes de l'éthique et de l'art », et Carl Jung, le fondateur de la psychologie analytique, disait de lui qu'il était « le premier à parler de la douleur et de la souffrance qui nous entourent de manière si claire et si visible ».
Ce livre offrira la sagesse unique de Schopenhauer sur la vie à ceux qui se demandent comment maintenir la paix intérieure au milieu de la douleur et de l'anxiété.
Il offre de nouvelles perspectives et un certain réconfort, notamment aux lecteurs lassés de la compétition et du stress de la société moderne.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 10 septembre 2025
Nombre de pages, poids, dimensions : 200 pages | 270 g | 127 × 188 × 12 mm
- ISBN13 : 9791163221784
- ISBN10 : 1163221783
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Langue coréenne
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