
La première ligne de la jeune science
Description
Introduction au livre
Une histoire qui se déroule sur le champ de bataille de la « science »
Cet ouvrage est le fruit d'un travail d'analyse du processus de production du savoir scientifique tel qu'il se pratique.
Ce rapport fait suite à un précédent sur la manière dont les scientifiques déploient une rhétorique toujours plus puissante, s'efforcent de s'emparer de positions toujours plus fortifiées et étendent considérablement leurs réseaux d'acteurs disparates.
Ce que Latour nous montre, c'est l'histoire d'un domaine qui se déploie en première ligne de la jeune technoscience, une science vivante qui ne s'est pas encore solidifiée.
Selon Latour, les faits et les artefacts sont intimement liés et interconnectés.
En effet, le processus de construction des faits scientifiques dans un espace de laboratoire et la stabilisation des artefacts, tels que les outils utilisés dans les expériences, se déroulent simultanément.
Les entités non humaines telles que la technologie et les appareils influencent également les humains, y compris les scientifiques et les ingénieurs, et modifient leur comportement.
En ce sens, les non-humains sont des acteurs au même titre que les humains et peuvent être considérés comme symétriques à ces derniers.
Ce livre dépeint, à travers des scènes vivantes et fascinantes, le rôle de la technologie en laboratoire au cœur des agents non humains et la construction des faits scientifiques.
Cet ouvrage est le fruit d'un travail d'analyse du processus de production du savoir scientifique tel qu'il se pratique.
Ce rapport fait suite à un précédent sur la manière dont les scientifiques déploient une rhétorique toujours plus puissante, s'efforcent de s'emparer de positions toujours plus fortifiées et étendent considérablement leurs réseaux d'acteurs disparates.
Ce que Latour nous montre, c'est l'histoire d'un domaine qui se déploie en première ligne de la jeune technoscience, une science vivante qui ne s'est pas encore solidifiée.
Selon Latour, les faits et les artefacts sont intimement liés et interconnectés.
En effet, le processus de construction des faits scientifiques dans un espace de laboratoire et la stabilisation des artefacts, tels que les outils utilisés dans les expériences, se déroulent simultanément.
Les entités non humaines telles que la technologie et les appareils influencent également les humains, y compris les scientifiques et les ingénieurs, et modifient leur comportement.
En ce sens, les non-humains sont des acteurs au même titre que les humains et peuvent être considérés comme symétriques à ces derniers.
Ce livre dépeint, à travers des scènes vivantes et fascinantes, le rôle de la technologie en laboratoire au cœur des agents non humains et la construction des faits scientifiques.
indice
Introduction : Ouvrir la boîte de Pandore
Partie 1 : Vers une rhétorique plus forte
Chapitre 1 Littérature
1.
controverse
2.
Lorsque la controverse fait rage, la littérature se spécialise.
3.
Rédiger des textes qui résistent aux attaques hostiles
Conclusion : Des chiffres, toujours plus de chiffres
Chapitre 2 Laboratoire
1.
Du texte à l'objet : le dernier mot
2.
Construire un contre-laboratoire
3.
Faire appel à la nature
Deuxième partie : Vers une forteresse plus solide
Chapitre 3 Dispositif
Préface : Le dilemme du bâtisseur de faits
1.
Traduction des intérêts
2.
Alignement des groupes d'intérêt
3.
Modèle de diffusion et modèle de translation
Chapitre 4 : Activités externes de l'initié
1.
Création d'un conflit d'intérêts au sein du laboratoire
2.
Recensement des alliés et des ressources
Partie 3 : Vers un réseau plus étendu
Chapitre 5 La Cour de la Raison
1.
Un procès sur la raisonnabilité
2.
sociologie
3.
Qui a besoin de faits concrets ?
Chapitre 6 Centres informatiques
Prologue : L'apprivoisement de l'esprit sauvage
1.
action à distance
2.
centres de calcul
3.
poids et mesures
Annexe 1 Règles de méthode
Annexe 2 Principes
Note du traducteur : Un autre champ de bataille : la technoscience comme réseau d’agents
Partie 1 : Vers une rhétorique plus forte
Chapitre 1 Littérature
1.
controverse
2.
Lorsque la controverse fait rage, la littérature se spécialise.
3.
Rédiger des textes qui résistent aux attaques hostiles
Conclusion : Des chiffres, toujours plus de chiffres
Chapitre 2 Laboratoire
1.
Du texte à l'objet : le dernier mot
2.
Construire un contre-laboratoire
3.
Faire appel à la nature
Deuxième partie : Vers une forteresse plus solide
Chapitre 3 Dispositif
Préface : Le dilemme du bâtisseur de faits
1.
Traduction des intérêts
2.
Alignement des groupes d'intérêt
3.
Modèle de diffusion et modèle de translation
Chapitre 4 : Activités externes de l'initié
1.
Création d'un conflit d'intérêts au sein du laboratoire
2.
Recensement des alliés et des ressources
Partie 3 : Vers un réseau plus étendu
Chapitre 5 La Cour de la Raison
1.
Un procès sur la raisonnabilité
2.
sociologie
3.
Qui a besoin de faits concrets ?
Chapitre 6 Centres informatiques
Prologue : L'apprivoisement de l'esprit sauvage
1.
action à distance
2.
centres de calcul
3.
poids et mesures
Annexe 1 Règles de méthode
Annexe 2 Principes
Note du traducteur : Un autre champ de bataille : la technoscience comme réseau d’agents
Avis de l'éditeur
Une histoire qui se déroule sur le champ de bataille de la « science »
L'idée que la science est le système de connaissances idéal pour l'humanité est une croyance universelle partagée non seulement par les experts, mais aussi par le grand public.
Selon cette perspective, la science et le scientifique sont des activités rationnelles clairement distinctes de la politique et du politique.
On croit que la science, contrairement à la politique ou à la rhétorique, poursuit la vérité objective et est autonome.
Cependant, Bruno Latour, un chercheur qui bénéficie actuellement d'une attention considérable de la part des chercheurs en sciences sociales et féministes au-delà des domaines des études des sciences et des technologies (STS), de l'histoire des sciences et de la philosophie des sciences, remet en question cette idée reçue.
Latour bouleverse notre image de la science en retraçant le parcours des scientifiques et des ingénieurs à l'œuvre dans le domaine scientifique et en montrant comment se forme la science.
Latour est un sociologue des sciences qui, avec Michel Callon et John Law, a établi la théorie de l'acteur-réseau (ANT).
On peut dire que son œuvre a ouvert la voie à un nouveau domaine, qu'il appelle « l'anthropologie des sciences » ou, selon ses propres termes, « les humanités des sciences ».
« Les frontières de la jeune science », un livre écrit par Latour en 1987, est considéré comme ayant ouvert de nouveaux horizons dans la compréhension de la relation entre la science et la technologie, et entre la science, la technologie et la société, et est maintenant établi comme un classique non seulement dans les études sur la science et la technologie, mais aussi dans les sciences sociales.
Dans cet ouvrage, Latour établit le cadre de la « théorie de l'acteur-réseau ». Étant donné que l'influence de cette théorie s'étend au-delà des études des sciences et des techniques pour inclure la sociologie, l'anthropologie, le management et la psychologie, on s'attend à ce que ce livre soit d'une grande utilité pour les chercheurs concernés.
Le titre original de ce livre, « La science en action », fait référence à la science en cours de création et s'oppose à la science établie, c'est-à-dire la science déjà créée et fermée, telle une « boîte noire ».
Le traducteur l'a traduit par « La frontière de la jeune science » pour préserver la nuance du terme et pour correspondre au langage politique et guerrier employé par Latour.
Cet ouvrage est le fruit d'un travail d'analyse du processus de production du savoir scientifique tel qu'il se pratique.
Ce rapport fait suite à un précédent sur la manière dont les scientifiques déploient une rhétorique toujours plus puissante, s'efforcent de s'emparer de positions toujours plus fortifiées et étendent considérablement leurs réseaux d'acteurs disparates.
Ce que Latour nous montre, c'est l'histoire d'un domaine qui se déploie en première ligne de la jeune technoscience, une science vivante qui ne s'est pas encore solidifiée.
Selon Latour, les faits et les artefacts sont intimement liés et interconnectés.
En effet, le processus de construction des faits scientifiques dans un espace de laboratoire et la stabilisation des artefacts, tels que les outils utilisés dans les expériences, se déroulent simultanément.
Les entités non humaines telles que la technologie et les appareils influencent également les humains, y compris les scientifiques et les ingénieurs, et modifient leur comportement.
En ce sens, les non-humains sont des acteurs au même titre que les humains et peuvent être considérés comme symétriques à ces derniers.
Ce livre dépeint, à travers des scènes vivantes et fascinantes, le rôle de la technologie en laboratoire au cœur des agents non humains et la construction des faits scientifiques.
Au fil des récits que Latour met en scène comme dans un film, les lecteurs assistent aux batailles qui se déroulent sur les lignes de front du « champ de bataille », à la mobilisation et au déploiement des troupes en coulisses, ainsi qu'à l'état de la logistique.
Dans le domaine de la « technoscience », où science et technologie sont intimement liées, les acteurs s'engagent dans une « lutte » les uns contre les autres.
Les principaux acteurs cherchent à enrôler de nouveaux partenaires, à mobiliser et à déplacer des faits, du matériel et toutes sortes de ressources disparates, et à consolider davantage l'« alliance ».
Les actions menées dans le domaine de la technoscience consistent à « recruter » et à mobiliser des alliés, et à créer un « monde » grâce à la puissance et au nombre de ces alliés.
Les lecteurs qui écouteront ces fascinants épisodes de luttes de pouvoir acquerront une perspective unique sur les rencontres et les désaccords des « intérêts » en technoscience, la « traduction » des intérêts et les alliances et collaborations qui en résultent, ainsi que sur le petit nombre de représentants puissants qui représentent les acteurs.
Vous acquerrez de nouvelles perspectives sur les relations entre la technoscience et la société, et avec la nature, sur les relations entre les experts et le grand public, et surtout, sur les relations entre les humains et les non-humains tels que les textes, les laboratoires, les objets et les machines.
L'idée que la science est le système de connaissances idéal pour l'humanité est une croyance universelle partagée non seulement par les experts, mais aussi par le grand public.
Selon cette perspective, la science et le scientifique sont des activités rationnelles clairement distinctes de la politique et du politique.
On croit que la science, contrairement à la politique ou à la rhétorique, poursuit la vérité objective et est autonome.
Cependant, Bruno Latour, un chercheur qui bénéficie actuellement d'une attention considérable de la part des chercheurs en sciences sociales et féministes au-delà des domaines des études des sciences et des technologies (STS), de l'histoire des sciences et de la philosophie des sciences, remet en question cette idée reçue.
Latour bouleverse notre image de la science en retraçant le parcours des scientifiques et des ingénieurs à l'œuvre dans le domaine scientifique et en montrant comment se forme la science.
Latour est un sociologue des sciences qui, avec Michel Callon et John Law, a établi la théorie de l'acteur-réseau (ANT).
On peut dire que son œuvre a ouvert la voie à un nouveau domaine, qu'il appelle « l'anthropologie des sciences » ou, selon ses propres termes, « les humanités des sciences ».
« Les frontières de la jeune science », un livre écrit par Latour en 1987, est considéré comme ayant ouvert de nouveaux horizons dans la compréhension de la relation entre la science et la technologie, et entre la science, la technologie et la société, et est maintenant établi comme un classique non seulement dans les études sur la science et la technologie, mais aussi dans les sciences sociales.
Dans cet ouvrage, Latour établit le cadre de la « théorie de l'acteur-réseau ». Étant donné que l'influence de cette théorie s'étend au-delà des études des sciences et des techniques pour inclure la sociologie, l'anthropologie, le management et la psychologie, on s'attend à ce que ce livre soit d'une grande utilité pour les chercheurs concernés.
Le titre original de ce livre, « La science en action », fait référence à la science en cours de création et s'oppose à la science établie, c'est-à-dire la science déjà créée et fermée, telle une « boîte noire ».
Le traducteur l'a traduit par « La frontière de la jeune science » pour préserver la nuance du terme et pour correspondre au langage politique et guerrier employé par Latour.
Cet ouvrage est le fruit d'un travail d'analyse du processus de production du savoir scientifique tel qu'il se pratique.
Ce rapport fait suite à un précédent sur la manière dont les scientifiques déploient une rhétorique toujours plus puissante, s'efforcent de s'emparer de positions toujours plus fortifiées et étendent considérablement leurs réseaux d'acteurs disparates.
Ce que Latour nous montre, c'est l'histoire d'un domaine qui se déploie en première ligne de la jeune technoscience, une science vivante qui ne s'est pas encore solidifiée.
Selon Latour, les faits et les artefacts sont intimement liés et interconnectés.
En effet, le processus de construction des faits scientifiques dans un espace de laboratoire et la stabilisation des artefacts, tels que les outils utilisés dans les expériences, se déroulent simultanément.
Les entités non humaines telles que la technologie et les appareils influencent également les humains, y compris les scientifiques et les ingénieurs, et modifient leur comportement.
En ce sens, les non-humains sont des acteurs au même titre que les humains et peuvent être considérés comme symétriques à ces derniers.
Ce livre dépeint, à travers des scènes vivantes et fascinantes, le rôle de la technologie en laboratoire au cœur des agents non humains et la construction des faits scientifiques.
Au fil des récits que Latour met en scène comme dans un film, les lecteurs assistent aux batailles qui se déroulent sur les lignes de front du « champ de bataille », à la mobilisation et au déploiement des troupes en coulisses, ainsi qu'à l'état de la logistique.
Dans le domaine de la « technoscience », où science et technologie sont intimement liées, les acteurs s'engagent dans une « lutte » les uns contre les autres.
Les principaux acteurs cherchent à enrôler de nouveaux partenaires, à mobiliser et à déplacer des faits, du matériel et toutes sortes de ressources disparates, et à consolider davantage l'« alliance ».
Les actions menées dans le domaine de la technoscience consistent à « recruter » et à mobiliser des alliés, et à créer un « monde » grâce à la puissance et au nombre de ces alliés.
Les lecteurs qui écouteront ces fascinants épisodes de luttes de pouvoir acquerront une perspective unique sur les rencontres et les désaccords des « intérêts » en technoscience, la « traduction » des intérêts et les alliances et collaborations qui en résultent, ainsi que sur le petit nombre de représentants puissants qui représentent les acteurs.
Vous acquerrez de nouvelles perspectives sur les relations entre la technoscience et la société, et avec la nature, sur les relations entre les experts et le grand public, et surtout, sur les relations entre les humains et les non-humains tels que les textes, les laboratoires, les objets et les machines.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 5 août 2016
- Nombre de pages, poids, dimensions : 532 pages | 152 × 224 × 35 mm
- ISBN13 : 9788957334980
- ISBN10 : 895733498X
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Langue coréenne
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