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Lire Wall Rock en un seul volume
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Description
Introduction au livre
Un festin de répliques de personnages qui cassent les frontières entre les langues !
Le premier livre du Jongmun, défiant le « Byeokamrok »


Le « Byeokamrok » est apprécié comme un excellent guide de la méditation zen depuis plus de 900 ans, depuis la dynastie Song en Chine.
On peut dire qu'il s'agit du summum du « zen littéraire », qui dépeint le domaine de la vérité qui transcende le langage, et de la mère du « zen conversationnel », qui traite directement du koan.
Cependant, comme le « Byeokamrok » est connu comme le « premier livre de la secte », il est difficile à comprendre et a longtemps régné comme un sommet escarpé qui n'autorise pas l'accès au grand public.

Ici, le moine Hyewon, qui connaît bien le livre « Jongyongrok en un volume », révèle une nouvelle voie pour atteindre le sommet du « Byeokamrok ».
« La lecture du Livre du Bouddha de pierre en un seul volume » est un ouvrage magistral qui renferme l’expérience et la sagesse d’un authentique maître zen ayant étudié et enseigné le zen pendant plus de 30 ans. Il offre des explications détaillées et accessibles du sens précis du texte original et de la signification profonde qu’il recèle.
Ce commentaire, à la fois approfondi et détaillé mais d'une longueur raisonnable, permettra aux experts comme au grand public de découvrir les stratégies actives mises en œuvre par nos ancêtres.
  • Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
    Aperçu

indice
Note

Règle 1 : Bodhidharma, sans aucune sainteté [達磨廓然無聖] / Règle 2 : Joju, sans difficulté à montrer la voie [趙州至道無難] / Règle 3 : Majo, sans paix [馬大師不安] / Règle 4 : Deoksan, aller à la montagne Wei [德山到?山] / Règle 5 : Seolbong, tout le pays [雪峰盡大地] / Règle 6 : Yunmen, chaque jour est un bon jour [雲門日日是好日] / Règle 7 : Beopyeon, répondant à Hyecho [法眼]
[#8 : Chwiam, Ha-an-geo Dharma Talk] / [#9 : Joju, Quatre Portes] / [#10 : Mokju, Un bâtard insensé]

Règle 11 : Hwangbyeok, un gars qui ne mange que de la lie de vin [黃檗?酒糟漢] / Règle 12 : Dongsan, trois onces de ma [洞山麻三斤] / Règle 13 : Pareung, dans un bol en argent [巴陵銀椀裏] / Règle 14 : Yunmun, parlant du contraire du même chose [雲門對一說] / Règle 15 : Yunmun, parlant du contraire de la même chose [雲門倒一說] / Règle 16 : Gyeongcheong, un gars sans valeur [鏡淸草裏漢] / Règle 17 : Hyangrim, venant à l'ouest [香林西來意] / Règle 18 : Sukjong, demandant pour une forme de pagode [肅宗請塔樣] / Règle 19 : Guji, méditation doigt-tête [俱?指頭禪] / Règle 20 : Les dents du dragon viennent de l'ouest

Règle 21 : Fleur de lotus, feuille de lotus [智門蓮花荷葉] / Règle 22 : Seolbong, temple Byeolbi [雪峰鼈鼻蛇] / Règle 23 : Châtiment, Myobongjeong [保福妙峰頂] / Règle 24 : Cheval de fer, atteignant le mont Wisan [鐵磨到?山] / Règle 25 : Yeonhwaamju, capturez le chef [蓮華庵主拈?杖] / Règle 26 : Baekjang, extraordinaire et merveilleux [百丈奇特事] / Règle 27 : Porte des nuages, corps et vent d'or [雲門體露金風] / Règle 28 : Moines du Nirvana, de nombreux sages [涅槃和尙諸聖] / Règle 29 : Daesu, flamme féroce [大隋劫火洞然] / Règle 30 Zhaozhou, gros radis [趙州大蘿蔔頭]

Règle 31 : Magok secoue la pierre [麻谷振錫?床] / Règle 32 : Jeongsangjwa demande à Imje [定上座問臨濟] / Règle 33 : Jinsangseo voit Jabok [陳尙書看資福] / Règle 34 : Angsan demande d'où il vient [仰山問甚處來] / Règle 35 : Manjusri demande à Jeonsamsam [文殊前三三] / Règle 36 : Jangsa joue un jour dans les montagnes [長沙一日遊山] / Règle 37 : Bansan, les trois royaumes sont sans loi [盤山三界法less] / Règle 38 : Punghyeol, le sceau des ancêtres [風穴祖師心印] / Règle 39 : Yunmun, la clôture de pivoines [Cloud Gate Flower Medicine Column] / Règle 40 : Namjeon, comme un rêve [Nanjeon Like a Dream]

Règle 41 : Joju, un homme complètement mort [趙州大死底人] / Règle 42 : Pangjusa, un merveilleux flocon de neige [龐居士好雪片片] / Règle 43 : Dongshan, un endroit ni froid ni chaud [洞山無寒暑] / Règle 44 : Hwasan, battant le bien tambouriner [禾山解打鼓] / Règle 45 : Joju, toutes les lois reviennent à une seule [趙州萬法歸一] / Règle 46 : Écouter le bruit des gouttes de pluie [鏡淸雨滴聲] / Règle 47 : Yunmen, les six non collectés [雲門六不收] / Règle 48 : Wangtaebu, infusion de thé [王太傅煎茶] / Règle 49 : Samseong, une feuille d'or qui pénètre le filet [Trois Voies Sacrées] / 50e verset de la règle, Jinjin Samadhi [Porte des Nuages, Trois Étoiles]

Règle 51 : Seolbong, qu'est-ce que c'est ! [Qu'est-ce que Seolbong ?] / Règle 52 Joju, pont de pierre [趙州石橋] / Règle 53 Baekjang, canard sauvage [百丈野鴨子] / Règle 54 Yunmun, écarter les deux mains [雲門却展兩手] / Règle 55 Dao-oh, commerçant et condoléances [道吾漸源弔慰] / Règle 56 Qinshan, tire trois passes avec une seule flèche [欽山一鏃破三關] / Règle 57 Joju, bâtard insensé [趙州田?奴] / Règle 58 Joju, je ne peux pas expliquer [趙州分疏不下] / Règle 59 Joju, seulement c'est la voie [趙州只這至道] / Règle 60 Yunmun, Celui qui défend devient facile [Cloud Gate ? Dragon moderne]

Règle 61 : Trou de vent, si un grain de poussière se lève [風穴若立一塵] / Règle 62 : Porte des nuages, il y a un trésor au milieu [雲門中有一寶] / Règle 63 : Nanquan coupe un chat [南泉斬猫兒] / Règle 64 : Nanquan demande à Joju [南泉問趙州] / Règle 65 : L'étranger demande au Bouddha [外道問佛] / Règle 66 : Amdu, d'où vient-il [巖頭什?處來] / Règle 67 : Conférences du Maître Fu sur le Sutra du Diamant [傅大士講經] / Règle 68 : Angsan demande les trois sages [仰山問三聖] / Règle 69 : Namjeon, Ilwonsang [南泉一圓相] / Règle 70 : Le mont Wei et Baekjang sont nommés [?山侍立百丈]

Règle 71 : Baekjang demande aux Cinq Pics [百丈問五峰] / Règle 72 : Baekjang demande aux Cinq Pics [百丈問雲巖] / Règle 73 : Majo demande les Quatre Corans et cent absurdités [馬祖四句百非] / Règle 74 : Geumwoo rit fort [金牛呵呵笑] / Règle 75 : Ogu demande le Dharma [烏臼問法道] / Règle 76 : Danha demande d'où il vient [丹霞問甚處來] / Règle 77 : Yunmun demande au Hotteok [雲門?餠] / Règle 78 : Seize bodhisattvas atteignent l’illumination dans la baignoire [十六開士入浴] / Règle 79 : Tujia : Tous les sons sont les sons du Bouddha [Jeter Zi dans toutes les voix du Bouddha] / Règle 80 : Zhao Zhu, le nouveau-né [Zhao Zhu, le nouveau-né]

Règle 81 : Yaksan, le roi des rois [藥山?中?] / Règle 82 : Grand Dragon, le corps ferme du dharma [大龍堅固法身] / Règle 83 : Yunmen, le vieux Bouddha et le pilier [雲門古佛露柱] / Règle 84 : Vima, la porte du dharma non double [維摩不二法門] / Règle 85 : Dongbong, le tigre fait un son [桐峰庵主作虎聲] / Règle 86 : Yunmen, il y a de la lumière [雲門有光明在] / Règle 87 : Yunmen, la médecine et la maladie se traitent [雲門藥病相治] / Règle 88 : Hyeonsa, les trois maladies [玄沙三種病] / Règle 89 : Yunam interroge Do-oh sur ses mains et ses yeux [La manière de penser aux nuages, aux mains et aux yeux] / La 90e règle, le corps de prajna [Le corps de la connaissance et du mouvement]

Règle 91 : L'éventail de rhinocéros [?官犀牛扇子] / Règle 92 : L'Honoré du monde monte sur le trône [世尊陞座] / Règle 93 : La Grande Lumière danse [大光作舞] / Règle 94 : Le Sutra Surangama, lorsqu'elle n'est pas vue [楞嚴不見時] / Règle 95 : Les deux types de discours [長慶二種語] / Règle 96 : Les trois types de discours [趙州三轉語] / Règle 97 : Le Sutra du Diamant, L'élimination des péchés [金剛經罪業消滅] / Règle 98 : Les deux erreurs dans la balance [天平兩錯] / Règle 99 : Roi Sukjong, les dix stipulations du corps [肅宗十身調御] / Règle 100 : Paring, l'épée soufflante

Commentaire sur le « Byeokamrok »
Note du traducteur
Annexe 1 : Diagramme du royaume du Dharma bouddhiste
Annexe 2 : Biographie des êtres préhistoriques du « Byeokamrok »
Références

Dans le livre
Bien que le zen trouve son origine dans le « dhyana » en Inde, c'est le bouddhisme zen chinois qui a défini le zen comme la « véritable découverte de soi ».
En Inde, le zen signifie simplement « stabilité mentale et unité », mais dans le bouddhisme zen, le zen signifie « réaliser la nature humaine ».
L'histoire du bouddhisme zen est celle des maîtres zen qui ont atteint et pratiqué leur véritable nature, la « pureté » du Bouddha.
L'acte de Danha consistant à brûler un Bouddha en bois est l'aboutissement de sa pratique intense impliquant tout son corps, et cette histoire est devenue plus tard un koan appelé « Danha brûlant un Bouddha en bois ».

---p.563

« Galdeung 葛藤 » signifie lianes enchevêtrées et enroulées autour d'un arbre.
Le zen est considéré comme une forme d'éveil qui ne peut être exprimée par des mots.
Mais le bien accorde également une grande importance aux mots.
Cela crée des conflits car nous devons exprimer par des mots un monde qui ne peut être exprimé par des mots.
Dans ce contexte, de tels mots sont appelés « conflit ».

---p.14

Les mots « Ma Samgeun » ou « Hotteok » ne possèdent aucune signification particulière.
Deoksan a répondu à la question : « Juste ça. »
Parce que c’est un monde qui ne peut s’exprimer autrement qu’en disant : « juste ceci ».
Si vous utilisez des mots comme « vraie nature » ou « vide », vous finirez par être lié à la vraie nature ou au vide.
Le fait qu'Unmun ait décrit le monde au-delà du Bouddha en un seul mot, « Hotteok », implique que même ce mot n'a aucun rapport.
Autrement dit, cela nous montre en un seul coup d'œil que notre vie quotidienne est un monde au-delà du royaume du Bouddha, à travers le concept de « Hotteok ».
---p..439

Dans l'ancienne secte Zen, l'expression « salindo (épée mortelle) · hwalingeom (épée vivante) » était utilisée pour signifier qu'un maître Zen pouvait tuer ou faire revivre la subjectivité d'un élève.
Ici, le mot « meurtre » ne signifie pas tuer une personne, mais plutôt nier complètement tout.
Ce « meurtre » est un déni absolu qui nie même l'acte de tuer, de sorte qu'il ne nuit pas au moindre cheveu.
Au contraire, « s'incliner » signifie déraciner d'emblée la subjectivité de l'adversaire, lui causant la mort et, de ce fait, le sauvant grandement.

---p.76

« Jeo-ri-ga-ri » signifie « ici ».
Il s'agit d'un pronom symbolisant « la nature propre », le « bouddhisme » et « l'état d'éveil ».
Comme il n'a pas de nom original, on l'appelle aussi « ici », « ce type », « cela » ou « le protagoniste ».
En d'autres termes, les paroles de l'esprit sombre signifient : « Pourquoi les anciens n'ont-ils pas essayé de vivre ici, dans la lumière ? »
Le « défunt » est « Bouddha, Bouddha, ancêtre ».
Ils ont atteint une grande illumination, le nirvana suprême, et le sommet d'une haute montagne, mais ils ne se sont pas installés « ici ».
C'est comme plonger dans les quatre cycles de la vie (utérus, œuf, humidité et transformation).
Si « ici » désigne la maison où nous habitons, il n'est pas qualifié pour enquêter.
Vivre comme les nuages ​​et l'eau, voilà l'essence même de la pratique du zen.

---p.154

Les Trois Royaumes sont dépourvus de dharma, alors où pouvons-nous chercher l'esprit ? Chercher l'esprit est impossible.
C’est pourquoi il est dit dans le Sūtra du Diamant : « Il n’est pas rempli de l’esprit du passé, il n’est pas rempli de l’esprit du futur, il n’est pas rempli de l’esprit du présent. »
Alors, n'y a-t-il rien dans ce monde ?
Tout est-il vanité ?
Quand je lève les yeux au ciel, je vois des nuages ​​blancs dériver tranquillement, et en dessous j'entends le bruit d'un ruisseau qui coule.
Seoldu chantait : « J’utilise les nuages ​​blancs comme toit et le ruisseau qui coule comme cithare. »
Le « néant » et le « vide » mentionnés dans le vers ne signifient pas « vide », qui est rien.
À l’instar des « nuages ​​blancs » ou des « ruisseaux », ce qui est tel qu’il est est « néant », et ce qui est en tant que « néant » est le monde de la vérité.
---p.227

De même qu'un sceau est apposé sur du papier et que son empreinte est révélée, de même l'empreinte de notre véritable esprit se révèle comme un objet physique au ciel et sur la terre.
Cependant, si le sceau est laissé tel quel, il ne sera pas révélé, ce qui constitue un cas de «absence de sceau».
La première position est positive, selon laquelle même les tuiles et les petites pierres émettent de la lumière, tandis que la seconde est négative, selon laquelle même l'or perd de son éclat.
Le premier est un monde de discrimination, et le second un monde d'égalité.
Là, Pung-hyeol a demandé à la foule : « Si vous ne voulez pas enlever le sceau ni laisser de marque, est-il correct de l’estampiller ou non ? »
---p.233

Avis de l'éditeur
Un ouvrage incontournable pour les pratiquants du zen.
Les trois koans majeurs de Seonmun, « Byeokamrok »

Un monde de vérité qui ne peut être exprimé par des mots,
Se repérer dans le commissariat


Un koan est un ensemble de questions-réponses zen, un recueil de « conversations d'éveil » entre un maître et un élève, conçu pour servir de manuel de pratique.
À l'origine, le zen transcendait les limitations des concepts exprimés par le langage et l'écriture, et constituait une méthode de transmission directe de l'esprit d'un maître à un élève par le biais d'une expérience individuelle.
Cependant, après la dynastie Song, le Gongan Zen, ou Munja Zen, qui se pratique à travers le « Gongan », un recueil écrit de la « scène d'illumination » des anciens maîtres Zen, devint populaire.
« Songgobaekchik » de Seoldu et « Byeokamrok » de Won-o, une note de cours à ce sujet, sont les meilleurs ouvrages de cette lignée littéraire.
« Lecture du Recueil du Bouddha de Pierre en un Volume » est un commentaire du recueil de paroles Zen, dans lequel le moine Hyewon fournit une explication détaillée des cent koans soigneusement sélectionnés par le moine Seoldu, de son élégante poésie Zen et des conférences du moine Won-o à leur sujet, grâce à une interprétation objective et précise du texte original.
La signification profonde du texte original a été révélée plus en détail, et les explications inutilement complexes ont été audacieusement omises afin de fournir une vue d'ensemble claire en un seul volume.



Quel genre de livre est « Le récit du mur » ?
- Du zen du néant au zen de l'éveil


《Byeokamrok》 est un manuel Zen très apprécié comme le « meilleur livre de la secte », et est une collection de koans compilée par le maître Zen Won-o Geuk-geun à la fin du XIIe siècle, sous la dynastie Song du Nord.
Au début de la dynastie Song du Nord, le maître Seoldu Junghyeon a sélectionné 100 enseignements tirés des dialogues des grands maîtres et a exprimé son illumination sous la forme d'un poème, « Seoldu Songgo », auquel Won-o Geuk-geun a ajouté des annotations et des commentaires.

Won-oh a étudié le « Seoldusonggo » pendant son séjour à Jinyeowon dans sa vingtaine, et depuis lors, pendant plus de 20 ans, il n'a jamais abandonné Gong-an et Seoldusong.
C’est à l’âge de 40 ans, alors qu’il était prêtre principal du temple Sogaksa, qu’il a tenté de réciter le Pyeongchang (Gangseol) de « Seoldusonggo ».
《Byeokamrok》 est un livre compilé par ses disciples en rassemblant les conférences que Won-o a données à trois reprises, en ajoutant des commentaires à 《Seoldusonggo》.
On dit que les deux caractères « Byeokam » (碧巖) ont été tirés d'un texte accroché dans une pièce du Hyeopsan Yeongcheonwon.

《Byeokamrok》 se compose d'un total de 100 règles, et chaque règle est structurée comme suit.

(1) Note introductive : Il s’agit d’une note ajoutée par Won-o avant la règle principale, à titre d’introduction. Certaines règles ne comportent pas de note introductive.
(2) Règle principale : Commentaire de Won-o (également appelé Commentaire de Won-o, en langage inférieur) sur les anciennes règles sélectionnées par Seol-du
Le document joint était le cours de Won-oh sur les règles principales à Pyeongchang.
(3) Songgo : Il se compose du poème inspirant de Seoldu sur la règle principale, du commentaire de Won-o à ce sujet (le bref commentaire de Won-o inséré dans la chanson de Seoldu) et du commentaire de Won-o (la conférence de Won-o sur la chanson de Seoldu).

※ Ce commentaire, « Lecture du Recueil du Byeogam en un seul volume », omet les vers et les phrases du texte original et ne fournit qu’un commentaire sur les poèmes, le texte principal et le chant.

« Le Livre de la Falaise » est réputé pour être un livre très difficile.
Outre la difficulté inhérente à la question et à la réponse zen elles-mêmes, qui doivent démontrer par les mots le domaine de la vérité qui ne peut être exprimé par les mots, la structure est complexe et à plusieurs niveaux, ce qui la rend difficile à lire.
De plus, ce livre est un recueil de conférences, il y a donc un certain chevauchement dans le contenu et certaines intentions de l'auteur y ont été ajoutées.
Malgré ces difficultés formelles, substantielles et idéologiques, la profondeur et la beauté contenues dans le « Byeokamrok » ont captivé les pratiquants du zen pendant plus de 900 ans.
Won-o, l’auteur du « Byeok-am-rok », a souligné que pour atteindre l’illumination complète, il ne faut pas « interpréter » le koan mais « l’apprendre par la pratique active ».
Dans le « Byeokamrok », lorsqu'on observe le Pyeongchang de Won-o, on constate de nombreux endroits où l'expérience de Dae-o est très recherchée.
Ainsi, plutôt que d'utiliser des doctrines compliquées, Won-oh employait des mots percutants, aussi vifs que l'éclair.
On rencontre notamment fréquemment de telles expressions dans la langue inférieure (courts commentaires entre le texte principal et la chanson), et l'on perçoit des traces d'efforts pour exprimer un monde de liberté qui n'est obsédé par rien.

Les attitudes fondamentales que Won-o prône constamment dans sa pratique du zen peuvent se résumer en trois points.
Premièrement, « affirmer son vrai soi tel qu’il est », c’est-à-dire le « zen du néant », serait une illusion.
Deuxièmement, vous devez acquérir l'expérience d'une illumination décisive et profonde.
L'étape suivante consiste à dire « qu'est-ce que Bouddha ? ».
Troisièmement, pour acquérir l'expérience du Grand Être, il est dit qu'il faut abandonner l'attitude consistant à interpréter rationnellement le koan selon son sens littéral et l'étudier plutôt comme un seul mot qui a été séparé de sa signification et de sa logique, c'est-à-dire comme une phrase active.
Le livre « Byeokamrok », qui contient la vision de la pratique de Won-o, montre clairement la transition idéologique du Seon de la dynastie Tang au Seon de la dynastie Song, c'est-à-dire le processus de passage du « Zen du Néant » au « Zen de l'Éveil », et constitue un ouvrage précieux qui nous permet d'examiner le processus de changement dans la pensée et les méthodes de pratique du Seon chinois.



Contexte de la naissance de « Le récit des falaises bleues »
- Caractères non debout et caractères non séparables

Contrairement aux sectes religieuses qui proposaient une étude systématique des 84 000 sutras en présentant une explication pédagogique pour chaque secte, la secte Seon transmet le « modèle des ancêtres » par une expérience directe et pratique, à travers un échange de questions et réponses entre le maître et le disciple.
Autrement dit, les maîtres et les disciples de Seonmun n'étaient pas liés par le cadre des textes ou du langage, tels que les écritures ou les enseignements, mais transmettaient librement leurs acquis spirituels par divers moyens.
L’objectif de cette pratique était de pénétrer directement à la frontière de la « vraie réalité », là où les mots cessent, dans la « réalité » qui ne peut être définie par des mots ou des concepts.

Cependant, après la dynastie Song, lorsque le bouddhisme Seon fut intégré au système social, ses systèmes et pratiques internes furent également organisés et standardisés sur le plan institutionnel.
Désormais, le dialogue zen n'était plus une conversation secrète et en tête-à-tête entre maître et élève.
Les célèbres dialogues des anciens moines furent convertis en textes publics et imprimés, et tout comme les sectes religieuses exploraient les écritures, la communauté Seon utilisa les recueils des paroles de Seon pour les vérifier et les utiliser comme indicateurs de sa propre pratique.
Aujourd'hui, le zen est passé de la logique de « ne pas établir de lettres » à celle de « ne pas laisser de lettres », et est entré dans l'ère du zen des lettres (zen des koans).

À l'origine, le terme « gong-an » désignait les documents officiels émanant des bureaux gouvernementaux, mais dans le bouddhisme Seon, le gon-an est une question et une réponse posées par les anciens et proposées aux pratiquants comme un problème à résoudre.
Les praticiens considéraient que la collecte et la classification des questions et réponses de leurs prédécesseurs, ainsi que leur étude en tant que tâche, constituaient une méthode de pratique importante.

La méthode de référence en matière de sécurité publique se divise en deux grandes catégories : la « ligne de texte » et la « ligne simplifiée ».
Le Zen du Caractère est une exploration des principes du Zen à travers la critique ou la réinterprétation des koans.
Le « Seoldu Songgo » de Seoldu Junghyeon et le « Byeokamrok » de Wono Geukgeun, qui en parle, sont ce qui se fait de mieux dans le monde littéraire.
Ganhwa Seon est une méditation qui se concentre sur un ensemble de doutes concernant un koan spécifique, atteint la limite de la conscience et, à cet extrême, transcende cet ensemble de doutes pour parvenir à l'expérience réelle d'une illumination profonde et spectaculaire.
Le disciple de Won-o, Dae-hye Jong-go, a hérité avec créativité des idées de Won-o et a achevé Ganhwa Seon.
Si le 《Seoldusonggo》 de Seoldu Junghyeon de l'Unmunjong est devenu l'origine de la lignée littéraire de Wono Geukgeun de l'Imjejong, alors on peut dire que le 《Seoldusonggo》 et le 《Byeokamrok》 sont devenus la mère du Ganhwaseon du Daehyejonggo.


Résumé des recherches menées par le moine Hyewon sur le zen chinois pendant un demi-siècle
- Défiez le sommet de Byeokam avec un seul volume


《Lire le Recueil du Byeokam en un seul volume》 se distingue des autres commentaires sur le Recueil du Byeokam en ceci.

1) Structure simple
Le contenu essentiel du texte original, tel que le poème, les règles principales et la chanson, est expliqué en détail, tandis que les éléments secondaires, tels que les commentaires et les annotations, sont audacieusement omis.


2) Interprétation précise et objective du texte original et explication des termes
S’appuyant sur les recherches approfondies et la perspicacité d’un spécialiste du zen, nous proposons des interprétations précises et objectives par comparaison et analyse avec une vaste quantité de littérature zen faisant autorité dans le monde académique.
Dans la section des commentaires, le texte original est expliqué phrase par phrase, et les termes techniques sont expliqués en détail sans omission.

S’agissant notamment de l’interprétation en matière de sécurité publique, ce commentaire a éliminé les impressions subjectives et accru l’objectivité grâce à des discussions approfondies menées pendant plus de trois ans avec plusieurs doctorants spécialisés dans les études zen.
De plus, les termes techniques peu familiers sont expliqués en termes faciles à comprendre, et la profondeur est ajoutée par l'inclusion d'interprétations de divers textes zen.

3) Fournir des informations générales couvrant l'ensemble du temple Seonjong
À la fin du texte, le déroulement du bouddhisme zen chinois est résumé, et une table des matières ainsi que de brèves biographies des principaux maîtres zen sont fournies en annexe, aidant les débutants en zen à comprendre le contexte général du bouddhisme zen et de la pensée zen, et à acquérir des connaissances de base sur les caractéristiques et les idées centrales des principaux maîtres zen de chaque époque.


« Lecture du Livre du Bouddha de Pierre en un Volume » est un chef-d’œuvre qui renferme l’expérience et la perspicacité du moine Hyewon, qui a étudié le zen chinois pendant un demi-siècle et enseigné à des élèves pendant plus de 30 ans.
Bien qu'il soit réputé comme le meilleur de Jongmun, son ascension est difficile en raison de ses falaises abruptes, et ce guide convivial vous permettra de relever le défi de ce paysage magnifique.

SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 26 mai 2021
- Format : Guide de reliure de livres à couverture rigide
Nombre de pages, poids, dimensions : 616 pages | 970 g | 152 × 225 × 35 mm
- ISBN13 : 9788934989578
- ISBN10 : 8934989572

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