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Il existe de mauvais parents dans le monde.
Il existe de mauvais parents dans le monde.
Description
Introduction au livre
La plupart des gens croient sans l'ombre d'un doute que l'amour parental est inné et incontestable.
Dans ce genre de situation, les personnes qui ont grandi en subissant des violences de la part de leurs parents sont incapables de parler de leurs expériences et, au lieu de cela, déforment la vérité et affirment que ce sont elles qui ont fait du mal à leurs parents.
L'auteur relate les blessures infligées à d'innombrables personnes par leurs parents durant leur enfance et les difficultés qu'elles étaient incapables d'exprimer à l'époque.
Pourquoi les enfants sont-ils toujours poussés à pardonner à leurs parents avant même que les blessures qu'ils leur ont infligées ne soient guéries ? Ce livre s'appuie sur des exemples précis pour examiner comment la famille laisse une empreinte discrète mais profonde sur nos cœurs.
Grâce à cela, nous vous aidons à réconforter et à guérir votre cœur blessé en étant honnêtes quant à vos doutes sur la famille et l'amour, et nous vous guidons pour que vous cessions de vous blâmer.
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    Aperçu

indice
Prologue : Le véritable amour est difficile à atteindre lorsqu'il existe des blessures dont on ne peut parler.

Chapitre 1 : Négligence à la maison : qu’avons-nous vécu ?

Un enfant sait si ses parents sont sincères ou non.
Le véritable amour est attentionné, responsable, respectueux et compréhensif.
En amour, ce qui compte, ce ne sont pas les apparences, mais la vérité.
Le processus qui consiste à devenir une meilleure personne grâce à un enfant n'est pas un système automatisé.
Les enfants sont toujours contraints de pardonner à leurs parents avant même d'avoir guéri les blessures qu'ils ont reçues d'eux.
L'adage « Il n'y a pas de mauvais parents au monde » est une croyance, pas une réalité.
Discussion sur « Pourquoi nous ne devons rien à nos parents »
Dire « On a tous grandi comme ça à l'époque » ignore le fossé des générations.
Le dicton « Les filles sont méticuleuses » est un carcan pour chaque femme.
Reconnaître les blessures infligées par vos parents est le seul chemin vers la guérison.

Chapitre 2 : Les parents sont la famille et des « autres » importants

La première chose à faire pour échapper à l'ombre des blessures que vos parents vous ont infligées, c'est de les considérer comme d'autres personnes.
Croire que j'ai toujours raison entrave l'indépendance de mon enfant.
La douleur la plus difficile à évoquer avec les autres est celle d'avoir un parent atteint de trouble de la personnalité narcissique.
Les attentes liées aux rôles constituent une contrainte pour soi-même et pour ses enfants.
Quand on craint d'être une mère sans amour maternel, la honte de ne pas être aimée devient un fardeau.
Les relations d'échange inégales éloignent les relations parents-enfants de l'essence même de l'amour.
Une mère devrait vivre sa propre vie et ne pas essayer de contrôler ses enfants pour obtenir une compensation.
Essayer de me prouver que je mérite d'être aimée revient exactement à prouver que l'amour n'existe pas.

Chapitre 3 : Il y a des choses que nous pouvons accepter, même si elles sont différentes.

Si on ne peut pas être vulnérable chez soi, où peut-on l'être ?
Certains parents aiment leurs enfants, d'autres non.
L'idée que la maternité offre aux mères la liberté dont elles ont besoin ignore les privations quotidiennes qu'elles subissent.
S'il y a une personne irresponsable à la maison, il y aura aussi une personne excessivement responsable.
Un enfant blessé voudra toujours croire que la souffrance est une forme d'amour.
Même si nous ne nous comprenons pas, je sais que l'autre personne est seule comme moi.
Le simple fait de penser à la possibilité de la mort de l'autre peut resserrer les liens familiaux.

Épilogue : Vivre à ma façon signifie écrire mes pensées et mes sentiments.

Dans le livre
Dissimuler les erreurs par de bonnes actions est une façon particulière dont nous traitons les relations parents-enfants.
Je me demande souvent si les gens sont conscients que cette conscience particulière est une sorte de privilège que la société accorde aux parents.
Si la même situation se produisait entre une autre personne qu'un parent et son enfant, comme un proche, un amoureux, un ami ou un collègue, dissimuler l'erreur avec un ballon ne serait jamais acceptable.
On pourrait dire à une personne victime de violence conjugale : « Votre conjoint peut vous frapper lorsqu'il ou elle est contrarié(e), mais il ou elle est généralement gentil(le) avec vous. »
C'est comme dire : « Tu dois voir le bon côté de cette personne. »

--- p.8~9

« Les parents sont des personnes comme les autres », bien sûr que c'est vrai.
Mais cet enfant n'est pas un adulte ni la Vierge Marie, mais une personne au cœur fragile.
Les enfants ne devraient pas être contraints de tolérer tous les mauvais traitements de leurs parents et de considérer comme allant de soi la souffrance qu'ils s'infligent à eux-mêmes.
Depuis quand exige-t-on des enfants et des adultes qu'ils se taisent et ravalent leurs paroles lorsqu'ils entendent des récits de souffrances infligées par leurs parents, sous prétexte que « les parents sont des êtres humains, eux aussi » ? Parce que « les parents sont des êtres humains, eux aussi », on nous dit de ne pas évoquer les blessures du passé, ni même celles du présent.
Face à des choses comme celles-ci, n'est-ce pas les enfants qui ont l'impression de ne pas être traités avec dignité et de devoir endurer seuls leur souffrance jusqu'à la guérison ?
--- p.47~48

Les filles que les autres louent pour leur attention et leur dévouement filial ont des parents qui tiennent leurs efforts pour acquis, et des frères aînés qui exigent d'elles une part plus importante des bénéfices, même s'ils ne font qu'un coup de fil occasionnel.
Imaginez donc la frustration et la solitude que doivent ressentir ces filles. Se sacrifier pour prouver qu'elles sont dignes d'amour revient à prouver aux autres à quel point elles sont indignes d'amour.
Le véritable amour naît d'un cœur qui chérit et bénit l'autre.
Les parents compatissent au dur labeur de leurs fils et leur souhaitent du succès, mais ils demandent aussi à leurs filles de rester à leurs côtés, de prendre soin d'elles-mêmes, et même d'assumer le rôle d'une mère qui ne peut plus s'occuper de la famille.
L’inégalité des sexes se transmet par des détails infimes et se présente comme suit : « Les filles sont naturellement attentives et raisonnables et prennent bien soin de leurs parents. »
À première vue, cela peut ressembler à un compliment, mais cela ne fait que justifier le fait que la majeure partie des tâches ménagères et de la charge émotionnelle repose sur les filles.

--- p.77~78

Lorsque les enfants essaient de faire quelque chose pour les autres, c'est souvent parce qu'ils ont simplement envie de le faire sur le moment.
La raison pour laquelle nous donnons sans rien attendre en retour est la « joie de donner ».
C'est la nature innée des enfants et un instinct d'amour pur, mais les paroles et les allusions des parents vont à l'encontre de cet amour que les enfants comprennent instinctivement.
« Maman et Papa travaillent tellement dur pour toi, alors bien sûr que tu devrais en faire autant. » Cela donne l'impression qu'ils disent que tu es redevable envers tes parents dès ta naissance, et que leur rendre la pareille est la récompense qu'ils méritent dans la vie.
Ces chaînes qui nous sont imposées dès notre naissance sont-elles vraiment de l'amour ?
--- p.136

Avis de l'éditeur
« Je t’ai élevé comme ça, et tu ne sers à rien. Comment ai-je pu donner naissance à un enfant comme toi ? »
Caché derrière le mythe social selon lequel « il n'y a pas de mauvais parents dans le monde »
Comment les violences psychologiques parentales affectent-elles les enfants ?


Quand on pense à la «famille», on pense généralement à un sentiment d'harmonie et de chaleur.
Cependant, tandis que certaines personnes ont grandi dans une famille heureuse avec des parents aimants, d'autres ont dû se comporter en adultes à la place de leurs parents dès leur plus jeune âge.
Autrement dit, tous les parents ne se sacrifient pas pour leurs enfants et ne leur offrent pas un amour inconditionnel.
Cependant, dans notre société, il existe des superstitions concernant les relations parents-enfants qui s'apparentent presque à des religions.
On dit : « Tous les parents aiment leurs enfants. »
C’est pourquoi, lorsque vous parlez à vos parents de quelque chose qui vous a blessé, ils répondent toujours de la même manière : ne le prenez pas trop au sérieux, ou il n’y a pas de mauvais parents au monde.
C'est comme dire qu'il y a quelque chose qui cloche chez quelqu'un qui se sent blessé et non aimé par ses parents.
Ces personnes sont qualifiées d'ingrates.
Les gens préfèrent croire que l'amour parental est inné et incontestable plutôt que de prêter attention à leurs propres sentiments blessés.


« Sans moi, tu serais à la rue depuis longtemps. » « C’est à cause de toi que ma vie est si misérable. » « Comment ai-je pu donner naissance à un enfant comme toi ? »
« C’est juste un coup de malchance. » Les gens laissent les parents dire des choses aussi cruelles à leurs enfants tout en insistant sur le fait que leurs paroles ne sont pas malveillantes.
Dans le même temps, on demande à l'enfant de ne se souvenir que des bons moments et d'être reconnaissant envers les parents qui lui ont donné naissance.
L'auteur relate les blessures infligées à d'innombrables personnes par leurs parents durant leur enfance et les difficultés qu'elles étaient incapables d'exprimer à l'époque.
Ce livre utilise des exemples concrets pour explorer comment les suppositions, même minimes, laissent une empreinte durable sur nos cœurs.
Grâce à cela, nous vous aidons à réconforter et à guérir votre cœur blessé en étant honnêtes quant à vos doutes sur la famille et l'amour, et nous vous guidons pour que vous cessions de vous blâmer.

Pourquoi les enfants sont-ils toujours mis sous pression pour pardonner à leurs parents avant même que les blessures qu'ils ont reçues d'eux ne soient guéries ?
La chose la plus importante à retenir pour une personne ayant subi des violences familiales est de « ne pas se blâmer ».


« Il n’y a pas de mauvais parents au monde. »
« Tous les parents aiment leurs enfants. » Le chapitre 1 analyse les rôles traditionnels que la société a attribués aux parents et aux enfants, ainsi que les mythes sociaux qui nous empêchent de voir la vérité.
Il aborde également la question de la manière dont les enfants jugent de la sincérité de leurs parents à leur égard et la définition du véritable amour, en déclarant : « Plus importants que les critères externes utilisés par les autres pour juger du bonheur d'une famille sont les sentiments des parents et leur amour et leur attention véritables envers leurs enfants. »
Par ailleurs, le document évoque également différents types de violence psychologique qui se produisent au sein du foyer.
Nous présentons des exemples de parents qui comparent leurs enfants aux autres et leur imposent des exigences excessives, et d'enfants qui sont incapables de dire à leurs parents à quel point ils sont blessés, ou qui, même s'ils trouvent le courage de le faire, sont contraints de pardonner à leurs parents en se faisant dire : « Les parents sont des personnes comme les autres. »
Lorsque les gens parlent des violences psychologiques qu'ils subissent, ils prennent souvent le parti des parents, en disant : « On a tous grandi comme ça à l'époque », mais la raison pour laquelle cela ne peut pas s'appliquer aux enfants d'aujourd'hui s'explique par les différences entre les environnements parentaux d'hier et d'aujourd'hui.


En outre, l'ouvrage n'omet pas d'analyser l'adage « Les filles sont plus attentives et affectueuses, elles prennent donc mieux soin de leurs parents », qui pèse comme un carcan sur toutes les femmes, ainsi que d'aborder la préférence pour les fils et la discrimination sexiste.
« Guérir une blessure commence par en reconnaître la profondeur. » Le chapitre 2 aborde ce que nous devons faire pour surmonter les blessures reçues au sein de notre foyer, en affirmant que les parents sont à la fois de la famille et des étrangers, et que nous devons reconnaître qu'il existe aussi des parents qui nous sont étrangers.
Il conseille également aux parents de ne pas présumer qu'ils ont toujours raison s'ils veulent que leurs enfants deviennent indépendants et matures, et explique les effets négatifs des attentes liées aux rôles que les parents devraient faire et les enfants devraient faire.
En particulier, dans une société où les mères assument la responsabilité de l'éducation des enfants et où les sacrifices des femmes sont considérés comme allant de soi, avec le dicton « Les mamans sont fortes », l'auteur analyse que cela constitue une autre cause de violence émotionnelle envers les enfants.
Il critique la situation où les mères tentent de compenser en contrôlant leurs enfants, déclarant : « C’est une sorte de “fratricide” où des femmes faibles contrôlent des enfants plus faibles qu’elles », ajoutant : « Les mères devraient vivre leur propre vie et ne pas essayer de compenser par l’intermédiaire de leurs enfants. »

Est-il vrai que, même si le comportement d'un parent semble contredire l'amour, il ne s'agit que d'une façade et que l'amour est bien présent ? Ou n'est-ce qu'un désir unilatéral ? L'auteur aborde cette question en affirmant : « S'efforcer de prouver que je mérite d'être aimé revient précisément à prouver que l'amour n'existe pas. »
Il conseille ensuite que, même si c'est triste, ce n'est qu'en reconnaissant que vos parents ne vous aiment pas que vous pourrez échapper à l'ombre de la douleur qu'ils vous ont infligée.
« Voyant que je n’étais pas critiquée pour ma faiblesse, même si je l’avais montrée, j’ai enfin pu me détendre un peu. »
« J’ai réalisé que je n’avais pas besoin de me forcer à devenir une “meilleure personne”. » Au chapitre 3, l’auteur confesse avec franchise avoir été blessé par ses parents et le processus pour s’en sortir.
Nous abordons également la manière de communiquer et d'aimer ses enfants de façon saine, en nous basant sur ce que nous avons appris de nos expériences passées.

Ce livre analyse l'environnement et la culture de la société dans laquelle nous vivons d'un point de vue sociologique, et examine l'impact sur les enfants des superstitions sociales qui confèrent une signification particulière aux relations parents-enfants, sanctifient l'amour parental et garantissent que les parents ne fassent jamais de mal à leurs enfants.
La première étape pour guérir les blessures infligées par nos parents est de se libérer de ces superstitions et d'accepter que nous n'avons pas été aimés par eux.
Ce n’est qu’en reconnaissant d’abord le fait et en renonçant à l’idée de changer l’autre personne que vous pourrez vous concentrer davantage sur le deuil et la guérison de vos propres blessures, plutôt que de gaspiller de l’énergie à essayer d’obtenir de l’empathie de quelqu’un qui n’admettra jamais ses propres erreurs.
J'espère que ce livre apportera du réconfort aux enfants qui ont souffert et servira de guide à ceux qui souhaitent être de bons parents.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 21 avril 2025
Nombre de pages, poids, dimensions : 220 pages | 274 g | 135 × 200 × 15 mm
- ISBN13 : 9791190812627
- ISBN10 : 1190812622

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