Passer aux informations sur le produit
Une histoire de la philosophie occidentale pour les jeunes adultes
Une histoire de la philosophie occidentale pour les jeunes adultes
Description
Introduction au livre
« Ce serait formidable si un livre de philosophie aussi simple et amusant était un manuel scolaire ! »
« Des origines de la philosophie antique au courant de la philosophie moderne »
« Réunir en un seul volume les concepts et l’histoire de la philosophie occidentale ! »

Serez-vous un sophiste ou un Socrate ?
Un récit de la philosophie occidentale qui dessine une carte de la pensée
La philosophie remet en question ce que nous tenons pour acquis.
Interrogeons-nous sur le principe fondamental !

Dites adieu aux livres de philosophie ennuyeux ! Apprenez la philosophie à travers les récits historiques !
Des annotations détaillées et des illustrations variées rendent la lecture et l'observation encore plus agréables !


« Une histoire de la philosophie occidentale pour les jeunes adultes » est un livre qui révèle les efforts inlassables de l'auteur pour présenter aux jeunes les racines et l'histoire de la philosophie occidentale.
Il explique avec minutie la vie quotidienne des grands philosophes et les idées fondamentales auxquelles ils ont consacré leur vie, permettant ainsi aux lecteurs de saisir le sens général de la philosophie occidentale.
Ce livre nous permet de découvrir les pensées de philosophes qui ont sérieusement contemplé et réfléchi à la vie et à la mort, et d'appliquer leur sagesse à nos vies d'aujourd'hui.

Ce livre retrace 2 500 ans d’histoire de la philosophie occidentale, se déployant progressivement pour offrir une compréhension plus approfondie de cette discipline. Il permet aux lecteurs d’explorer ses origines, de la philosophie antique aux courants les plus modernes, et de découvrir la vie privée de philosophes jusque-là méconnus, enrichissant ainsi le plaisir de la lecture.
« Philosophie argumentative » pour la jeunesse permet aux lecteurs d’approfondir leur compréhension des valeurs philosophiques et du raisonnement logique. Afin de faciliter une meilleure compréhension de l’époque et de ses acteurs, l’ouvrage propose de nombreuses illustrations et légendes. Une chronologie de la philosophie et de l’histoire mondiale figure en fin d’ouvrage, offrant ainsi aux lecteurs une vue d’ensemble de ces deux domaines.
  • Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
    Aperçu

indice
préface

Partie 1 : Philosophie antique
Chapitre 1 : Philosophie naturelle
Les premiers philosophes, l'école milésienne | Obsédés par l'existence fixe et immuable, l'école éléatique | Opposition entre l'un et le multiple, les pluralistes

Chapitre 2 : La philosophie de l'époque athénienne
Le nom arrogant de Sophiste | L'homme robuste et laid, Socrate, l'un des quatre grands saints du monde | Vendu comme esclave, Platon | Le bègue, Aristote | Histoires de philosophie hors du cadre philosophique : Thalès, Héraclite, Aristote

Chapitre 3 : La philosophie à l'époque hellénistique et romaine
Stoïcisme, hédonisme | Épicurisme | Suspension du jugement, scepticisme | Philosophie hors de la philosophie : Le philosophe qui a maudit son propre anniversaire

Deuxième partie : Philosophie médiévale
Chapitre 1 La pensée chrétienne
Les origines du christianisme | Jésus est-il l'un des quatre grands saints ? | La pensée de Jésus

Chapitre 2 : Établissement de la doctrine
L'histoire de la conversion de l'apôtre Paul | L'émergence d'Augustin | Leurs manifestations diffèrent, mais leur finalité reste la même | L'être humain est pécheur par nature | L'être humain est sauvé par la foi | Qu'est-ce que l'hérésie dans le christianisme ?

Chapitre 3 Philosophie scolastique
Le nom de la scolastique | Qu'est-ce qui vient en premier, l'individuel ou l'universel ? | Le bœuf muet, Thomas d'Aquin

Partie 3 : Philosophie moderne
Chapitre 1 : Contexte de la philosophie moderne
Le développement des sciences naturelles : la boussole, la poudre à canon et l’héliocentrisme ; l’humanisme, la défense de l’humanité ; la Renaissance ; l’essor des arts ; la dénonciation de l’injustice de la vente des indulgences ; et les transformations sociales et politiques du début de l’époque moderne.

Chapitre 2 Rationalisme et empirisme
Rationalisme continental | Empirisme britannique

Chapitre 3 : Caractéristiques des Lumières
Montesquieu, partisan de la séparation des pouvoirs ; Voltaire, partisan d'une religion de la raison ; l'esprit n'est qu'une fonction du corps, un matérialiste ; Rousseau, qui appelait à un retour à la nature ; une histoire de philosophie hors des sentiers battus – un penseur de l'éducation qui s'est fait interner dans un orphelinat.

Chapitre 4 La philosophie critique de Kant
Kant, fondateur de la philosophie critique | Discussion sur les capacités cognitives humaines, Critique de la raison pure | Éthique solennelle, Critique de la raison pratique | La religion promeut la moralité, Théorie de la religion

Chapitre 5 L'idéalisme allemand
Cri au peuple allemand, Fichte | Le monstre à douze pattes, Schelling | La source de la philosophie moderne, Hegel | La philosophie hors de la philosophie : Le berger qui imite le pasteur

Chapitre 6 L'utilitarisme britannique
« La quantité est la clé », selon Bentham ; « La qualité plutôt que la quantité », selon John Stuart Mill ; « Le plus grand bonheur pour le plus grand nombre », selon Spencer.

Partie 4 : Philosophie moderne
Chapitre 1 : Orientation matérialiste
Notre cerveau possède des muscles de la pensée | Le pauvre matérialiste, Feuerbach | Enfermé dans une prison étudiante, Marx

Chapitre 2 : Direction irrationnelle
Schopenhauer, le pessimiste sûr de lui | Freud, l'inconscient et le désir | Nietzsche, le philosophe au marteau

Chapitre 3 : L'existentialisme
La vie tragique de Kierkegaard | L'oppression de Jaspers sous le régime nazi | La pensée profonde et rigoureuse de Heidegger | La résistance de Sartre au prix Nobel de littérature | Histoires de philosophie hors de la philosophie : L'amour fou

Chapitre 4 : Philosophie du XXe siècle
Retour à l'idée elle-même, la phénoménologie | Les faits dépendent de l'interprétation, l'herméneutique | Le Grand Refus, la théorie critique

Chapitre 5 Philosophie anglo-américaine
La vérité utile est vraie, pragmatisme | Analyse du langage et des symboles, philosophie analytique | Éthique individuelle et collective, éthique sociale | Philosophie hors de la philosophie : Un quatrième mariage au crépuscule

Histoire de la philosophie ? Chronologie de l’histoire mondiale | Références

Image détaillée
Image détaillée 1

Dans le livre
Le fait que les étoiles dans le ciel se déplacent le long d'une certaine orbite spatiale selon un certain cycle temporel est également la preuve qu'elles sont régies par des nombres.
La Terre tourne sur elle-même une fois par jour tout en maintenant une distance constante par rapport au Soleil, et elle orbite autour du Soleil une fois par an.
On dit que si la Terre se rapprochait un peu plus du soleil qu'elle ne l'est actuellement, tout brûlerait sur le sol, et que si elle s'en éloignait un peu plus, tout gèlerait.
Et si la Terre tournait rapidement, puis lentement, puis de nouveau lentement, avant d'accélérer soudainement ? Bien sûr, tant que l'univers est régi par les nombres, il n'y a pas lieu de s'en préoccuper.
Par conséquent, Pythagore semble avoir pensé que l'univers maintenait l'ordre et l'harmonie grâce à la prédominance des nombres.
À cet égard, il a appelé ce monde cosmos, un mot qui signifie simultanément « univers » et « ordre, harmonie ».

--- p.23

Une figure tout aussi célèbre que Socrate est son épouse, Xantippe.
Elle a tout fait pour empêcher son mari de poursuivre une carrière de philosophe, et à la maison, elle lui a rendu la vie infernale.
C’est pourquoi Socrate sortit précipitamment de la maison et entama une discussion philosophique avec ses disciples dans la rue, et Socrate put enfin devenir Socrate.
À ce propos, lorsqu'un disciple lui demanda : « Maître, vaut-il mieux que je me marie ou non ? », il aurait répondu : « Marie-toi. Si tu prends une femme douce, tu seras heureux, mais si tu prends une femme farouche, tu deviendras philosophe. »
En tout cas, si l'on considère Socrate, qui a négligé ses devoirs de père, on pourrait avoir pitié de Xantippe, qui est synonyme de mauvaise épouse.

--- p.48

La diligence inlassable et le talent exceptionnel d'Aristote furent si bien accueillis par Platon qu'il lui donna des surnoms tels que « le rat de bibliothèque » et « la sagesse de l'Académie ». On raconte que lorsqu'Aristote était en retard, il ne commençait ses cours qu'à son arrivée.
Aristote avait lui aussi un grand respect pour son maître.
Cependant, à la mort de Platon, il insista sur sa propre doctrine indépendante, criant : « Maître ou Vérité ? » et lorsque le neveu de Platon, qui n'était pas très brillant, fut nommé nouveau directeur de l'Académie, il s'en offusqua et s'enfuit.

--- p.77

Épicure affirme que le but de la vie est le bonheur.
C'est un point sur lequel la plupart des philosophes, y compris Socrate, s'accordent.
Cependant, la définition même du bonheur et la manière dont les gens le ressentent modifient leur point de vue.
Par exemple, les stoïciens soutenaient qu'on est heureux lorsqu'on pratique la vertu.
Mais Épicure affirme que c'est le plaisir qui nous apporte le bonheur.
Les humains sont heureux quand ils sont heureux, et malheureux quand ils sont malheureux.
Par exemple, nous nous sentons heureux lorsque nous regardons une émission humoristique ou lorsque nous jouons à un jeu amusant.
À l'inverse, lorsque nous sommes punis, malades ou déprimés, nous avons le sentiment que la vie est en quelque sorte malheureuse.
Autrement dit, tout bonheur est lié au plaisir.
De ce point de vue, le plaisir qui contribue au bonheur, qui est le but de la vie, est bon pour nous, et le désagrément qui apporte le malheur est mauvais pour nous.
En d'autres termes, le plaisir est bon et le déplaisir est mauvais.

--- pp.104~105

Dans le monde animal où règne la loi de la jungle, de puissantes bêtes rétablissent l'ordre dans la jungle.
Les faibles meurent, les forts survivent.
Mais dans la société humaine, nous ne soumettons pas de telles lois barbares de la nature.
Les gens ont donc commencé à réclamer un pouvoir social capable de rassembler la volonté du plus grand nombre pour le bien-être de la communauté, et ils ont commencé à créer des lois et des institutions pour la gouverner.
Cependant, si nous devions faire des lois en recueillant la volonté du peuple, celui-ci suivrait naturellement la volonté de Dieu.
Par conséquent, Dieu est l'autorité suprême qui gouverne toute l'humanité et devient en définitive le créateur de tout pouvoir public.

--- p.171

La théorie pédagogique de Locke est très progressiste.
Locke affirme que nous ne devrions pas imposer un modèle aux apprenants, mais les aider à se développer par eux-mêmes.
Au lieu de simplement donner des cours aux élèves, nous devrions les aider à développer leurs propres idées.
Plutôt que d'utiliser la violence, nous devons favoriser leur autonomie afin qu'ils puissent développer des personnalités libres et matures.
Pour ce faire, nous devons savoir déceler les talents de chaque élève.

--- p.211

Kant a rétabli la religion par la morale.
La religion découle de la morale, et sa tâche est de promouvoir la morale.
La religion devrait s'efforcer de renforcer l'influence de la loi morale en enseignant que les obligations morales doivent être considérées comme des commandements divins, c'est-à-dire comme des préceptes.
Par conséquent, toutes les religions doivent être soumises à un examen moral, et c'est ainsi que l'on peut distinguer les vraies religions des fausses.

--- p.243

Ce matérialisme peut être divisé en deux types : le matérialisme mécaniste et le matérialisme dialectique.
Le matérialisme mécaniste est une position qui reconnaît certaines substances immuables telles que les molécules, les atomes et les éléments, et qui tente d'expliquer tous les phénomènes par leur mouvement.
À l'inverse, le matérialisme dialectique ne reconnaît aucune réalité matérielle fixe, mais conçoit le monde uniquement comme un processus de changement dialectique de la matière.
Autrement dit, ce monde est une unité de mouvements matériels interdépendants, incluant les pratiques sociales humaines.

--- p.275

Parmi les réalisations de Freud, on compte avant tout la découverte de la libido et du monde inconscient.
Il pensait que le comportement humain était influencé par des pulsions sexuelles inconscientes et par l'inconscient.
Deuxièmement, il considérait donc toutes les actions humaines, même les erreurs et les oublis, comme non pas accidentelles, mais ayant toujours une cause et une signification.
Troisièmement, les rêves sont la réalisation des souhaits d'une personne et un substitut à l'inconscient.

--- p.303

Dans son ouvrage biographique, le Tractatus Logico-Philosophicus, Wittgenstein examine le langage en prenant les propositions comme unité de base, et chaque proposition est considérée comme ayant sa propre signification car elle constitue une image qui représente des faits par elle-même.
Cependant, dans les Investigations philosophiques plus tardives, les propositions individuelles ne sont traitées que comme une activité parmi d'autres dans le jeu global du langage.
Par conséquent, même s'il s'agit de la même proposition, elle peut avoir des significations différentes selon la position du jeu de mots, et c'est là qu'apparaît une nouvelle sémantique qui dit : « Le sens d'un mot ou d'une phrase réside dans son usage et son application. »
--- p.374

Avis de l'éditeur
Un livre pour tous ceux qui ne connaissent pas la philosophie et qui ont peur d'écrire des dissertations !
Une leçon de philosophie facile et amusante pour les adolescents réfléchis !
À quoi ressemble la « philosophie » vue à travers le prisme de l'histoire ?


La « philosophie occidentale » ne se limitait pas à l'Occident.
En particulier, les idées véhiculées par les philosophes occidentaux étaient véritablement diverses.
De plus, contrairement à d'autres ouvrages de philosophie, celui-ci aborde également, d'une manière intéressante, les amours et les habitudes des philosophes populaires de leur époque.
Parmi ces faits, certains sont tellement frappants qu'on s'exclame : « Comment cette personne a-t-elle pu faire ça ? »
Plutôt que de se contenter d'énumérer des personnages familiers, l'histoire se déroule d'une manière plus audacieuse et honnête.

D'abord, la vie privée des personnages et les épisodes qui s'y déroulent captivent le lecteur ne serait-ce qu'un instant.
Nous pouvons ainsi entrevoir les différentes facettes et le côté humain de philosophes que nous connaissons peu, tels que Plotin, qui a maudit le jour de sa naissance ; Rousseau, père cruel qui a envoyé ses propres enfants à l'orphelinat ; Kierkegaard, grand philosophe mais malheureux en amour ; et Russell, qui a avoué n'avoir trouvé le véritable amour qu'en épousant une femme assez âgée pour être sa petite-fille, à un âge avancé, dans sa quatre-vingtaine.

Autre point fort : pour faciliter la compréhension du texte, plus de 200 photos réelles et peintures célèbres ont été incluses, permettant ainsi de restituer la situation de l'époque de manière plus chronologique.
Chaque illustration est accompagnée d'une explication détaillée.
Les illustrations et les éléments visuels judicieusement présentés tout au long du texte, conçus pour rendre la lecture plus ludique, ravissent non seulement les yeux pendant le livre, mais permettent également de saisir le déroulement de l'histoire en un coup d'œil.


Dès que vous lirez « Une histoire de la philosophie occidentale pour la jeunesse », qui présente avec honnêteté le quotidien de philosophes qui influencent encore nos vies et est structuré pour élargir votre compréhension de la philosophie occidentale, souvent rigide, vous dépasserez l'idée préconçue que la « philosophie » est difficile et un nouveau matériau de lecture se déploiera sous vos yeux de manière tridimensionnelle.

École éléatique, obsédée par l'existence fixe et immuable
Ce que l'auteur souhaite souligner en philosophie naturelle, point de départ de la philosophie antique, c'est la manière dont les philosophes obsédés par l'existence ont développé leur logique.
Toute époque peut être source de confusion avec des discours futiles et des sophismes, mais les écrits des philosophes de la nature de ce temps-là témoignent d'une profonde angoisse face aux circonstances de l'époque.
L'auteur souligne que, même si on peut parfois les considérer comme des philosophes clichés qui nient le changement, il faut reconnaître leurs véritables intentions.
Étant donné que les doctrines de la science moderne sont aujourd'hui en contradiction avec les affirmations de Démocrite, grand philosophe de la nature, nous pouvons en déduire que le matérialisme est né de ce fondement idéologique.

Pourquoi Socrate aimait-il le dialogue ?
La théorie selon laquelle il aurait été maltraité par sa femme tout au long de sa vie a-t-elle contribué à populariser le métier de sage-femme ? Non.
Cela semble avoir été influencé par la profession de la mère.
Il a choisi d'utiliser le dialogue pour aider les autres à prendre conscience de leur ignorance, et l'auteur souligne que cette méthode pédagogique socratique reste influente aujourd'hui.
L'auteur fait l'éloge de Socrate pour son esprit constant d'investigation de la nature humaine et son sérieux face à la vie, estimant que « celui qui reconnaît son ignorance est sage », que « la connaissance et l'action sont en accord » et que « même une mauvaise loi reste une loi ».

Les philosophes étaient-ils respectés à cette époque ?
Saviez-vous que Platon, né dans une famille noble, fut vendu comme esclave ? Ou qu’Aristote était bègue ? C’est ainsi que l’auteur dévoile le récit, piqué par la curiosité.
L'exemple de Cléanthe, un stoïcien, qui déclara qu'il préférait mourir de faim plutôt que de mener une vie passive et qui se suicida ensuite, est assez bizarre.
L'auteur souligne que, plutôt que de simplement mémoriser les pensées de philosophes célèbres, comprendre leurs joies et leurs peines est aussi une façon de pratiquer la philosophie.

Pourquoi Marx, disciple de Hegel, a-t-il été emprisonné dans une prison étudiante ?
L'homme qui a dit un jour : « La religion est l'opium du peuple », fut jadis le protégé de Hegel. Homme brillant, il obtint un doctorat en philosophie à l'âge de vingt-trois ans. Est-ce la pauvreté qu'il a endurée toute sa vie qui l'a conduit à poser les fondements du matérialisme dialectique ? Ironie du sort, lui qui n'hésitait jamais à s'exprimer face à la controverse, il a constamment bénéficié du soutien financier d'Engels, un homme d'origine bourgeoise.


La vie est-elle plus importante que la théorie ?
La logique de Kierkegaard, qui privilégiait « ce que je dois faire » plutôt que « ce que je dois savoir », est célèbre pour sa rébellion contre l'universalité de la vérité prônée par Hegel.
Ses déclarations audacieuses lui valent des ennemis.
Son courage à critiquer le christianisme sécularisé de l'époque était véritablement remarquable.
C’est peut-être cette solitude qui a provoqué sa dépression.
L'auteur explique que le langage qu'il a utilisé était fortement sombre, avec des allusions à l'ennui, à la dépression, au désespoir et à la mort.
Cependant, Kierkegaard ne s'est pas arrêté à ce désespoir, mais a souligné que « l'angoisse et le désespoir » sont les forces qui poussent les humains à la foi.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 5 août 2025
- Nombre de pages, poids, dimensions : 400 pages | 170 × 225 × 30 mm
- ISBN13 : 9788973435876
- ISBN10 : 8973435876

Vous aimerez peut-être aussi

카테고리